tauxa 27 et règles. je suis nouvelle sur ce forum et j’ai longuement hésité a poster pour ne pas psychoter d’avantage. je vous ai beaucoup lue . je suis a j15 post ponction d’une icsi avec transfert de 2 blastos. j’ai eu mes règles a j12 , 1 jour avant la 1ere pds , j’hésitait a la faire et puis l’infirmière m’a
Publié le 24/11/2020 à 12h27 , mis à jour le 24/11/2020 à 12h27 L'événement marque le début de la grossesse l’embryon s’implante dans l’utérus de sa mère. Comment se déroule cette phase ? Quels sont les symptômes ressentis ? Quels problèmes peuvent survenir ? Le Pr Cyril Huissoud répond à nos interrogations. Un spermatozoïde a rencontré l’ovule dans une trompe de Fallope, en flottant librement. Cinq à six jours après la fécondation, l'œuf, qui a triplé de dimensions, termine son voyage dans la cavité utérine. Il lui faut encore quelque temps avant de s’implanter. Un début de grossesse La nidation a donc lieu entre sept et huit jours après la fécondation. Dans le cas d'une fécondation in vitro, elle se fait environ quatre jours après le transfert dans l'utérus. L’embryon se trouve au stade de "blastocyste" et il se colle à la muqueuse, l’endomètre. Celle-ci, en amont, sous influence des hormones œstrogènes, puis progestérone a pris un aspect dentelé, s’est épaissie et enrichie en vaisseaux sanguins. "L’embryon va alors perdre la pellicule qui l’entoure", explique le professeur Cyril Huissoud, secrétaire général du Collège national des gynécologues et obstétriciens français CNGOF. Ce sont les cellules trophoblastiques, qui deviendront le placenta et permettront au futur bébé de recevoir l’oxygène et les nutriments dont il a besoin, à travers des échanges sanguins. Les vaisseaux de l’endomètre sont rompus, de nouveaux se créent à proximité du placenta embryonnaire. Ces cellules implantées en profondeur sécrètent très vite de l'HCG hormone chorionique gonadotrope, dont la détection est à la base des tests de grossesse. Cette hormone permet à la muqueuse utérine de se maintenir les règles n'auront pas lieu. L'implantation de l’embryon dure quelques jours. On considère que la grossesse débute à ce moment-là . Suivez votre grossesse semaine après semaine Lorsque l'œuf s’implante mal... Mais la nidation d’un œuf fécondé ne survient pas systématiquement. "On peut évaluer qu'elle est effective dans 25 à 50 % des cas lorsque l’embryon arrive dans la cavité utérine. Mais il est très difficile d’avoir une estimation précise", reprend Cyril Huissoud. Le spécialiste cite des pathologies de l’implantation, comme une muqueuse de qualité insuffisante, un défaut d’imprégnation hormonale, un problème de coagulation du sang… Les mécanismes sont complexes et demeurent mal connus. "Le plus souvent, on ignore la cause des problèmes de nidation même si, pour une part importante, ils peuvent être liés à des anomalies chromosomiques venant de la conception de l’embryon. L’aide médicale est assez modeste dans les fausses-couches à répétition. Des thérapeutiques ciblées peuvent toutefois être entreprises dans certaines situations particulières, mais généralement on essaie d’améliorer l’implantation embryonnaire en donnant de la progestérone, avec des capsules par voie vaginale". La nidation peut aussi se produire en dehors de l’utérus, lorsque l’embryon reste coincé dans une trompe de Fallope ou, plus rarement, dans la cavité abdominale. On parle alors de grossesse extra-utérine – une urgence représentant un danger pour la mère. NON aux régimes, OUI à WW ! Des signes pour déceler une nidation réussie Lorsque l’envie de grossesse est forte, certaines femmes cherchent à ressentir cette étape capitale de la nidation. Certaines rapportent de faibles symptômes, d’autres ne vont rien relever. Le signe le plus fréquent consiste en un léger saignement, qui correspond à la rupture des vaisseaux sanguins de l’endomètre lorsque l’embryon creuse sa place. Ces pertes ne doivent pas être confondues avec les règles, car leur volume est beaucoup plus faible. Aucune douleur n’est de mise. Selon Cyril Huissoud, "on peut aussi remarquer précocement des signes observés habituellement lors du 1er trimestre de la grossesse des nausées matinales, des vomissements, des tensions mammaires, des difficultés du sommeil avec des patientes hypersomniaques… Ils sont associés à l’imprégnation en progestérone et en hCG, liée à l'implantation". Mais, après le début de la nidation vers le 21e jour du cycle, les sécrétions hormonales demeurent faibles. Ces symptômes apparaissent dans les jours qui suivent et restent peu marqués avant l’aménorrhée. Une aménorrhée, soit l’absence de règles, qui reste dailleurs le signe le plus probant d’une implantation réussie de l’embryon. À voir aussiLetransfert. Les embryons sont replacés dans l’utérus 2, 3 ou 5 jours après la ponction, selon la procédure la mieux adaptée à votre situation. A ce moment, ils comptent en moyenne 4 (jour 2), 8 (jour 3) ou quelques dizaines (jour 5) de cellules. Afin de limiter le risque de grossesse multiple de haut rang, la loi belge du 16 juillet
Lorsque l’envie d’agrandir la famille se fait sentir, on guette chaque mois l’apparition des fameux signes de la grossesse. Mais quels sont-ils ? Quand surviennent-ils ? Sont-ils systématiques ? Et surtout, peut-on se fier à de tels symptômes ? Explications. Suis-je enceinte ? La grossesse implique de profonds bouleversements dans le corps d’une femme. Avant même que le ventre ne s’arrondisse, le chamboulement hormonal qui accompagne cette période est si grand qu’il provoque des signes précoces et des symptômes caractéristiques de la grossesse que vous pouvez plus ou moins reconnaître... 6 à 8 jours après la fécondation, la nidation de l’œuf dans la muqueuse utérine déclenche la sécrétion de la première des hormones de grossesse, l’hormone HCG. C’est cette hormone qui va permette à l’œuf de ne pas être expulsé et de pouvoir se développer. C’est également la présence de cette hormone dans les urines et dans le sang qui va permettre de détecter l’état de grossesse. La libération de cette hormone dans l’organisme est souvent associée à la survenue de symptômes caractéristiques appelés signes sympathiques de grossesse. Jusqu’au 3ème mois de grossesse, l’hormone HCG va permettre au corps jaune actif dans l’ovaire de produire à forte dose de la progestérone et des œstrogènes des hormones essentielles au bon déroulement de la grossesse. A partir de la 12ème semaine, le placenta prend le relais et devient capable de produire lui-même les hormones nécessaires. Dès lors, les petits désagréments du 1er trimestre s’estompent pour finalement disparaître. Quand apparaissent les premiers signes de la grossesse ? Les tous premiers signes de grossesse débarquent de façon très variable chez les femmes. Pour certaines, les symptômes vont commencer à apparaître avant le constat du retard des règles, mais dans ce cas, les professionnels parlent davantage de symptômes d’ordre psychologiques. Ces dires restent néanmoins à prouver ! Pour d’autres, les premiers signes commencent à survenir dès les premiers jours qui suivent le retard des règles. On constate aussi que l’apparition de ces symptômes peut être plus tardive, par exemple vers la 5ème ou 6ème semaine de grossesse... Enfin, il arrive parfois qu’aucun signe de grossesse particulier ne survienne excepté le fameux retard de règles chez une femme enceinte. Signes de la grossesse sont-ils fiables ? Pas vraiment en réalité. Car il est tout à fait possible qu’une femme présente tous les signes de grossesse sans pour autant être enceinte. Il s’agit là de symptômes psychosomatiques c’est lorsqu’une femme a tellement envie d’être enceinte ou au contraire de ne pas l’être qu’elle parvient à se créer, sans qu’elle en ait conscience, ces symptômes. De même, on peut n’avoir aucun signe de grossesse et être véritablement enceinte. Certaines femmes présentent également des symptômes prémenstruels identiques à ceux d’une grossesse. Dans ce dernier cas, il est impossible de savoir s’il s’agit de signes de grossesse ou de signes qui annoncent l’arrivée imminente des règles. Vous voyez, il est très difficile de se fier aux signes de la grossesse... ce ne sont pas des indices fiables à 100%. Les signes de la grossesse sont-ils systématiques ? Non, ils ne sont pas du tout systématiques. Une femme peut être enceinte tout en ne présentant aucun signe de grossesse mis à part le retard des règles. Il faut savoir que ces symptômes diffèrent d’une femme à une autre et même d’une grossesse à une autre. Eh oui Il est possible d’être ravagée par les nausées pour son premier bébé... et n’en avoir aucune pour le deuxième par exemple ! A SAVOIR on constate qu’environ une femme enceinte sur deux présente des symptômes caractéristiques d’une grossesse ! Mais au fait... quels sont ces signes précoces caractéristiques ? Quels sont les différents signes de grossesse >>> Les mamelons de vos seins foncent Dès le 1er mois de grossesse, le corps de la femme se prépare en vue de l’accouchement ainsi qu’au futur allaitement de Bébé provoquant alors une modification visible de la poitrine. Une femme enceinte qui s’observe, va très rapidement constater que ses mamelons changent de couleur, ils deviennent bruns, sombres et foncés... Les aréoles se sont peut-être même élargies ? Eh bien, ce changement physique est l’un des premiers signes d’une fécondation qui a réussi ! Soyez attentive, car d’autres signes précoces peuvent apparaître ! >>> Gonflement de la poitrine Autre signe évocateur d’un début de grossesse le gonflement de la poitrine ! La poussée des hormones provoquent un gonflement des seins et peut-être même de légères douleurs lancinantes. Physiquement, les mamelons peuvent aussi "se bomber". Sous l’effet du bouleversement hormonal, la poitrine se modifie et de petits points apparaissent tout autours des mamelons, il s’agit des tubercules de Montgomery ! >>> La température de votre corps Vous ne le sentez pas forcément, mais votre conjoint qui dort à vos côtés vous trouve anormalement chaude, voire brûlante ! Quelques jours après la conception de bébé, la température du corps peut se modifier chez certaines femmes. La faute à qui ? Aux hormones bien sûr ! >>> Les nausées ou vomissements Les nausées des femmes enceintes ne sont pas de simples légendes, elles sont bien réelles et sont caractéristiques des 3 premiers mois de grossesse ! Certaines ne connaissent absolument pas ce désagrément et d’autres, un peu moins chanceuses, sont assaillies par ce mal désagréable et tellement inconfortable ! Plus de la moitié des femmes sont affectées par les nausées du 1er trimestre de grossesse. Leur apparition coïncide étrangement avec la libération de l’hormone HCG. Si les nausées vous gâchent la vie, sachez que vous pouvez les limiter... Pour en savoir davantage consultez l’article Limiter les nausées durant la grossesse. >>> La fatigue extrême Dès les premières semaines de grossesse, la femme enceinte est assaillie par un fléau incontrôlable la fatigue extrême ! Ce signe évocateur est très récurrent touche la plupart des futures mamans. Résultat Vous vous sentez constamment fatiguée, touchée d’une envie irrépréhensible de dormir. Les principales fautives de ce désagrément sont les hormones dont la hausse provoque bien des maux ! Dans ce cas, il est conseillé de ne pas lutter et de vous reposer dès que possible... sans culpabiliser ! >>> Hypersensibilité et humeur changeante ! Vous ne vous reconnaissez plus ? Vous passez des rires aux larmes en quelques secondes et la moindre émotion produit en vous un bouleversement total ! Cette hypersensibilité est liée à la hausse des hormones, la plupart des femmes enceintes passent par cet état émotionnel instable. L’hypersensibilité est un signe de grossesse fiable qui peut être très déroutant. La perte de contrôle des émotions est souvent difficile à gérer pour la future maman mais également pour le futur papa qui ne comprend plus sa dulcinée ! Cette sensibilité à fleur de peau est également liée aux changements psychologiques que la grossesse implique une nouvelle vie, peur de l’accouchement, angoisse d’être une mauvaise mère... Prenez courage Mesdames, votre corps subit de lourdes transformations, soyez indulgente envers vous-même, vous vous apprêtez à changer de vie pour devenir mère. Courage également au futur Papa qui va devoir faire preuve de patience et de compréhension à votre égard. >>> Envie fréquente d’uriner Dès le début de la grossesse, les envies fréquentes d’uriner débarquent... tout le monde le sait ! Ce signe évident et inconfortable est souvent révélateur d’un état de grossesse. Les envies fréquentes d’uriner son liées à la hausse des hormones dans le corps de la future maman ainsi qu’à la pression exercée par l’utérus sur la vessie. Autant vous le dire tout de suite ce désagrément va durer et perdurer tout au long de la grossesse ! Mieux vaut vous y habituer dès maintenant ! >>> Constipation et ballonnement La constipation est une gêne récurrente chez de nombreuses femmes enceintes. Les causes originelles de ce désagrément sont liées à l’élévation du taux d’hormones, à la prise de volume de l’utérus qui appuie sur vos intestins, à la diminution de l’activité physique et dans certains cas, au manque de fer. >>> Modification du goût envies et dégoûts alimentaires ! Lorsqu’une femme tombe enceinte, son odorat devient beaucoup plus fin, ce qui entraîne alors une modification des goûts alimentaires des envies ou des dégoûts bien spécifiques. Des aliments auparavant appréciés sont soudainement délaissés pour des mets particuliers. Les causes exactes des fameuses envies de la femme enceinte sont assez mystérieuses mais les origines possibles assez nombreuses. Au-delà de tout ça, il est aussi possible que certaines odeurs vous écœurent provoquant alors des nausées... Si vous êtes sujette à ce type de symptôme, il est très possible que vous soyez enceinte ! >>> Salivation excessive L’hypersalivation est un désagrément assez fréquent chez la femme qui est enceinte pour la première fois. La salivation excessive est un signe caractéristique de grossesse qui se caractérise par une sécrétion très abondante de salive jusqu’à 2 litres par jour chez certaines femmes !. Les causes exactes de ce symptôme demeurent assez floues bien que le fléau soit assez récurrent ! L’hypersalivation peut aussi être accompagnée d’un petit goût métallique dans la bouche. >>> Des saignements et de légères crampes ? Une bonne semaine après l’ovulation, l’oeuf qui était "en voyage" dans l’utérus creuse un petit nid pour se fixer sur la paroi utérine, c’est ce qu’on appelle la nidation. Cette phase correspond à la première étape de la grossesse. Durant la nidation, il n’est pas rare que la future mère ressente quelques crampes dans le bas du ventre. Ces dernières peuvent également être accompagnées de petits saignements. Ces flux n’ont rien à voir avec des règles car ils sont beaucoup moins abondants. Généralement, ces saignements sont de couleur brune, il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter. Toutefois, si les flux sont de couleur rouge et qu’ils sont accompagnés de petits caillots, contactez rapidement votre gynécologue. >>> Augmentation des pertes blanches En dehors de la grossesse, les pertes blanches sont fréquentes chez la plupart des femmes. Une fois enceinte, le phénomène devient plus dense les sécrétions vaginales se font beaucoup plus abondantes et ne passent pas inaperçues chez la future maman... >>> Absence de règles Dans la plupart des cas, le retard des règles est le signe qui donne l’alerte d’un début de grossesse ! Mais certaines femmes ont des règles irrégulières, ce qui rend le signe très peu fiable en réalité ! Pourquoi ne pas faire un test de grossesse ? >>> Un 6ème sens ? Un signe qui ne relève absolument pas de la science mais qui a pourtant fait ses preuves le 6ème sens féminin ! A peine quelques jours sont passés depuis la conception et vous vous sentez déjà différente... C’est un sentiment difficile à expliquer. Quelque chose se passe en vous, vous le supposez, vous le ressentez, mais quoi ? Certains n’y croient absolument pas et pourtant... Le 6ème sens des femmes n’est plus à prouver ! Beaucoup d’entre nous se sont senties "maman" quelques jours seulement après la conception... Et vous savez quoi ? Leur 6ème sens s’est avéré exact ! En conclusion, je vous dirai que les signes de la grossesse ne sont pas systématiques et qu’ils varient selon les femmes et les grossesse. Pour certaines d’entres vous, ils vont être des indices fiables mais pas pour toutes... ce qui les rend finalement pas forcément fiables à 100%. Le désir d’avoir un bébé peut être si fort qu’il peut induire en erreur et prendre le dessus sur le mental qui s’invente de faux symptômes. De même, le besoin de materner peut également pousser à mal interpréter certains signes un retard de règles peut être provoqué par une période de stress, un gonflement de la poitrine peut être dû à la survenue des prochaines règles... Bref, décrypter les signaux du corps est un travail très difficile. Pour celles qui sont en essai bébé, restez confiante et essayez de ne pas vous focaliser sur l’apparition de signes ou de symptômes. Courage à toutes !Commentsavoir quand l’ovule est expulsé ? Pour calculer votre date d’ovulation, il faut donc retirer ces quatorze jours à la totalité de votre cycle. Si vos cycles sont de 24 jours environ, la date de votre ovulation est de 24 – 14 = 10. Elle a lieu vers le 10e jour de votre cycle (soit 10 jours après le premier jour des règles). L’ovulation constitue une phase du cycle menstruel chez la femme. Elle implique la libération d’un ovule par l’un des ovaires et survient, approximativement, une fois par mois jusqu’à la ménopause à ne pas confondre avec la préménopause, chez les femmes qui ne sont pas enceintes ou qui n’allaitent pas. Quand certaines femmes ovulent, elles éprouvent des sensations douloureuses appelées douleurs ovulatoires et cliniquement désignées par le terme mittelschmerz. Chez d’autres par contre, ces douleurs peuvent survenir avant ou après l’ovulation. Elles sont tout à fait normal et sont, généralement, sans gravité, car elles ne constituent pas le signe d’une pathologie. Les causes de cette douleur d’ovulation sont liées à divers facteurs. L’ovulation est un processus au cours duquel un ovule, arrivé à maturation, est libéré par l’un des ovaires glandes sexuelles féminines après la rupture du follicule. Cet ovule est, alors, prêt pour la fécondation. L’ovule qui est, ainsi, libéré séjourne durant 1 ou 2 jours dans les trompes de Fallope en vue d’être fécondé par un spermatozoïde. Au cours de cette période, la muqueuse de l’utérus endomètre s’épaissit pour préparer l’implantation d’un ovule fécondé. Lorsqu’il n’y a pas de fécondation, l’ovule commence à se désintégrer et la couche superficielle de l’endomètre se désagrège progressivement. L’excrétion de l’ovule non fécondé et de la paroi utérine provoque le saignement vaginal ou les menstruations règles chez la femme. Le premier jour des règles correspond au premier jour du cycle menstruel qui a une durée moyenne de 28 jours. Pour un cycle de 28 jours, l’ovulation intervient habituellement au milieu du cycle, soit au 14ème jour. Généralement, avec les autres cycles pouvant varier de 21 à 35 jours, l’ovulation survient 14 jours avant la survenue des prochaines règles. La période de l’ovulation constitue le moment le plus fertile du cycle menstruel. Douleurs de l’ovulation Mittelschmerz, un mot allemand signifiant ’douleur moyenne’’ est, également utilisé pour désigner la douleur d’ovulation ou douleur de mi-cycle. Des femmes ressentent ces douleurs ovulatoires différemment. Ces sensations douloureuses surviennent à des moments différents du cycle menstruel en fonction des femmes. Elles sont, généralement, caractérisées par une gêne ressentie au niveau d’une ou plusieurs régions anatomiques. Ces douleurs, généralement légères, ne sont synonymes d’aucune maladie puisqu’il s’agit d’une réaction naturelle du corps féminin. Elles sont assimilables, parfois, à des élancements, une pression inconfortable, un léger pincement ou tiraillement, des crampes, qui peuvent être circonscrites au niveau du bas-ventre douleur pelvienne, juste au niveau de l’os de la hanche ou au niveau du côté inférieur du dos. Un mal de ventre peut être ressenti par certaines femmes. Ces douleurs peuvent être sourdes et persistantes, parfois soudaines et vives durant une période de temps variable d’une femme à une autre. En général, la durée est de quelques minutes à 48 heures. Ces sensations douloureuses variant d’une femme à une autre, peuvent être ressenties du côté droit ou gauche, en fonction de l’ovaire qui libère l’ovule. Chez certaines femmes, c’est le même ovaire qui libère un ovule au cours de chaque cycle, chez d’autres, il y a une alternance au cours de chaque cycle. Pendant plusieurs cycles menstruels, ces sensations douloureuses peuvent prévaloir au niveau d’un seul côté ou passer d’un côté à l’autre côté d’un cycle menstruel à un autre. Causes des douleurs avant l’ovulation La période qui précède l’ovulation est également appelée phase folliculaire ou encore phase pré-ovulatoire. Elle est marquée par l’action de l’hormone FSH hormone folliculo-stimulante qui stimule la sécrétion des œstrogènes par les ovaires. Cette production accrue d’œstrogènes induit un épaississement de l’endomètre muqueuse tapissant la paroi interne de l’utérus en vue de préparer une éventuelle nidation. Aussi, sous l’hormone folliculo-stimulante, les follicules croissent et se développent. Il y a donc un gonflement des follicules ovariens, avec notamment, plusieurs d’entre eux qui entament leur maturation jusqu’à ce que l’un d’eux soit dominant et appelé le follicule de Graaf. Cette douleur qui est ressentie avant l’ovulation peut, donc, provenir du fait que tous les follicules croissent et mûrissent dans les ovaires avant qu’un d’entre eux ne domine sur les autres, induisant un élargissement des ovaires. Ainsi, c’est la croissance des follicules avec des follicules assez gros au cours de la phase pré-ovulatoire ou encore appelée la phase de folliculogénèse, qui provoque une distension des ovaires, générant des sensations douloureuses. La durée moyenne de la phase folliculaire pouvant varier d’une femme à une autre, est en moyenne de 14 jours pour une femme ayant un cycle de 28 jours. Causes des douleurs pendant l’ovulation L’ovulation est une période qui dure en moyenne 48 heures. Elle est marquée par la rupture de la paroi d’un follicule, libérant un ovocyte qui est happé par la trompe de Fallope. Cette rupture libère du sang, provoquant une douleur, une irritation au niveau du revêtement abdominal. Cette sensation douloureuse est également ressentie par certaines femmes lorsqu’intervient la rupture de la paroi ovarienne, avec l’ovule qui brise la paroi du follicule de Graaf, puis la paroi de l’ovaire. La rupture folliculaire est liée à l’activation d’enzymes et à une réaction inflammatoire localisée. Au moment de l’ovulation, les muscles lisses des ovaires induisent, également, des contractions musculaires qui favorisent l’expulsion de l’ovocyte. Ces contractions génèrent également des sensations douloureuses. Aussi, les changements hormonaux qui surviennent au cours de l’ovulation provoquent une ovulation douloureuse marquée par des symptômes désagréables. Ces symptômes sont caractérisés par l’apparition des maux de tête ou migraines, des ballonnements, des nausées, etc. Il est possible de soulager ces désagréments. Nous espérons que ces quelques informations vous ont aidé. Une chose est sûre comprendre davantage son corps est une nécessité pour se sentir mieux et vous serez sans doute maintenant plus à l’aise » avec la douleur avant ovulation que vous pouvez ressentir de temps à autres. Continuons maintenant avec une autre sensation désagréable, les douleurs après l’ovulation. Causes des douleurs après l’ovulation La période qui intervient juste après l’ovulation ou la phase lutéale phase post-ovulatoire prend fin le premier des règles. En l’absence de fécondation, elle part de la fin de l’ovulation au début des règles. Elle est caractérisée par une durée de 14 jours. Pendant cette dernière phase du cycle menstruel, l’ovule libéré par l’ovaire, est capté par le pavillon de la trompe de Fallope, puis migre vers l’utérus. Par le biais de ses contractions musculaires, la trompe de Fallope facilite, ainsi, le transport de l’ovule vers l’utérus. L’activité des trompes de Fallope, marquée par ces contractions musculaires, peut générer des douleurs. Pendant cette phase du cycle menstruel, le follicule ovarien libéré se dégénère et se transforme en un corps jaune qui secrète de la progestérone. Cette hormone déclenche l’épaississement et une vascularisation de la muqueuse utérine afin de préparer l’implantation éventuelle d’un œuf fécondé. Lorsqu’il n’y pas de fécondation, le corps jaune s’atrophie, le taux de progestérone chute, ce qui favorise l’expulsion de l’endomètre lors de la période menstruelle.