DENNISHOPPER, Peter Fonda, EASY RIDER, 1969. Réf: DT57RE (DG) Easy Rider est un road movie américain 1969 écrit par Peter Fonda, Dennis Hopper, et Terry Southern, produit par Fonda et réalisé par bac. Il raconte l'histoire de deux motards (joué par Fonda et Hopper) qui voyage à travers le sud-ouest américain et du Sud.

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Le film nous fait d’abord croire que l’on va suivre les aventures d’un duo de motards Ă  la solde de cartels de la drogue, qui achĂštent et refourguent de la dope pour se faire de l’argent. On est loin d’ĂȘtre dans le tort, mais ce n’est pas le point qui nous intĂ©resse le plus concernant Easy Rider. En vĂ©ritĂ©, il s’agit de voyager Ă  travers les immenses Ă©tendues amĂ©ricaines sous fond de musique rock des sixties, comme le classique Born to be wild » de Steppenwolf, qui fait ici sa premiĂšre apparition au cinĂ©ma. Easy Rider est un film culturel, mais surtout trĂšs philosophique, avec un vrai discours et une symbolique intelligente. Peter Fonda dans Easy Rider 1969 Le grand thĂšme du film, c’est la libertĂ©. Comment trouver la libertĂ© ? Qu’est-ce que la libertĂ© ? Quelle est la dĂ©finition d’un homme libre » et peut-on encore aujourd’hui se revendiquer comme tel ? Ce sont diffĂ©rentes questions auxquelles nos deux motards vont tenter de rĂ©pondre Ă  travers leur long pĂšlerinage sur les routes amĂ©ricaines. Sur leur chemin, ils rencontrent des hippies vivant en autarcie au milieu de nulle part, et un avocat des droits civiques alcoolique, campĂ© par Jack Nicholson. A coups de discussions sous l’influence de la drogue autour de feux de camps, ces diffĂ©rents personnages Ă©changent et offrent des Ă©lĂ©ments de rĂ©flexion sur la notion de libertĂ© dans le monde moderne. En choisissant des parias comme protagonistes, Hopper prĂ©sente la libertĂ© comme un facteur marginalisant, dans une sociĂ©tĂ© oĂč les codes et les paradigmes semblent irrĂ©sistibles et inĂ©luctables. Les deux motards sont deux Ă©lectrons libres, parfaitement symbolisĂ©s par cette libertĂ© qu’ils inspirent. Affranchis de toute autoritĂ© et de tout lien social extĂ©rieur, rien ne les retient. Les hippies prĂ©sentent une alternative. DĂ©sintĂ©ressĂ©s par la vie en ville, dans la sociĂ©tĂ© moderne, ils vivent reclus, dans leur propres maisons, dans leur propre village, vivant grĂące Ă  leurs propres ressources, au milieu de nulle part. L’avocat, quant Ă  lui, est le chaĂźnon manquant entre ces marginaux et le reste du monde. DotĂ© d’une situation sociale confortable, son comportement le contraint Ă  enchaĂźner les gardes Ă  vue, symbole mĂȘme de la mise en quarantaine des individus indĂ©sirables en sociĂ©tĂ©. Peter Fonda, Jack Nicholson et Dennis Hopper dans Easy Rider 1969 Souvent seuls sur la route ou dans la nature, lorsqu’ils croisent sur leur chemin d’autres individus, l’accueil est rarement chaleureux. RegardĂ©s de travers, critiquĂ©s, moquĂ©s, ils sont systĂ©matiquement rejetĂ©s oĂč qu’ils aillent. Et si le film alimente ce climat malsain tout au long du voyage des deux motards, c’est bien autour d’un feu de camp avec l’avocat que toutes les clĂ©s de rĂ©flexion concernant Easy Rider et sa conception de la libertĂ© vont se dĂ©voiler. Dans un dialogue qui paraĂźtrait anodin, l’avocat met en garde les motards et livre un discours des plus efficaces qui donne au film tout son sens. Il suffit de citer ses propres lignes de dialogue Ne leur dis jamais qu’ils ne sont pas libres, ils se mettraient Ă  tuer et Ă  massacrer pour prouver qu’ils le sont. » Ils vont te parler sans arrĂȘt de libertĂ© individuelle mais s’ils voient un individu libre, ils prennent peur. » La morale est ici rĂ©sumĂ©e, avec une autre phrase marquante C’est dur d’ĂȘtre libre quand on est un produit achetĂ© et vendu au marchĂ©. » Ainsi, la libertĂ© effraie dans un monde oĂč la sociĂ©tĂ© gouverne les actes et les envies, les individus prĂŽnant la libertĂ© sont concernĂ©s comme des marginaux Ă  fuir, ou Ă  Ă©liminer, car ils reprĂ©sentent un dĂ©sordre qui n’est plus tolĂ©rĂ©. Easy Rider 1969 Pour aller jusqu’au bout de ma rĂ©flexion, je suis obligĂ© de SPOILER un peu dans ces deux paragraphes. C’est donc avec ces constats inquiĂ©tants faits par l’avocat que les deux motards poursuivent leur aventure. Mais voilĂ , l’avocat est assassinĂ© dans son sommeil, comme un sombre Ă©cho Ă  ses paroles de la soirĂ©e prĂ©cĂ©dente, avant que les motards ne rallient le carnaval de La Nouvelle-OrlĂ©ans. Dans l’une des scĂšnes les plus Ă©tranges et les plus psychĂ©dĂ©liques du film, ils participent Ă  une mini-orgie dans un cimetiĂšre avec deux prostituĂ©es, tous sous l’influence d’une drogue extrĂȘmement puissante. Enfin, en reprenant la route, ils sont interpellĂ©s par deux rednecks en voiture, qui se munissent d’un fusil, et tuent les deux motards l’un aprĂšs l’autre, sans aucune raison. La morale, ici, est que la libertĂ©, telle qu’entendue par les motards, est devenue une utopie infranchissable. PoussĂ©e Ă  l’extrĂȘme, elle mĂšne au chaos scĂšne du cimetiĂšre oĂč rien n’est plus sous le moindre contrĂŽle. En sociĂ©tĂ©, au-delĂ  de fasciner, elle effraie, et mĂšne les individus Ă  agir de maniĂšre totalement dĂ©raisonnable, comme en tĂ©moigne l’assassinat gratuit des motards, ainsi que celui de l’avocat. AprĂšs tout, ce bad ending est trĂšs judicieux, car il marque, mais respecte Ă©galement le discours du film jusqu’au bout. Peter Fonda et Dennis Hopper dans Easy Rider 1969 Easy Rider est un film qui permet de s’évader sous fond de bonne musique des annĂ©es 1960, mais surtout de rĂ©flĂ©chir sur une thĂ©matique trĂšs intĂ©ressante, et ce avec beaucoup de justesse. Sans superflu, il suit un raisonnement judicieusement construit, et qui permet d’intĂ©grer la problĂ©matique du film sans entrer dans des schĂ©mas alambiquĂ©s. Dans ce pĂ©riple initiatique plein de symbolique, Easy Rider rĂ©ussit la parfaite association entre une esthĂ©tique soignĂ©e, et une histoire intĂ©ressante. Jamais prĂ©tentieux mais plein de rĂ©fĂ©rences culturelles et d’élĂ©ments de rĂ©flexion philosophiques, il ouvre la voie vers la dĂ©cennie des seventies, celle de nouveaux chamboulements culturels, notamment en matiĂšre de cinĂ©ma. Introduction du film avec le titre Born to be wild » de Steppenwolf 158 source

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Sorti en 1969, "Easy Rider" est l'un des films Ă©tendards de la contre-culture amĂ©ricaine des annĂ©es Fonda laisse toute une gĂ©nĂ©ration orpheline. L'acteur amĂ©ricain, rendu cĂ©lĂšbre par son rĂŽle de motard dans le film Easy Rider en 1969, est mort, vendredi 16 aoĂ»t, Ă  son domicile de Los Angeles, Ă  l'Ăąge de 79 ans. Fils de la star d'Hollywood Henry Fonda, petit frĂšre de Jane Fonda et pĂšre de Bridget Fonda, il a succombĂ© Ă  un arrĂȘt respiratoire, provoquĂ© par un cancer du poumon. Easy Rider, Ă©crit par Peter Fonda, Dennis Hopper et Terry Southern, interprĂ©tĂ© par les deux premiers et rĂ©alisĂ© par Hopper, raconte l'Ă©popĂ©e de deux motards, Wyatt et Billy, dont le voyage Ă  travers l'AmĂ©rique est semĂ© d'embĂ»ches. Il Ă©voque la quĂȘte de libertĂ©, Ă  travers une odyssĂ©e Ă  moto dans les grands espaces du sud-ouest amĂ©ricain. L'image de Peter Fonda les jambes Ă©tendues sur son chopper Harley-Davidson peint aux couleurs du drapeau amĂ©ricain est emblĂ©matique du cinĂ©ma de cette Ă©poque. "Tandis que nous pleurons la perte de cet homme doux et gracieux, nous souhaitons aussi cĂ©lĂ©brer son esprit indomptable et son amour de la vie, Ă©crit la famille de l'acteur en annonçant sa mort. En l'honneur de Peter, portez un toast Ă  la libertĂ©, s'il vous plaĂźt." Jane Fonda s'est dite "trĂšs triste". "C'Ă©tait mon gentil petit frĂšre adorĂ©, le bavard de la famille, a dĂ©clarĂ© l'actrice. J'ai passĂ© des moments merveilleux seule avec lui ces derniers jours. Il est parti en riant." Easy Rider, pour lequel Peter Fonda a Ă©tĂ© nommĂ© aux Oscars dans la catĂ©gorie meilleur scĂ©nario, a ouvert une nouvelle Ăšre Ă  Hollywood. Depuis sa fin marquĂ©e par une mort violente, les conventionnelles "happy end" ont laissĂ© place Ă  des Ă©pilogues moins enchantĂ©s. AprĂšs ce succĂšs, Peter Fonda a multipliĂ© les rĂŽles dans diffĂ©rents registres, aussi bien au cinĂ©ma qu'Ă  la tĂ©lĂ©vision. En 1998, il avait concouru aux Oscars pour son rĂŽle dans le film L'Or de la vie, de Victor Nuñez, qui lui a finalement valu un Golden Globe. Plus rĂ©cemment, Peter Fonda avait jouĂ© MĂ©phistophĂ©lĂšs dans Ghost Rider 2007. La mĂȘme annĂ©e, il avait effectuĂ© une apparition remarquĂ©e dans le remake du western 3h10 pour Yuma, aux cĂŽtĂ©s de Christian Bale et Russell Crowe. Son dernier film, The Last Full Measure, avec Samuel L. Jackson, Morgan Freeman et Laurence Fishburne, doit sortir fin octobre aux Etats-Unis. Pour cĂ©lĂ©brer le 50e anniversaire de la sortie du film, Peter Fonda avait organisĂ© une projection de ce long-mĂ©trage de lĂ©gende, Ă  New York, le 20 septembre prochain. Des musiciens devaient interprĂ©ter la cĂ©lĂšbre bande-son rock du film, dont l'inoubliable Born to Be Wild, du groupe Steppenwolf. NĂ© en 1940 Ă  New York, Peter Fonda a Ă©tĂ© trĂšs tĂŽt orphelin de sa mĂšre, Frances Ford Seymour, qui s'est suicidĂ©e. Il a dĂ©clarĂ© dans des entretiens n'avoir Ă©tĂ© informĂ© que bien plus tard qu'il s'agissait d'un suicide. Il admirait son pĂšre, Henry Fonda, tĂȘte d'affiche de films comme Les Raisins de la colĂšre ou 12 Hommes en colĂšre, mais a ensuite dĂ©crit celui-ci comme Ă©motionnellement distant. Peter Fonda laisse derriĂšre lui sa femme, Margaret DeVogelaere, et les enfants qu'il a eus d'une prĂ©cĂ©dente union avec Susan Brewer, Bridget et Justin Fonda. Ses deux enfants ont aussi travaillĂ© Ă  Hollywood. Militant Ă©cologiste de la premiĂšre heure, l'acteur avait fait sensation au festival de Cannes, en 2011, lorsqu'il avait qualifiĂ© le prĂ©sident amĂ©ricain de l'Ă©poque, Barack Obama, de "putain de traĂźtre". Il lui reprochait sa gestion d'une marĂ©e noire dans le Golfe du Mexique, provoquĂ©e par le naufrage de la plate-forme pĂ©troliĂšre Deepwater Horizon.
\n \nil a realise le film easy rider
LosAngeles - L'acteur amĂ©ricain Peter Fonda, rendu cĂ©lĂšbre par son rĂŽle de motard dans le film culte "Easy Rider" (1969), qu'il avait co-Ă©crit, est mort vendredi matin Ă  Jour de tristesse pour CrĂ©er Entreprendre suite Ă  l’annonce de la mort de Dennis Hopper le 29 Mai 2010. Celui qui a rĂ©alisĂ© le film culte Easy Rider avec son ami Fonda en embarquant un Nickolson plus dĂ©jantĂ© que nature est dĂ©cĂ©dĂ© des suites d’un cancer de la prostate. Easy rider, l’époque oĂč le dĂ©lire, la passion l’emportaient encore sur le business ou encore comment Ă  partir de rien, avec un scĂ©nario Ă©pais comme une feuille de cigarette, deux allumĂ©s » ont rĂ©ussi Ă  en faire un film culte. On le gardera en mĂ©moire sur cette scĂšne oĂč sur Born to be Wild de Steppenwolf deux riders chevauchant des montures mythiques prennent le ruban bleu pour un long trip. Pour l’hommage et le plaisir, on a ressorti la vidĂ©o. DennisHopper, dĂ©cĂ©dĂ© le 29 mai dernier d'un cancer, Ă©tait surnommĂ© le rebelle d'Hollywood. Il a marquĂ© toute une gĂ©nĂ©ration grĂące au road movie Easy Rider qu'il a rĂ©alisĂ© et dans L'acteur amĂ©ricain Peter Fonda, rendu cĂ©lĂšbre par son rĂŽle de motard dans le film culte Easy Rider 1969, qu'il avait co-Ă©crit, est mort vendredi 16 aoĂ»t, le matin, Ă  son domicile de Los Angeles Ă  l'Ăąge de 79 ans, a annoncĂ© son de la lĂ©gende d'Hollywood Henry Fonda, petit frĂšre de Jane Fonda et pĂšre de Bridget Fonda, Peter Fonda est mort d'un arrĂȘt respiratoire provoquĂ© par un cancer du poumon, a indiquĂ© son publiciste dans un communiquĂ©."Tandis que nous pleurons la perte de cet homme doux et gracieux, nous souhaitons aussi cĂ©lĂ©brer son esprit indomptable et son amour de la vie. En l'honneur de Peter, portez-un toast Ă  la libertĂ© s'il vous plaĂźt", conclut le communiquĂ© signĂ© de sa famille."Il est parti en riant""Je suis trĂšs triste. C'Ă©tait mon gentil petit frĂšre adorĂ©. Le bavard de la famille. J'ai passĂ© des moments merveilleux seule avec lui ces derniers jours. Il est parti en riant", a dit Jane Fonda dans une Rider, Ă©crit par Peter Fonda, Dennis Hopper, et Terry Southern, interprĂ©tĂ© par les deux premiers et rĂ©alisĂ© par Hopper, est l'un des films Ă©tendards de la contre-culture amĂ©ricaine des annĂ©es soixante. Il Ă©voque la quĂȘte de libertĂ© Ă  travers une odyssĂ©e Ă  moto dans les grands espaces du sud-ouest de Peter Fonda les jambes Ă©tendues sur son chopper Harley-Davidson peint aux couleurs du drapeau amĂ©ricain est emblĂ©matique du cinĂ©ma de cette Ă©poque. Un exemplaire de cette moto s'Ă©tait vendu aux enchĂšres 1,35 million de dollars en cĂ©lĂ©brer le 50e anniversaire de la sortie du film le 14 juillet 1969, Peter Fonda avait organisĂ© une projection Ă  New York le 20 septembre prochain, avec des musiciens pour interprĂ©ter la cĂ©lĂšbre bande-son rock du film, dont l'inoubliable Born to Be Wild du groupe Golden Globe pour L'Or de la vieEn 1998, Peter Fonda avait concouru aux Oscars pour son rĂŽle dans le film L'Or de la vie de Victor Nuñez, qui lui a finalement valu un Golden rĂ©cemment, Peter Fonda avait jouĂ© MĂ©phistophĂ©lĂšs dans Ghost Rider 2007. Son dernier film, The Last Full Measure, avec Samuel L. Jackson, Morgan Freeman et Laurence Fishburne, doit sortir fin octobre aux Ă©cologiste de la premiĂšre heure, l'acteur avait fait sensation au festival de Cannes en 2011 lorsqu'il avait qualifiĂ© le prĂ©sident amĂ©ricain de l'Ă©poque, Barack Obama, de "putain de traĂźtre" en lui reprochant sa gestion d'une marĂ©e noire dans le Golfe du Mexique provoquĂ©e par le naufrage de la plate-forme pĂ©troliĂšre Deepwater Horizon. Lacteur amĂ©ricain Peter Fonda, icĂŽne de la contre-cultre des annĂ©es 1960.CHRISTOPHE SIMON / AFP LĂ©gende d’Hollywood, Peter Fonda s’est Ă©teint Ă  Los Angeles Ă  l’ñge de 79 ans ce vendredi 16 aoĂ»t. L’acteur souffrait d’un cancer des poumons. Plusieurs fois nommĂ© aux oscars, il Ă©tait devenu cĂ©lĂšbre pour son rĂŽle dans le film culte «Easy [] Il est mort d'un cancer Ă  l'Ăąge de 74 ans. Bad boy d'Hollywood, rĂ©publicain averti, brillant photographe, acteur excessif et talentueux, Dennis Hopper est dĂ©cĂ©dĂ© samedi des suites d'un cancer de la prostate dont il souffrait depuis 2002. Il Ă©tait ĂągĂ© de 74 ans. NĂ© au Kansas Etats-Unis le 17 mai 1936, Dennis Hopper a jouĂ© dans plus de 150 films. Reconnu comme rĂ©alisateur, peintre, poĂšte et photographe, il a fait ses dĂ©buts d'acteur aux cĂŽtĂ©s de James Dean en tenant un rĂŽle dans La Fureur de vivre et GĂ©ant. EntrĂ© en conflit ouvert avec le rĂ©alisateur Henry Hathaway sur le tournage du film de La Fureur des Hommes, Dennis Hopper se voit banni de Hollywood pendant plusieurs annĂ©es Ă  cause de son comportement et se tourne pendant un certain temps vers la photographie. AprĂšs ĂȘtre apparu dans plusieurs sĂ©ries tĂ©lĂ© comme Bonanza, La QuatriĂšme Dimension ou The Defenders, avoir tournĂ© avec John Wayne ou Peter Fonda, Dennis Hopper se fait vraiment un nom Ă  Hollywood en rĂ©alisant le film culte Easy Rider en 1969. Il met ensuite en scĂšne d'autres films, comme The Last Movie, qui ne trouve pas son public. Il met alors sa carriĂšre entre parenthĂšses pendant plusieurs annĂ©es. MalgrĂ© des problĂšmes personnels liĂ©s Ă  sa dĂ©pendance Ă  l'alcool et Ă  la drogue, il revient sur les plateaux et on l'aperçoit notamment dans Apocalypse Now. Le succĂšs revient avec Out Of The Blue, qu'il rĂ©alise et dans lequel il joue. Dans les annĂ©es 1980, Dennis Hopper met fin Ă  ses dĂ©pendances et tourne dans Rusty James de Francis Ford Coppola, The Osterman Weekend, Blue Velvet de David Lynch et Colors. PersonnalitĂ© importante Ă  Hollywood, il continue Ă  apparaĂźtre au cinĂ©ma dans les films d'action Speed face Ă  Keanu Reeves ou Waterworld avec Kevin Costner. Jusqu’à l’annĂ©e derniĂšre, Dennis Hopper Ă©tait en vedette dans la sĂ©rie Crash. GoiCvAV. 375 423 128 339 345 21 178 381 63

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