TrĂšsintĂ©ressĂ© ou pas tellement; Donc pas professionnel; N'est pas professionnel GĂ©nĂ©ralement, les joueurs achĂštent des jeux Ă  gratter de la FDJ de maniĂšre habituelle, tout comme leur quotidien ou leur paquet de cigarettes. C’est presque mĂȘme un achat devenu impulsif et pas moyen d’y Ă©chapper, les prĂ©sentoirs allĂ©chants de la FDJ sont devant leur nez ! Or ainsi, impossible de savoir quels sont les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros. De ce fait, les piĂšges tendus par la FDJ fonctionnent Ă  merveille depuis des lustres ! Les joueurs ne se posent pas de question et tentent leur chance avec tel ou tel ticket au grĂ© du vent ! Grande erreur ce comportement qui alimente la FDJ et dĂ©sormais ses actionnaires en centaines de millions d’euros ! Donc, tout comme les jeux de grattage les plus rentables Ă  1 euro, nous avons fait de mĂȘme avec les jeux Ă  gratter au prix de 2 euros pour trouver les plus rentables Ă  chaque rang gagnant. Savourez cet article car il s’y trouve de belles surprises parmi la liste des jeux Ă  gratter Ă  2 euros ! Quels sont les jeux de grattage comparĂ©s pour trouver les plus rentables Ă  2 euros ? Si vous avez posĂ© cette question sur notre ami Google, Ă  savoir comment gagner aux jeux de grattage », car c’est l’une des questions les plus posĂ©es sur Google pour les jeux Ă  gratter, avec cet article vous avez trouvĂ© la solution ! En clair, il faut Ă©viter d’acheter les tickets Ă  gratter piĂšges » de la FDJ, c’est tout simple ! Pour ce faire, nous avons calculĂ© toutes les probabilitĂ©s pour rĂ©vĂ©ler quels sont les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros. Par ce biais, vous ne demanderez plus jamais Ă  Google comment gagner aux jeux de grattage de la FDJ ! Pour trouver Ă  chaque rang les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros, voici les jeux Ă  gratter comparĂ©s dans cet article Jeu Ă  gratter Super 200 Mini Mots CroisĂ©s Harald Les MystĂšres d’Horus Elixirius Yummy Stack Tellement Bling Bling Astro Solitaire X10 Black Jack Pactole Drakkar en Or AprĂšs la lecture de cet article, croyez-nous, vous saurez acheter un jeu Ă  gratter non pas au hasard mais bel et bien en fonction de vos chances de gagner Ă  chaque rang. Pour gagner 2 €, quels sont les meilleurs jeux de grattage FDJ ? Pour comprendre les tableaux ci-aprĂšs, c’est facile, nous vous l’assurons. Cases de couleur verte = jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros – Cases de couleur rouge = tickets Ă  gratter Ă  Ă©viter – Cases de couleur blanche = jeux Ă  gratter qui sont situĂ©s en milieu de classement entre les cases vertes et rouges. Ceux dans les cases blanches ne font pas partie aussi des jeux Ă  gratter les plus rentables Ă  2 euros. Et c’est identique pour les jeux de grattage les plus rentables Ă  5 euros. JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 2 €, soit pour espĂ©rer un remboursement NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 2 € sur 1 000 000 Super 200 175 900 chances de gagner 2 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 2 € Harald 140 366 chances de gagner 2 € Les MystĂšres d’Horus 120 066 chances de gagner 2 € Elixirius 156 666 chances de gagner 2 € Yummy Stack 177 500 chances de gagner 2 € Tellement Bling Bling 146 750 chances de gagner 2 € Astro 147 000 chances de gagner 2 € Solitaire 133 331 chances de gagner 2 € X10 99 733 chances de gagner 2 € Black Jack 66 660 chances de gagner 2 € Pactole 77 777 chances de gagner 2 € Drakkar en Or 77 333 chances de gagner 2 € Les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros listĂ©s ci-dessus pour espĂ©rer ĂȘtre remboursĂ© sont les jeux Ă  gratter Super 200 et le Yummy Stack. Nos calculs sur Excel dĂ©montrent irrĂ©futablement les pires jeux Ă  gratter de cette catĂ©gorie pour espĂ©rer un remboursement de votre mise. Donc, Ă©vitez les jeux Ă  gratter X10, Black Jack, le Pactole et le Drakkar en Or pour espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer votre mise de 2 euros ! Pour gagner 3 €, quel est le jeu de grattage Ă  2 euros qu’il faut choisir ? Vous n’avez pas beaucoup de choix ! 2 jeux Ă  gratter de la FDJ vous proposent de gagner 3 euros et ce sont les jeux Mini Mots CroisĂ©s et Drakkar en Or. Avec 116 000 chances sur 1 500 000, le jeu de grattage Drakkar en Or est fort mal placĂ© par rapport au jeu Ă  gratter Mini Mots CroisĂ©s qui lui vous offre 191 308 chances de gagner 2 euros ! JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 4 € NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 4 € sur 1 000 000 Super 200 Ne propose pas de gagner 4 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 4 € Harald 106 350 chances de gagner 4 € Les MystĂšres d’Horus 160 333 chances de gagner 4 € Elixirius 86 666 chances de gagner 4 € Yummy Stack 80 000 chances de gagner 4 € Tellement Bling Bling 101 250 chances de gagner 4 € Astro 105 777 chances de gagner 4 € Solitaire 112 334 chances de gagner 4 € X10 97 733 chances de gagner 4 € Black Jack 107 511 chances de gagner 4 € Pactole 100 000 chances de gagner 4 € Drakkar en Or Ne propose pas de gagner 4 € Le jeu de grattage le plus rentable Ă  2 euros listĂ© ci-dessus pour tenter de gagner 4 euros est le jeu Ă  gratter Les MystĂšres d’Horus. Par rapport aux jeux Ă  gratter situĂ©s dans les cases de couleur rouge, vous avez avec le jeu de grattage Les MystĂšres d’Horus prĂšs de 2 fois plus de chances de gagner 4 euros, c’est toujours bon Ă  savoir ! Pour gagner 5 €, quel est le jeu de grattage Ă  2 euros le plus rentable ? Tout comme pour tenter de remporter la somme de 3 euros, il existe peu de jeux Ă  gratter en vigueur pour un gain de 5 euros. Ils ne sont que 3 tickets Ă  gratter le Super 200, le Mini Mots CroisĂ©s et le Drakkar en Or. Le choix sera vite fait ! En effet, le jeu de grattage le plus rentable Ă  2 euros pour gagner 5 euros est le ticket Mini Mots CroisĂ©s. Il possĂšde 95 308 chances de plus que le Super 200 pour gagner 5 €. Mais il y a pire ! En effet, le jeu Ă  gratter Drakkar en Or est Ă  jeter Ă  la poubelle
 avec ses 144 888 chances de moins par rapport au Mini Mots CroisĂ©s. Le jeu Ă  gratter Mini Mots CroisĂ©s vous propose 191 308 chances de gagner 5 euros sur 1 500 000 tickets en circulation alors que le Super 200 est trĂšs mal placĂ© avec ses 96 000 chances. Mais c’est encore pire avec le jeu de grattage Drakkar en Or et ses 46 420 chances ! Ce dernier ticket Ă  gratter est surtout Ă  proscrire pour tenter de gagner 5 €
 JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 10 € NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 10 € sur 1 000 000 Super 200 31 500 chances de gagner 10 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 10 € Harald 10 000 chances de gagner 10 € Les MystĂšres d’Horus 33 333 chances de gagner 10 € Elixirius 28 666 chances de gagner 10 € Yummy Stack Ne propose pas de gagner 10 € Tellement Bling Bling 44 800 chances de gagner 10 € Astro 22 522 chances de gagner 10 € Solitaire 28 888 chances de gagner 10 € X10 Ne propose pas de gagner 10 € Black Jack 33 768 chances de gagner 10 € Pactole 44 444 chances de gagner 10 € Drakkar en Or 6 666 chances de gagner 10 € Les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros listĂ©s ci-dessus pour tenter de gagner 10 euros sont les jeux Ă  gratter Tellement Bling Bling et le Pactole. GrĂące aux probabilitĂ©s, on dĂ©tecte en un seul coup d’oeil ceux qu’il ne faut surtout pas acheter pour cibler un gain de 10 euros. Ce sont les jeux Ă  gratter Harald et le Drakkar en Or ! Ce sont les tickets Ă  gratter piĂšge » de cette sĂ©rie pour tenter un gain de 10 euros. Pour gagner 15 €, quel est le jeu de grattage Ă  2 euros le plus rentable ? Pour tenter de gagner 15 euros, 1 seul jeu Ă  gratter existe et c’est le Mini Mots CroisĂ©s. Nous vous proposons plutĂŽt de cibler un gain de 20 euros avec les jeux Ă  gratter listĂ©s sur le tableau ci-dessous. C’est prĂ©fĂ©rable car pour 15 euros de gain, le jeu Mini Mots CroisĂ©s a aucune concurrence dans la gamme de jeux Ă  gratter Illiko au prix de 2 euros. Donc, aucun intĂ©rĂȘt Ă  le comparer
 JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 20 € NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 20 € sur 1 000 000 Super 200 8000 chances de gagner 20 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 20 € Harald 26 666 chances de gagner 20 € Les MystĂšres d’Horus 6666 chances de gagner 20 € Elixirius 14 200 chances de gagner 20 € Yummy Stack 15 000 chances de gagner 20 € Tellement Bling Bling 7875 chances de gagner 20 € Astro 10 000 chances de gagner 20 € Solitaire 16 666 chances de gagner 20 € X10 12 222 chances de gagner 20 € Black Jack 13 753 chances de gagner 20 € Pactole 10 777 chances de gagner 20 € Drakkar en Or Ne propose pas de gagner 20 € Le jeu de grattage le plus rentable Ă  2 euros listĂ© ci-dessus pour tenter de gagner 20 euros est le jeu Ă  gratter Harald et de trĂšs loin ! Tous les tickets Ă  gratter dans les cases de couleur rouge comme le jeu de grattage Astro sont Ă  Ă©viter pour tenter de gagner 20 euros. Y’a pas photo ! Pour gagner 40 €, quel est le meilleur jeu de grattage Ă  2 euros ? Tenter de gagner 40 euros Ă  un jeu de grattage n’est pas commun et pour cause, seuls 2 jeux de grattage Ă  2 euros le proposent. Ce sont les tickets Ă  gratter Tellement Bling Bling et le Pactole voir ses probabilitĂ©s dĂ©taillĂ©es ?. Notre rĂ©sultat est sans appel ! N’achetez surtout pas le jeu Ă  gratter Tellement Bling Bling pour gagner 40 euros ! Avec ses 255 chances sur 1 million, il fait pĂąle figure face au Pactole qui vous offre 1777 chances sur 1 million de remporter ce lot. Les probabilitĂ©s sont incontestables ! Pour gagner 50 €, quel est le meilleur jeu de grattage Ă  2 euros ? Seuls 4 jeux Ă  gratter au prix de 2 euros proposent aux joueurs de tenter de gagner 50 euros. Les tickets sont Harald, Elixirius, Black Jack et le jeu de grattage Drakkar en Or. Aucun doute, le jeu Ă  gratter le plus rentable Ă  2 euros de cette sĂ©rie est le Black Jack avec ses 2352 chances de dĂ©crocher ce gain sur 1 million. Ceux surtout Ă  Ă©viter sont les jeux Ă  gratter Harald et Drakkar en Or. Avec ce dernier, tenez-vous bien, vous n’avez que 67 chances sur 1 million de gagner 50 euros ! Quant au jeu Ă  gratter Harald, il fait bien mieux fort heureusement avec ses 667 chances sur 1 million. Mais cependant, il est Ă  bannir aussi si on le compare au jeu Ă  gratter Black Jack et ses 2352 chances ! Pour le jeu Ă  gratter Elixirius, il se positionne en deuxiĂšme, juste aprĂšs le Black Jack avec ses 1893 chances de gagner 50 euros sur 1 million. JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 100 € NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 100 € sur 1 000 000 Super 200 Ne propose pas de gagner 100 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 100 € Harald 67 chances de gagner 100 € Les MystĂšres d’Horus 334 chances de gagner 100 € Elixirius Ne propose pas de gagner 100 € Yummy Stack 2300 chances de gagner 100 € Tellement Bling Bling 3 chances de gagner 100 € Astro 93 chances de gagner 100 € Solitaire 134 chances de gagner 100 € X10 67 chances de gagner 100 € Black Jack Ne propose pas de gagner 100 € Pactole Ne propose pas de gagner 100 € Drakkar en Or Ne propose pas de gagner 100 € Le jeu de grattage le plus rentable Ă  2 euros listĂ© ci-dessus pour tenter de gagner 100 euros est le jeu Ă  gratter Yummy Stack et de trĂšs trĂšs loin comme vous pouvez le constater sur le tableau ci-dessus. Comme quoi, les probabilitĂ©s sont trĂšs importantes dans les jeux de grattage ! Pour gagner 200 €, quel est le meilleur jeu de grattage Ă  2 euros ? Si vous dĂ©sirez cibler un gain de 200 euros, ce qui reprĂ©sente quand mĂȘme une somme assez consĂ©quente, parmi les 12 jeux Ă  gratter Ă  2 euros, seuls 3 tickets vous offrent cette opportunitĂ©. Ce sont les jeux Elixirius, Black Jack et le Pactole. Les probabilitĂ©s de gagner 200 euros sont nettement en faveur du jeu Ă  gratter Black Jack. Ce dernier affiche 223 chances sur 1 million de gagner 200 euros alors que son principal concurrent le jeu Pactole affiche quant Ă  lui que 100 chances sur 1 million aussi de gagner cette somme. Le pire jeu Ă  gratter pour tenter de gagner 200 euros est le jeu Ă  gratter Elixirius avec seulement 47 chances sur 1 million. Donc le jeu de grattage le plus rentable Ă  2 euros dans cette catĂ©gorie est bel et bien le jeu Ă  gratter Black Jack ! JEUX DE GRATTAGE LES PLUS RENTABLES À 2 EUROS POUR GAGNER LA SOMME DE 1000 € NOMS DES JEUX À GRATTER DE LA FDJ CHANCES DE GAGNER 1000 € sur 1 500 000 Super 200 Ne propose pas de gagner 1000 € Mini Mots CroisĂ©s Ne propose pas de gagner 1000 € Harald Ne propose pas de gagner 1000 € Les MystĂšres d’Horus 3 chances de gagner 1000 € Elixirius 15 chances de gagner 1000 € Yummy Stack chances de gagner 1000 € Tellement Bling Bling 3 chances de gagner 1000 € Astro chances de gagner 1000 € Solitaire chances de gagner 1000 € X10 2 chances de gagner 1000 € Black Jack 8 chances de gagner 1000 € Pactole Ne propose pas de gagner 1000 € Drakkar en Or 2 chances de gagner 1000 € Les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros listĂ©s ci-dessus pour tenter de gagner 1000 euros sont les jeux Ă  gratter Elixirius et le Black Jack. Tous les autres tickets sont surtout Ă  Ă©viter pour tenter de gagner 1000 euros, c’est incontestable ! Quel sont les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros pour dĂ©crocher le jackpot ? Et voilĂ , nous avons dĂ©cortiquĂ© tous les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros pour pratiquement tous les rangs oĂč les jeux Ă  gratter pouvaient ĂȘtre comparĂ©s. Certains ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©s volontairement car aucun jeu Ă  gratter ne proposait de gagner la mĂȘme somme. Pour exemple, le jeu Ă  gratter Harald propose de gagner 2000 euros au 2iĂšme rang. Or c’est le seul qui propose ce gain, donc impossible de le comparer. Et c’est identique pour gagner un gain de 150 euros. Mis Ă  part le jeu Ă  gratter Mini Mots CroisĂ©s, aucun autre ne peut s’opposer Ă  ce ticket. Passons maintenant aux choses sĂ©rieuses, Ă  savoir quels sont les jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros pour dĂ©crocher le jackpot. Comme nous l’avons indiquĂ© sur cette page, les 2 jeux de grattage les plus rentables Ă  2 euros sont les tickets Ă  gratter Mini Mots CroisĂ©s et le Tellement Bling Bling. Avec le premier, vous avez une chance sur 750 000 de dĂ©crocher un jackpot de 15 000 euros et avec le jeu Ă  gratter Tellement Bling Bling, c’est 1 chance sur 1 012 500 de gagner 20 000 euros. A notre avis, tous les autres jeux de grattage sont Ă  Ă©viter pour gagner le jackpot. En effet, avec 1 chance sur 1 500 000 de dĂ©crocher le gros lot entre 20 000 et 50 000 euros, vous avez beaucoup moins de chances de gagner avec les autres tickets Ă  gratter Ă  2 euros. Maintenant, il n’est pas interdit de rĂȘver fort heureusement ! Eh oui, le jeu Ă  gratter Pactole, celui qui propose de gagner 200 000 euros au 1er rang soit le plus gros jackpot de cette sĂ©rie de jeux Ă  gratter, celui-ci peut se rĂ©vĂ©ler un bon achat pour passer un instant plein d’adrĂ©naline. Mais attention, avec 1 chance sur 4 500 000 de gagner 200 000 euros, ce n’est pas gagnĂ© d’avance ! A noter vous pouvez gratter en ligne le jeu de grattage Tellement Bling Bling en 1 minute chrono ! A noter aussi Consulter les probabilitĂ©s Loto ? Consulter les probabilitĂ©s Euro Millions ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Mission Patrimoine Ă  15 € ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Le TrĂ©sor des Pyramides ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter X20 ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Monopoly ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter 10 Ans Gagnants ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Vegas ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Maxi Mots CroisĂ©s ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu de grattage Solitaire ? Consulter les probabilitĂ©s du jeu Ă  gratter Jackpot 500 000 € ? Lessolutions pour la dĂ©finition SALEMENT INTÉRESSE pour des mots croisĂ©s ou mots flĂ©chĂ©s, ainsi que des synonymes existants. Son cours n'intĂ©resse pas les boursicoteurs. Son cours n'intĂ©resse pas les domestiques . elle s'intĂ©resse aux activitĂ©s du monde. TrĂšs intĂ©ressĂ©. IntĂ©ressĂ©. Qu'est ce que je vois? GrĂące Ă  vous la base de dĂ©finition peut
29/04/2018Plusieurs jours que je suis sur Atlantis. Je m’y acclimate bien. Je m’y plais bien. Je m’y plairais mieux si le compresseur de plongĂ©e n'avait pas dĂ©cidĂ© de faire des siennes. Lui et ses petits caprices malvenus auraient pu s’abstenir. J’avais entrepris de regarder un peu par moi-mĂȘme dans un premier temps sans non plus trop y mettre les mains pour ne pas empirer les choses. Je connais mes limites, et lĂ , je dois dire que des limites se prĂ©sentaient Ă  moi. Je voulais d'abord voir si ce n'Ă©tait pas une panne mineure que je pouvais gĂ©rer mais non. Il Ă©tait temps d’admettre l’évidence il me fallait appeler un technicien. Comme toujours, peu enclin Ă  m’habiller en civil sur Atlantis, et parce que j’y suis militaire, je portais mes rangers et mon pantalon de militaire. Avec la chaleur du compresseur, je ne portais pas ma chemise militaire et avait omis de la remettre. Je portais un simple t-shirt noir des plus banals et passe partout. J’étais trop prĂ©occupĂ© Ă  ce que ce compresseur se remette Ă  bien vouloir fonctionner sans lui, impossible de remplir les bouteilles de plongĂ©e d’oxygĂšne et impossible de plonger. Ce n'Ă©tait pas concevable. J’avais les cheveux attachĂ©s en chignon, venant de regarder le compresseur tout comme un conducteur de bagnole l’aurait fait avec son moteur en rade. Je dĂ©laisse le compresseur lĂ  et dĂ©cide de me rendre vers la zone technique chercher de l’aide et une personne qualifiĂ©e. Je ne connais pas encore trĂšs bien la base, mais je me souviens de la visite que nous avons eue lorsque nous sommes arrivĂ©s. Et puis, je me dis que je trouverai bien un plan dans un couloir ou quelqu'un pour demander mon chemin. Je ne suis pas perturbĂ© et pars calme et d’un pas dĂ©cidĂ© et assurĂ©. J’arrive alors jusqu’à un atelier oĂč j’espĂšre trouver un technicien. Je frappe et m’avance en silence et avec grand calme. Mes proches le confirmeront je parle trĂšs peu, et, lorsque je parle, je suis direct et je vais droit au but. DisciplinĂ©, je m’annonce comme un militaire, et dĂ©cline trĂšs vite le motif de ma venue jusqu’ici. Nageur de combat Mikkel Hansen, soldat 1Ăšre classe. Je cherche un technicien pour une rĂ©paration d’un compresseur de plongĂ©e. » BientĂŽt deux mois que je suis ici et je m'ennuie toujours autant mes jours de repos. C'en est parfois troublant. Imaginez que je me sens tellement seule dans ma chambre Ă  tourner en rond, que je me retrouve Ă  l'atelier pour " aider " mes collĂšgues. A la base, je passais juste faire un coucou, je ne suis mĂȘme pas en tenue de travail et irrattrapable que je suis, j'ai dĂ©jĂ  les mains complĂštement sales. Je viens juste de bidouiller un truc vite fait. Les gars ont les mains trop larges, alors que les miennes se glissent parfaitement dans les petits interstices et parfois, ca Ă©vite de dĂ©monter des parties entiĂšres et de perdre un temps prĂ©cieux. Je suis penchĂ©e sur un moteur avec l'un de mes collĂšgues qui ne semble pas d'accord que je sois lĂ ." Mais c'est ton jour de repos, t'as pas envie de te reposer ? ! "" Je me suis reposĂ©e, j'ai fait la grasse matinĂ©e. Et je ne sais pas quoi faire en plus... "" T'as qu'Ă  retourner faire un entrainement Ă  la salle de sport, ou aller voir un film, te promener j'en sais rien, y'a plein de chose Ă  faire ! "" Toute seule Harry, je suis toute seule ! Autant ĂȘtre utile ici. "Il ne comprend rien celui lĂ  ! Y'a deux mois j'Ă©tais encore sur terre et lĂ  bas, on peut faire tout plein de chose pendant les jours de repos. Faire les boutiques d'outillages par exemple, aider des copains Ă  rĂ©parer des trucs oui bon j'ai toujours eu trĂšs peu de copain c'est vrai, jouer avec le chien du voisin, manger du mac do.... ouais non, mauvais exemple, la cuisine française est bien trop bonne pour ĂȘtre remplacĂ©e par du mac do ! Ahhhhh, j'ai envie de m'affaler lĂ .... au milieu de l'atelier... Mais bon, au lieu de ça, je dĂ©cide de ranger ! Tous les outils ne sont pas Ă  leur place et ça me perturbe, surtout quand je cherche quelque chose et que je ne le retrouve pas tout de suite ! Me voilĂ  la tĂȘte dans ce bordel, je grogne un peu tout en faisant mon la dĂ©livrance parvient jusqu'Ă  mes oreilles ! Nageur de combat Mikkel Hansen, soldat 1Ăšre classe. Je cherche un technicien pour une rĂ©paration d’un compresseur de plongĂ©e. »Ah c'est pour moi ça !!!! Vite avant que quelqu'un ne prenne ma place ! Chose qui serait totalement normale vu que je ne bosse pas aujourd'hui. Boudu ! Harry se lĂšve, mais avant qu'il ne dise quoi que ce soit j'interpelle notre marin pĂȘcheur... enfin notre nageur de combat." Oui ! Je suis dispo moi ! Harry va pouvoir finir son travail sans stresse comme ça. "J'accoure et me pointe devant la premiĂšre classe ... Mikkel..... Je rougis direct ! Je le sens, j'ai les joues chaudes. J'ai dĂ©jĂ  croisĂ© ce type dans les couloirs vite fait, j'avais oubliĂ© Ă  quel point les nageurs sont..... beeeaaa... imposants ! Oui voila, imposants. De longs cheveux blonds nouĂ©s en chignon, une barge mi longue parfaitement bien taillĂ©e surement pour l'aĂ©rodynamisme sous l'eau rum rum, en fait, c'est Thor des Avengers ! Il manquerait plus qu'il soit NorvĂ©gien, parce que franchement, c'est le stĂ©rĂ©otype parfait ! Je racle ma gorge et reprends mon assurance." Besoin d'aide sur un compresseur de plongĂ©e ? Je vais venir voir ça avec vous. "Alors bien entendu, je rĂ©pare trĂšs frĂ©quemment des compresseurs avec une moyenne de 0 dans l'annĂ©e. En effet, j'ai jamais vu de compresseur de plongĂ©e.... mais trop tard, j'ai dit oui et j'ai besoin de m'occuper. Si je ne regarde pas trop notre Avenger je devrais pouvoir me concentrer facilement. Au petit galop, je pars chercher mon sac toujours prĂȘt, qui contient tout le matĂ©riel de base des premiers secours pour moteur en panne. Puis je reviens vers le soldat." VoilĂ , je devrais avoir ce qu'il faut la dedans pour le remettre sur pied. Je vous suis."Je lui offre un large sourire afin de dĂ©tendre l'atmosphĂšre. Ah, elle n'Ă©tait pas tendue ? C'est moi qui Ă©tais tendue ? Ah d'accord, ben sourire, ca me dĂ©tends alors et je me sens beaucoup plus Ă  l'aise. A peine je dĂ©cline le motif de ma visite, j’entends une voix fĂ©minine qui se propose pour la rĂ©paration et qui arrive devant moi. Elle coupe ainsi mon regard que j’avais portĂ© au dĂ©part sur un technicien qui semblait se motiver Ă  accĂ©der Ă  ma requĂȘte. Je venais d’observer ce dernier et je m’attendais Ă  ce que ce soit lui qui se prĂ©sente. Interrompu, mon regard se pose alors tout naturellement sur celui de la jeune femme. Le regard est militaire et il va tout aussi droit au but que mes paroles. Il reste, malgrĂ© tout, trĂšs bienveillant et ne dĂ©visage pas. Je ne m’attendais pas Ă  ce qu’on rĂ©ponde aussi vite Ă  ma demande. Je ne m’attendais, en rĂ©alitĂ©, Ă  rien de spĂ©cial, mais j’apprĂ©cie la rĂ©activitĂ© de cet endroit et la rĂ©activitĂ© de la technicienne. S’ennuient-ils au point de se bagarrer les places ? Je suis un peu intriguĂ© par le jeu de chaises musicales. Il fait sourire. MĂȘme si, bien sĂ»r, je ne souris pas d'un poil de barbe. Ça me rappelle ce qu’on faisait entre Ă©quipiers sur mon ancienne frĂ©gate pour les tĂąches du quotidien. C’est lĂ  que je prends conscience que mon affection sur Atlantis est peut-ĂȘtre bien sur un poste de louveteau solitaire. C’est presque un poste oĂč je pourrai me dire que je suis Ă  la retraite plus besoin de passer de frĂ©gate en frĂ©gate, je suis sur une base et un point fixe oĂč je peux me consacrer qu’à la plongĂ©e et l’exploration de sous-marins pour l’armĂ©e. Je n’aurai jamais rĂȘvĂ© mieux. Mais c'est comme si je venais de rĂ©aliser que certaines choses de ma vie passĂ©e vont peut-ĂȘtre me manquer
 J’ai pourtant pris bien soin de faire mes adieux Ă  la Terre
 Je la vois rougir. Je me demande pourquoi elle rougit. Je ne laisse absolument rien transparaĂźtre, mais ça me gĂȘne un peu. Je regarde alors un peu sur le cĂŽtĂ© comme cherchant ce qui pourrait la faire rougir en ces lieux. Elle me prĂ©cise qu’elle va venir voir ça avec moi pour le compresseur de plongĂ©e. Je ne dis rien et acquiesce par le silence. Comme on dit qui ne dit mot consent. En tout cas pour moi ça marche comme ça depuis que je suis gamin. Je reste Ă  ma place Ă  l’attendre, avec grand calme et sagement. Je ne suis pas pressĂ©. Je prĂ©fĂšre qu’elle prenne son temps Ă  prendre tout ce dont elle a besoin et Ă©viter ainsi des allers-retours peu productifs. MĂȘme si en fin de compte je ne rechignerai pas vraiment Ă  en faire. Peu de choses m’agacent. On dirait bien qu’elle a l’habitude son package est dĂ©jĂ  prĂȘt. Je n’ai mĂȘme pas eu le temps de croiser les bras Ă  l’attendre. Elle dĂ©clare avoir tout ce dont elle a besoin et se prĂ©sente devant moi comme prĂȘte Ă  partir. Je laisse planer un lĂ©ger silence et remarque son large sourire. Il est rayonnant, communicatif et agrĂ©able. La jolie brunette me parait soudain trĂšs solaire pour une brunette. Parfait. C’est par ici. » Je lui rĂ©ponds impassible, militaire et sans sourire. Je suis toujours comme ça. Je suis un peu abrupte. Brut de dĂ©coffrage. Ce n’est pas que son large sourire n’est pas contagieux mais
 Je fais souvent mon militaire et j’ai Ă  place d’une carapace, une bonne muraille de Chine, bĂątie depuis la nuit de ma naissance et bien entretenue. J’amorce la marche pour la guider jusqu’à l’endroit. Le compresseur est sur les digues. » Je lui prĂ©cise la destination en amorçant la marche. J’adopte une marche militaire. Pas trĂšs pĂ©dagogue, j’ai tendance Ă  faire au plus direct, et je viens de me rendre compte que je ne lui avais pas informĂ© du lieu avec prĂ©cision. Je ne voudrais pas qu’elle se sente obligĂ©e de ne faire que de me suivre. Surtout que, je marche d’un pas aussi dĂ©terminĂ© que tranquille, et je ne sais encore si moins vite ou plus vite qu’elle. Je ne voudrais pas imposer une marche. Elle a l’air dynamique et pĂ©tillante d’enthousiasme. TrĂšs active. Super-active. Avec ma carrure, j’ai des grandes enjambĂ©es, j'ai toujours trichĂ© un peu sur ça pour y aller mollo. C’est quoi votre nom ? » Je lui demande en chemin. Je prends un parler moins militaire. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai laissĂ© ma veste au vestiaire et que je fais mon civil mais je me sens suffisamment Ă  l’aise pour lui parler comme je parlerai Ă  quelqu’un que je rencontrai en dehors du cadre militaire. C’est peut-ĂȘtre son sourire qui m’a incitĂ© Ă  ça. Je suis plutĂŽt du genre peu bavard, mais, je ne suis pas non plus asocial et Ă  me rappeler de son sourire et Ă  me dire que je ne connais pas son nom, je dĂ©lie lĂ  un peu mon silence. Mon collĂšgue ressemble bien plus Ă  un client qu'Ă  un collĂšgue. C'est peut etre qu'il prend son rĂŽle de militaire trĂšs au sĂ©rieux parce que franchement, malgrĂ© tout les sourires que je lui offre il est totalement impassible. Bon, aprĂšs tout mon travail consiste Ă  rĂ©parer et me montrer courtoise. A mon recrutement, on m'a bien fait comprendre que l'esprit d'Ă©quipe Ă©tait primordial et que je devais oublier mon cĂŽtĂ© solitaire. Alors soit, je suis courtoise, joviale et je fais mon job.... mĂȘme quand je suis de repos... C'est par ici me dit il, alors bien entendu je ne sais pas ou je vais mais vu l'allure, on y va gaiement ! Ah, ok, on va sur les digues apparemment, super alors allons y. Je vais ĂȘtre honnĂȘte, aujourd'hui c'est la journĂ©e dĂ©couverte. Je n'ai jamais rĂ©parĂ© de compresseur et je ne suis encore jamais montĂ©e sur les digues d'Atlantis. Je trouve ca ridicule de me ramener seule pendant que d'autres se bĂ©cotent Ă  cĂŽtĂ© de moi. Bref. Perdue dans mes pensĂ©es, je suis activement Mikkel. Ses grandes jambes lui permettent de faire des pas immenses et moi je suis Ă  cĂŽtĂ© en marche rapide du haut de mes pauvres 1m60 pour garder le rythme. Mais bon, ca me fait du bien un peu d'exercice. Je ne vais pas me plaindre. " C'est quoi votre nom ? "Oh mon Dieu, il parle ! Oui j'exagĂšre un peu c'est vrai. C'est juste que je suis surprise d'entendre Ă  nouveau le son de sa voix. Il fait si fermĂ©, si rĂ©servĂ© et tellement dĂ©tachĂ© que sincĂšrement, je ne sais pas quoi lui dire et comment m'y prendre pour entamer une discussion. En effet, rien ne m'oblige Ă  discuter avec Thor, les supers hĂ©ros ont surement autre chose Ă  faire que de parler avec moi, mais quitte Ă  faire un truc pour lui, autant le faire dans un Ă©change cordial. J'ai vraiment un problĂšme avec les rapports humains, je dois consulter...." Je m'appelle Thyra. "En mĂȘme temps, je montre du doigt le haut de ma poitrine lĂ  oĂč devraient ĂȘtre Ă©pinglĂ©s mon nom et prĂ©nom. Ah oui mince, c'est vrai, je ne suis pas en tenue de travail. Je porte un tee shirt blanc avec Ă©crit " I love Paris " truc totalement dĂ©bile je vous l'accorde, un jean noir et des bottines en cuir marron. A ce moment lĂ , je me sens con. J'ai tellement peu d'amis, que je suis en train de bosser le jour de mon " dayoff ". Bravo Thyra. Bon, je dois enchainer Ă  mon tour mais quelle question pourrais je poser ? Je connais dĂ©jĂ  son nom, son prĂ©nom et son grade ! Vite vite vite rĂ©flĂ©chis !" T'es tout nouveau pas vrai ? Comment tu te sens sur Atlantis ? "Ahhhh c'est tellement bateau comme question ! C'est ridicule !!!! Pas de panique, c'est le genre de question que tout le monde pose, ca va le faire... enfin j'espĂšre. Je me sentirai beaucoup mieux quand j'aurai les mains sur sa barbe.... euh non ! sur le compresseur ! Mais pourquoi j'ai pensĂ© Ă  ça ? N'importe quoi sĂ©rieux. Thyra. C’est joli comme prĂ©nom. Ça me parait peu commun Ă  l'oreille. Je pose mon regard sur le haut de sa poitrine. Pour ma dĂ©fense, c’est l’endroit qu’elle me dĂ©signe alors... je regarde...! Je dirige facilement mon regard vers ce qu’on me pointe du doigt. Gamin, c’était horrible j’étais du genre Ă  tomber dans la blague du derriĂšre toi ! ». J'en suis vaccinĂ© depuis mais je reste du genre suiveur. Je ne suis pas fana de la nage Ă  contre-courant, sauf en cas de force majeure, Ă  moins qu'une vie soit en jeu. Pour moi sinon, c’est comme s’épuiser. J’aurai trop l’impression de m’user inutilement. Pourtant, lorsque j’ai Ă©chouĂ© la premiĂšre fois Ă  mon examen d’entrĂ©e chez les nageurs de combat, j’ai persistĂ© et j’ai retentĂ© le coup aprĂšs plusieurs annĂ©es. Mais ça c’est diffĂ©rent pour moi. J’avais Ă©chouĂ© mais j’étais persuadĂ© qu’avec de l’entraĂźnement je finirais par y arriver. Et puis je dĂ©sirais trop servir, les rejoindre et plonger avec eux. Lorsque je suis rentrĂ© dans l’armĂ©e, j’ai Ă©tĂ© bizutĂ©, comme le sont souvent les nouveaux, et j’ai alors suivi Ă  fond j’ai bu tous les verres qu’on m’avait dĂ©signĂ©s de boire Ă  en finir bien malade. Je voulais y aller Ă  fond. J'Ă©tais dedans. J'Ă©tais bien. J'Ă©tais avec eux. Je n'ai pas regrettĂ© la gueule de bois du lendemain. Je ne vois ni nom ni prĂ©nom. Je lis en revanche un I Love Paris » sur son tee-shirt banc. Ça me fait sourire intĂ©rieurement. J’esquisse un lĂ©ger sourire qui se dessine en coin de lĂšvres. Il s’efface vite, comme une vague qui s’écrase de toute son Ă©cume sur la plage et se retire au galop. Je dĂ©vie mon regard. MĂȘme si ça peut devenir agrĂ©able, ce n’est pas dans mon habitude d’observer longtemps la poitrine d’une jeune femme que je viens Ă  peine de rencontrer. C’est Ă  ce moment que j’ai pu remarquer un peu plus sa tenue et son style vestimentaire. Je n’y connais rien en fringues. J’ai cru comprendre qu’on disait de Paris que c’était la capitale de la mode. Je suppose que Thyra est Ă  la mode et que ses chaussures le sont. Elles sont sympas. Enfin c’est des bottines quoi. Mais sympas. Thyra me demande si je suis nouveau et le suppose en mĂȘme temps. Ça me permet du coup d’acquiescer en usant du silence. J’aime bien ce genre de questions ces questions oĂč je ne suis pas obligĂ© de rĂ©pondre et oĂč je peux laisser place au silence. Je ne rĂ©ponds pas alors Ă  sa premiĂšre question, mais, attentif, je la regarde pour l’écouter et comme pour mieux l’écouter. Elle m’interroge comment je me sens sur Atlantis ? Je ne m’étais pas vraiment posĂ© la question jusqu’ici... Comme un poisson qui aurait changĂ© d’aquarium ? Pour un plus grand ? Je m’y sens bien merci. » Je lui rĂ©ponds avec assurance et succinct. Toujours, dans la fĂącheuse tendance Ă  faire dans le succinct. Ce serait horrible pour moi de rejoindre une troupe de théùtre. Je resterai sur scĂšne et ne dirai absolument rien. Je ne parviendrai pas Ă  sortir un seul mot mĂȘme avec le script entre les mains. Je peinerai Ă  comprendre l’intĂ©rĂȘt de rĂ©citer un script et me mettrai sans rien dire Ă  le lire comme Ă  le dĂ©chiffrer en omettant qu’un public attendait de moi que je prenne la parole. Je chercherai comme Ă  tenter de saisir pourquoi je devrais dire ça. A lui rĂ©pondre, je sentais bien que c’était un peu trop succinct et elle me donnait envie de me confier un peu davantage. Je m’interrogeais peu sur mes ressentis. Tant que la mer reste lĂ . » Je complĂšte dans un lĂ©ger sourire. Lorsque j'Ă©voque la mer, je ne peux me retenir de sourire. Et voilĂ  que je lui parlais comme un gaulois tant que le ciel ne me tombe pas sur la tĂȘte » j’aurai pu dire si j’avais peur de ça. Je redoutais plutĂŽt la disparition de l’ocĂ©an sur Atlantis. Je n’imagine mĂȘme pas s’il devenait subitement un dĂ©sert. Je devrai songer Ă  me reconvertir en homme des sables » ? Je ferai du surf sur dunes ? Hum... Non. Et toi ? Tu te sens comment ici ? Tu aimes Paris ? Tu as dĂ©jĂ  Ă©tĂ© en France ? »Plus causant je lui demande, dans la force tranquille, toujours un peu abrupte, mais avec calme et posĂ©ment sur chaque question, mĂȘme si curieux de savoir et d'en connaĂźtre les rĂ©ponses. J'en oublierai qu'on ne devrait pas tarder Ă  en finir avec les couloirs et arriver dehors Ă  l'air libre. Il est vraiment Ă©trange... Ă  moins que ce soit moi l'extraterrestre. Euh non, en fait, nous le sommes tous ici puisque aucun de nous n'est nĂ© sur cette planĂšte. Quel plaisir de savoir que pour une fois, nous sommes tous des extraterrestres ! Lorsqu'il rĂ©pond Ă  ma question, aprĂšs avoir dĂ©tournĂ© son regard de mon t-shirt, j'ai le sentiment que je l'ennuie. SĂ©rieusement, il ne rĂ©pond que par cinq mots... Je lui fais peut etre peur. A cause de mes yeux ? Ou alors de ma cicatrice ? Putain qu'elle m'emmerde celle lĂ  ! Je ne peux m'empĂȘcher alors je passer un doigt tout son long en me demandant si un jour j'arriverai Ă  l'oublier ou peut etre mĂȘme l'accepter. Mais j'en doute. Chaque matin lorsque je me lĂšve, que je me maquille le contour des yeux ou quand je me brosse les dents, il m'est impossible de la rater. Elle est lĂ , en plein milieu de ma joue, me rappelant alors sans cesse que le bricolage c'est bien, mais que les inventions tordues ne sont pas pour moi. J'aurai pu perdre un oeil ce jour lĂ , qu'est ce qu'on peut en faire des conneries Ă  cette Ăąge lĂ . Je me ressaisis rapidement lorsqu'il me retourne la question. Fait il cela par politesse, ou bien est il vraiment intĂ©ressĂ© ? Au vu de ses expressions, et du seul sourire que j'ai pu apercevoir, seule la mer a un effet sur lui. C'est dĂ©jĂ  ça me direz vous, il est en mesure de ressentir de la joie pour quelque chose. Je me demande s'il est capable de se mettre en colĂšre... lĂšverait il le ton ? Son visage se tordrait il sous la colĂšre ? Je scrute alors son visage de maniĂšre un peu impolie. Enfin je veux dire que beaucoup de personne le prendrait mal, mais en rĂ©alitĂ©, il ne faut pas, je ne suis pas quelqu'un de mĂ©chant mais juste une personne entiĂšre et un peu trop spontanĂ©e. " Hummm et bien... si cela t'intĂ©resse vraiment, je me sens bien quand je suis en train de bricoler. Je suis arrivĂ©e en mars et je n'ai pas encore tous mes repaires. "On tourne par ci par lĂ , et enfin je sens sur mon visage le vent frais et la douce chaleur des rayons du soleil. Ca fait du bien, je devrais sortir plus souvent. Tout sourire je me tourne vers mon Avenger. " Ca fait du bien de sortir. C'est mieux que Paris. C'est bruyant et trop peuplĂ© Ă  mon gout. Ca me fait plaisir que tu n'aies pas entendu mon accent Français, on dit souvent qu'il est drĂŽle. "Je continue de marcher Ă  ses cĂŽtĂ©s, le suivant alors jusqu'Ă  ce qui me semble ĂȘtre un compresseur en panne. Ah... je connais pas ça moi... je vais devoir assurer et utiliser mon super encĂ©phale ! Je n'aimerai pas que mon beau nageur plombeur de combat de l'extrĂȘme me prenne pour une idiote... dĂ©jĂ  qu'il doit me trouver bavarde et usante... " Voila la bĂȘte ? "Je dĂ©pose dĂ©licatement, avec amour et prĂ©caution mes bijoux d'outils prĂšs de moi. Certains ont des photos, des consoles de jeux mĂȘme si j'aime ça aussi et bien moi j'aime mes outils ! Ensuite, c'est moi que je pose. AĂŻe ! Je me redresse Ă  genoux quand je sens quelque chose de dur sous mes fesses. Non non non, ce n'est pas ce que vous croyez, ce sont en fait des sucettes que j'avais stockĂ©es ce matin dans la poche arriĂšre de mon pantalon. Je glousse de ma connerie. Ben voila, il doit maintenant me trouver couille, ca fait un joli tableau tout ça. Je les pose Ă  cĂŽtĂ©, en prenant soin de m'en prendre une. Au coca cola ! Miam miam ! " Tu peux te servir si tu veux. " Oui c'est vrai, je vais pas le manger. Peut etre qu'il n'aime pas ca aussi, c'est fort possible quand on doit garder la ligne et prendre soin de ses muscles ! Oui, j'en profite encore ! Et alors ? ! C'est un bel homme, je ne vais surement pas me priver ! Bref, passons. Sucette Ă  la bouche, cheveux relevĂ©s et nouĂ©s en queue de cheval, penchĂ©e sur le cas " compresseur HS " je me lance alors dans l'expertise ! Mes doigts et mon esprit commencent alors Ă  glisser et Ă  dessiner mentalement les plans de l'engin. " Et toi, tu viens d'oĂč et oĂč as tu voyagĂ© ? "Je suis une femme, je peux faire deux choses en mĂȘme temps ! Et puis comme pour l'instant je ne fais rien de bien visible sur son appareil, afin de le rassurer on ne sait jamais, j'entame la discussion. Thyra scrute mon visage. Je ne rĂ©agis pas vraiment. Je ne plisse qu’un peu les yeux. Que cherche-t-elle sur mon visage ? J'ai un truc ? Je m’interroge lĂ  un peu mais je ne change pas plus que ça mon expression. J’ai dĂ©jĂ  des yeux, de base, un peu plissĂ©s. Ils ne font que se plisser qu'un peu plus un instant. Je ne touche pas plus mon visage. Si y’a un truc qui traĂźne dessus tant pis pour lui. Ça arrive. Je suis bien souvent toujours dans le sang-froid. Je ne sais pas d’oĂč ça vient. Peut-ĂȘtre parce que je nage peu Ă  contre-courant. Enfin j'essaye. Je la laisse scruter mĂȘme si un peu impolie. Y’a pas de soucis. Je reste dans la force tranquille. Comme d’hab. - Oui ça m’intĂ©resse. Abrupte, comme toujours, mais calme je lui rĂ©ponds. Je tente de rassurer de maniĂšre peut-ĂȘtre un peu trop cash et abrupte. Comme souvent. Je ne parle que de cette maniĂšre. J’ai tendance Ă  peu justifier les choses. Je ne m’explique pas plus alors. Je fais en sorte de ne jamais faire trop d’efforts pour parler de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Et, mĂȘme quand je ne parle pas et ne questionne pas, je peux quand mĂȘme me montrer intĂ©ressĂ©. Ça ne se voyait pas comme ça mais je m’intĂ©ressais facilement. En vrai j’étais un peu curieux. Elle me confie qu’elle se sent bien lorsqu’elle bricole. Elle aussi elle est arrivĂ©e il y a peu. J’avais observĂ© qu’elle avait une cicatrice sur son visage. Je la voyais mieux avec nos Ă©changes et la conversation. Je ne rĂ©gis pas plus que ça Ă  sa cicatrice. On a tous un vĂ©cu. Les cicatrices, ça ne me dĂ©range pas. Par pudeur, je les questionne rarement voire jamais. Peut-ĂȘtre Ă  tort je sais pas. Thyra sourit Ă  sortir prendre l’air. Ça lui change de Paris. - Ah.. maintenant que tu le dis
 Je lui rĂ©ponds sur son accent français en blaguant un peu. Il m’arrivait d’ĂȘtre un peu taquin. - VoilĂ  la bĂȘte. Je lui confirme avec simplicitĂ©. Je lui laisse de l’espace pour s’installer. Elle dĂ©pose ses outils avec dĂ©licatesse. Je peux saisir cet amour pour ses outils. Ça m’arrive d’ĂȘtre un peu comme ça avec mon matos de plongĂ©e. Thyra s’agenouille mais se dĂ©range elle-mĂȘme. Il semble qu’elle rencontre un petit problĂšme de fessier. Je souris un peu Ă  la situation. Elle pose ses sucettes sur le sol qu’elle tire de ses poches arriĂšre et s’en prend une. Elle me propose de me servir. J’étais restĂ© debout les bras croisĂ©s. Je m’avance un peu. Je m’assois Ă  mĂȘme le sol moi aussi. En tailleur. Pas trĂšs loin d'elle. Je lui laisse de l’espace pour elle et pour travailler. Je prends une sucette. Pourquoi pas. J’en prends une Ă  la fraise. HĂ© oui Ă  la fraise. Pourquoi pas. La bricoleuse relĂšve ses cheveux en queue de cheval et attaque ses rĂ©parations. Pendant ce temps, je suis sur ma sucette. Thyra me demande d’oĂč je viens et si j’ai dĂ©jĂ  voyagĂ©. Je ne m’attendais pas Ă  ce qu’elle lance une discussion en travaillant je croquais dĂ©jĂ  alors ma sucette. Le timing n’est pas voulu. J’ai toujours tendance Ă  finir trĂšs vite par croquer les sucettes. Je suis pas quelqu’un d’assez raffinĂ© pour me retenir Ă  ne pas le faire. Je mĂąchouille donc un peu. Le petit bĂątonnet reste de sortie. Je le prends dans une main. Y’a dĂ©jĂ  plus rien dessus. - NorvĂšge. Je lui rĂ©ponds en finissant de J’ai voyagĂ© un peu partout avec mon ancienne frĂ©gate sur Terre mais on s’arrĂȘtait jamais longtemps. En AmĂ©rique Latine. Plusieurs mois. Je lui rĂ©ponds un peu plus causant. Il fallait bien que je dĂ©veloppe un peu. - T’as voyagĂ© toi ? Toujours abrupte que je suis, je lui demande. Je jette qu’un trĂšs lĂ©ger regard sur les sucettes mais j’hĂ©site Ă  en prendre une autre. Elle m’avait dit que je pouvais me servir
 mais
 J’en prends une autre comme un chat qui viendrait en douce faire une connerie. Je crois qu'il se dĂ©tend et au lieu de rester debout les bras croisĂ©s Ă  cĂŽtĂ© de moi, il se penche, prend une sucette et s'assoie auprĂšs de moi Ă  mĂȘme le sol. Je suis contente d'ĂȘtre passĂ©e Ă  l'atelier aujourd'hui, je suis contente de pouvoir rendre service Ă  ce garçon, mĂȘme s'il est froid et super distant. C'est finalement peut ĂȘtre un associable. Soudain, j'entends " NorvĂšge." Ah ! Je le savais ! Thor est norvĂ©gien ! J’ai voyagĂ© un peu partout avec mon ancienne frĂ©gate sur Terre mais on s’arrĂȘtait jamais longtemps. En AmĂ©rique Latine. Plusieurs mois. Il parle pour de vrai cette fois ci, je crois bien qu'il me suit dans la conversation. Serait ce de la politesse ou bien la timiditĂ© qui disparait ? J'espĂšre encore que ce n'est pas mon physique un peu Ă©trange qui le met mal Ă  l'aise parce que j'ai l'impression que tout Ă  l'heure, il a jetĂ© un oeil sur ma cicatrice. Certaine personne ose poser la fameuse question, d'autre non.... par respect... par gentillesse... par gĂȘne... Et lui alors ? Pour quelle raison ne m'a t il pas demandĂ© ? Parce qu'il s'intĂ©resse plutĂŽt Ă  mes voyages on dirait." J'ai pas mal voyagĂ© oui. J'ai vĂ©cu en France, Espagne, Russie, Inde, USA un peu... j'ai visitĂ© le NĂ©pal du coup et j'ai vu l'Himalaya. J'ai fait la ThaĂŻlande, Laos, Vietnam, Cambodge.... Portugal, Irlande. Mais il me reste tellement de chose Ă  voir encore. MĂȘme si j'ai dĂ©jĂ  vu des choses magnifiques, il m'en manque encore beaucoup. Egypte, PĂ©rou, BrĂ©sil....." Je me tourne vers lui un sourire en coin, " Les pays Nordiques..."Je pourrai parler des heures de mes voyages, de la beautĂ© de la terre, de son peuple extraordinaire, de ses cultures incroyable, de sa nature si surprenante.... J'ai fait toutes mes visites seule, je ne sais pas ce que c'est que de partir entre amis ou en amoureux. Mais comment pourrais je dĂ©couvrir la beautĂ© de notre monde sans avoir la chance de pouvoir la partager ? Au moins, ĂȘtre sur Atlantis me permet d'ĂȘtre utile et de protĂ©ger cette Terre, de la prĂ©server jusqu'Ă  mon retour pour terminer mon roadtrip. Au moment ou je me retourne avec un sourire en coin en citant les pays nordiques, je prends Mikkel sur le fait accompli ! Il va se goinfrer de sucette ! Rapidement, pendant qu'il retire le papier, je dĂ©robe sous ses yeux sa douce sucrerie. " Oh boudu ! Va falloir marchander maintenant. Je t'aide pendant un jour de repos, je t'offre 1 sucette, mais la seconde va falloir la mĂ©riter. "Je marque une pause parce que je viens de rĂ©agir sans rĂ©flĂ©chir Ă  ce que je fais. Du coup, je dois rapidement trouver une monnaie d'Ă©change.... hum.... humhum.... je lĂšve les yeux au ciel cherchant une idĂ©e de gĂ©nie. Mais oui !" Je te donne un accĂšs libre et illimitĂ© Ă  mes sucettes, si en Ă©change.... tu acceptes de m'enseigner la plongĂ©e ! Je n'ai jamais visitĂ© les fonds marins, mais ca m'a toujours intriguĂ©. Qu'en dis tu ? "Le pauvre, dĂ©jĂ  qu'il n'est pas Ă©loquent, mais alors lĂ  aprĂšs mon attaque sauvage et surprise il va tout faire pour m'Ă©viter et finalement je vais rater l'occasion de faire plus ample connaissance avec lui et de faire de la plongĂ©e. Pourquoi je n'arrive pas Ă  faire les choses comme tout le monde... comme demander gentiment Ă  la fin un cours personnalisĂ©... Je suis dĂ©sespĂ©rante. Thyra me parle de ses voyages. Elle a parcouru de nombreux pays. Je suis trĂšs bon public aux rĂ©cits de voyage. Je l’ai toujours Ă©tĂ©. Je suis mĂȘme devenu marin Ă  cause d’un oncle marin qui m’en racontait des tas lorsque j’étais gosse. Elle me dit vouloir voyager encore au Moyen Orient, en AmĂ©rique Latine, et, dans les pays nordiques, ajoute-t-elle en souriant et en me regardant. Je lui souris un peu en coin avec un brin de fiertĂ©. J'pourrai dire, un petit sourire entre le malin et le guerrier. J’ai de la fiertĂ© pour mon pays la NorvĂšge. Pendant la discussion, je venais de voler une sucette du tas de sucettes. J'en commençais mĂȘme Ă  retirer le papier de la sucette usurpĂ©e. Avec dĂ©licatesse dans le geste, pour une fois ! J'avais une petite nature de pilleur. Pas que j'Ă©tais clepto, mais, un truc, j'sais pas, bizarre en moi qui aimait bien se servir. Mais Thyra me prend soudain la main dans le sac. La bricoleuse me dĂ©robe alors la sucette. AprĂšs avoir infiltrĂ© par le passĂ© des bĂątiments maritimes de guerre, voilĂ  qu’on me surprend pour une simple sucette. J’en souris un peu. HĂ©, ce n’est pas trĂšs gentil ça, c’est comme voler la glace Ă  un enfant. Je plaisante. C’est ses sucettes. J’comprends trĂšs bien. De lĂ  alors, elle me dit qu’il va falloir marchander si je veux piocher dans sa rĂ©serve de sucettes. Je la regarde alors d’un air trĂšs viking. Marchander ? Vraiment ? Ai-je l’air de quelqu’un qui accepte de marchander ? Le pauvre gars que j’suis qui a sĂ»rement eu comme ancĂȘtres autant des chasseurs de rennes que des navigateurs de drakkars et pilleurs de citĂ©s ? Elle me dit qu’elle vient de m’offrir une sucette contre son jour de repos, mais que pour la seconde, il fallait bien que je la mĂ©rite. Ça me paraĂźt honnĂȘte ! Cela expliquait l’absence d’uniforme de Thyra et son t-shirt I Love Paris Thyra Ă©tait de repos. Je saisis mieux. J'comprends mieux aussi pourquoi un autre mĂ©canicien s’était levĂ© avant qu’elle ne se prĂ©sente Ă  moi avant lui, dans l’étonnement de tous les mĂ©canos. Je la regarde toujours. Je pose ma joue contre mon poing qui lui-mĂȘme se pose de son coude sur un genou toujours en tailleur de mes jambes. Je garde toujours un air trĂšs viking. Que va-t-elle inventer pour la seconde sucette ? Je la vois rĂ©flĂ©chir et avoir un Ă©clair de gĂ©nie. Je la laisse s’exprimer en la fixant toujours et restant toujours comme je le suis toujours dans la force tranquille. Elle me donnerait un accĂšs libre et illimitĂ© Ă  ses sucettes, si, en Ă©change, je lui enseigne la plongĂ©e. Elle se dit intriguĂ©e par les fonds marins. J’avais alors quittĂ© son regard un instant. Sous la mer, tout un monde qu’on soupçonnait Ă  peine prospĂ©rait et ne demandait qu’à s’explorer. Elle me demande ce que j’en dis. Je roule de nouveau le regard vers elle s’adressant de maniĂšre directe au sien. Toujours, avec un air viking, je change pas plus de position. Marchander donc ? - J’ignorais que c’était ton jour de repos. Je lui rĂ©ponds d’abord, toujours abrupte. Elle aimait tellement son mĂ©tier qu’elle travaillait mĂȘme un jour de repos ? Ça inspirait l’admiration. Je quitte ma joue de mon poing et me redresse un peu. Solide comme un roc, je reste pour autant toujours assis en tailleur. - Deal. Mais est-c’que c’est vraiment Ă©quitable ton marchĂ© lĂ  ? T’en auras assez de sucettes ? Je lui enseignerai la plongĂ©e avec plaisir, mais je lui demande alors, abrupte, viking, en plissant du regard et comme sur le ton du dĂ©fi. J’avais une relation particuliĂšre avec le marchandage. Peut-ĂȘtre Ă  cause de missions. Peut-ĂȘtre Ă  cause d’un truc que j’avais dans le sang. Mikkel se transforme... si si je vous jure ! Le mec timide, rĂ©serve, en retrait, peu locasse..... je me retrouve devant un mec genre dĂ©terminĂ© ! Son regard semble me transpercer, on dirait un marchand de dromadaires qui cherche une faille pour m’entuber ! Mes yeux quittent les siens un instant pour observer sa bouche lĂ©gĂšrement pincĂ©e, sa barbe impeccablement bien taillĂ©e, les traits de son visage, encore sa bouche... ouais bon j’avoue que comme ça il est sexy ! Il se bat pour des sucettes ! C’est franchement pas mignon !? C’est un peu dĂ©stabilisant parce que je ne m’y attendais pas.... mais c’est aussi super drĂŽle comme situation, d’enfin le faire rĂ©agir autrement qu’un soldat trop parfait. C’est vrai qu’il n’est pas censĂ© ĂȘtre au courant qu’aujourd’hui est mon day-off ». MĂȘme si ma dĂ©gaine peut le laisser sous entendre, il ne pouvait pas en ĂȘtre sĂ»r. Et puis vu comment je me suis jetĂ©e sur lui pour trouver a m’occuper... finalement j’ai bien fait ! Concernant le nombre de sucette Ă  dispo... hum... s’il en mange 15 dans la journĂ©e ça va ĂȘtre compliquĂ© en effet, je dois trouver une alternarive. Soit je mets un nombre limite et du coup je change les modalitĂ©s du deal, ou alors je vais devoir trouver plus de fournisseurs ! Mais qui pourrait accepter de me rapporter des sucettes en provenance de la Terre ? John ? Il ne va jamais sur Terre !!! Hum.... je vais devoir mener l’enquete ! Ou alors.... Hum... tu as raison Thor... euh Mikkel .... *merde j’ai grillĂ© ma crĂ©dibilitĂ© ! Je dois enchaĂźner !*.... accĂšs illimitĂ© c’est trop. On va dire 1 sucette contre 2h de plongĂ©e ! Ça me parait bien. Tu auras le droit de choisir le goĂ»t en plus *franchement c’est important ça ! C’est presque le principal.* »Si j’avais su que je marchanderai avec lui des sucettes... j’aurai cassĂ© moi mĂȘme son compresseur plus tĂŽt. J’ai toujours sa sucrerie dans les mains et je m’amuse Ă  la faire passer sous ses yeux de droite Ă  gauche puis de gauche Ă  droite. Si je peux le perturber et le dĂ©stabiliser en agitant ça sous son nez autant en profiter ! Y’a pas vraiment de rĂšgles quand on parle affaires... et si par la mĂȘme occasion je peux profiter de la vue de ce bel Ăątre alors ma foi je fonce ! Je n’ai pas la beautĂ© de Natasha, ou le charisme d’Isia mais moi, je sais rĂ©parer son compresseur en deux trois mouvements ! Je prends juste mon temps. Thor ? Ah oui, de DC Comics, c’est ça ? » Toujours, lorsque je ne restais pas taciturne, je m'acharnais Ă  rester calme. Je ne m'emportais presque jamais. Parfois, je m'emportais Ă  imposer le calme. Il fallait que je sente que ça aille trop loin pour me lancer. Que je sois tĂ©moin de trop de colĂšre. Ça me poussait Ă  intervenir. Je n’aimais pas trop. Je prĂ©fĂ©rais rester froid Ă  tout. Je n’aimais pas m’emporter. Alors, je cherchais peu. Je ne cherchais donc pas dans mes interrogations. J'avais des connaissances approximatives et une mĂ©moire trĂšs sĂ©lective sur la culture geek. J'avais eu un pote geek sur ma frĂ©gate, avec qui j’avais eu un passif. Il avait fait la grossiĂšre erreur de se pointer vers moi avec une paire de ciseaux en prĂ©tendant que je devais me faire couper les cheveux. D'aprĂšs lui, j’aurai augmentĂ© mon taux d'attractivitĂ© auprĂšs de la population fĂ©minine. Car ce gars ne parlait qu'en termes statistiques. Il m'avait Ă©voquĂ© aussi un capital sĂ©duction. Il avait dĂ©veloppĂ© pour le fun un modĂšle complexe sur ça sur son temps libre. Bref, il avait fait en tout cas la pire erreur de sa vie Ă  tenter et surtout Ă  rĂ©ussir Ă  me couper les cheveux pendant mon sommeil. Que s’était-il passĂ© le lendemain matin ? Eh bien, un militaire norvĂ©gien en tenait un autre au-dessus du pont d'un bateau par la peau du pantalon avec le calbut dĂ©passant - un joli caleçon sponge bob. Vous imaginez qui Ă©tait qui ? Je le tenais bien. Il ne craignait rien. J’voulais juste lui faire voir la mer et lui faire mesurer la hauteur de notre bateau. Juste au cas oĂč. Toujours bien de s’en rappeler. D'ailleurs, il en avait fait une approximation. Je ne connaissais pas songe bob avant tout ce manĂšge. Le caporal de notre section nous avait vus. On avait dĂ» laver le pont ensemble en guise de blĂąme avec la brosse Ă  main. Avec ce geek, on avait fini bons amis, et si j’étais restĂ© sur Terre, on se verrait surement encore. C'Ă©tait grĂące Ă  lui que j'avais de vagues connaissances sur le cinĂ©ma et les jeux vidĂ©o. J’avais dĂ©jĂ  eu la remarque par lui que je ressemblais Ă  Thor. Il m’enquiquinait avec la scĂšne oĂč Thor se faisait couper les cheveux dans Ragnarök. Ça, et la scĂšne de blanche neige avec la pomme. Thor est nul. Il perd inutilement son marteau en manquant de sang-froid dans Ragnarök Ă  le balancer sans rĂ©flĂ©chir contre sa sƓur aĂźnĂ©e. » Si seulement je savais que quelques mois plus tard, je partirai pour l’opĂ©ration Normandie oĂč j’y passerai pas mal de temps Ă  y faire exploser mon matos, rĂ©duit en miettes par des ennemis Ă  l'image de cette scĂšne, Ă  commencer par mon famas puis mon fusil Ă  pompe
 Et dans le mĂȘme film il chiale presque Ă  ce qu’on lui coupe les ch’veux. » MĂȘme si, en vrai, je pourrai rĂ©agir comme lui
 Pis il s’est fait plaquĂ© par sa copine de la Terre. » Tiens... moi aussi
 Le vrai Avengers qui a la classe, pour moi, c’est Hawkeye, l’archer ƒil de Faucon. »Je ne connaissais que les films. Je ne lisais pas les comics. J'avais toujours Ă©tĂ© du genre Ă  lire les Tuniques bleues. Je n'Ă©tais pas du tout dans la culture geek. Alors qu’elle passe sa sucette devant moi, je reviens Ă  notre marchandage. J’en reste norvĂ©gien, mĂȘme si je regarde la sucrerie, mais j’en reste en fin de compte, assez viking. 1 sucette contre 2 heures de plongĂ©e, c’est pas assez. MĂȘme avec le choix du goĂ»t. J’aime tous les goĂ»ts. » Tant que je ne mangeais pas les vrais fruits, leurs parfums m’allaient tous, et j’aimais bien aussi au coca. L’accĂšs illimitĂ©, c’est trĂšs bien moi j’trouve. Pourquoi tu veux revenir lĂ -d'ssus ? Tu penses ne pas en avoir assez avoue ? » Je lui demande avec un sourire. 30 sucettes contre 2 heures. Comme ça j’peux en faire profiter des confrĂšres militaires. » Au marchandage, fallait pas toujours commencer haut j'crois bien ? Je n'Ă©tais pas un spĂ©cialiste, mais j'aimais piller, et, de lĂ , tenter de marchander Ă  mon avantage. Tout le monde avait ses petits dĂ©fauts... ses petites lubies... Comment ose t il ! Comment peut il dire que Thor est nul ? Thor c'est .... c'est..." Je ne suis pas d'accord avec toi. Je te trouve dur. Je trouve que tout ce qu'il fait,surtout ses erreurs, le rendent plus humain. MalgrĂ© qu'il soit un Dieu il a des faiblesses et il les combat, c'est chouette. Il n'abandonne jamais ses idĂ©es, il est loyal et humble. Et personnellement, depuis qu'il est cĂ©libataire, j'ai toutes mes chances ! MĂȘme si je parais bien fade Ă  cĂŽtĂ© de Nathalie Portman. "Comment ça Thor n'existe pas ? Mais si ! Il est devant moi, la preuve ! Et puis de toutes façons, quand on connait l'existence de la porte des Ă©toiles ou de la citĂ© d'Atlantis, on peut bien croire en l'existence de Thor ou de Hulk. Enfin, s'il y a autant de hĂ©ros chez les comics ou les marvel, c'est pour que tout le monde soit satisfait. Par contre, j'aurai pensĂ© qu'il aurait eu une prĂ©fĂ©rence pour la Veuve Noire....." Bon Monsieur je ne me fais jamais larguer par une femme, je ne perds ou dĂ©truit jamais mon arme et surtout je ne chouine pas pour des cheveux.... Si 1 sucette pour 2 heures c'est pas assez payer, je te propose donc un super deal tu me laisses tresser tes cheveux avant chaque virĂ©e en plongĂ©e que nous ferons, *oui, je veux passer autant de temps que possible avec lui, il me plait bien* et la oui, tu auras un accĂšs illimitĂ© Ă  mes sucettes... et pour infos, je plonge avec toi, pas avec tes collĂšgues, je n'ai pas assez pour nourrir toute la citĂ©. "Pourquoi j'ai dit tout ça ? Pourquoi ai je parlĂ© de ses cheveux ?! Parce que j'ai toujours voulu tripoter Thor ? Euh je veux dire les CHEVEUX de Thor ? C'est vrai que mon Mikkel Ă  l'air d'avoir d'avoir de beaux cheveux... en fait, il est beau tout court... mais ça il le sait dĂ©jĂ  bien sur et en plus on se chamaille pour des sucettes. De vrais gosses. Et puis il me regarde bizarrement, ca façon de poser son menton sur ses mains comme ça, appuyĂ© sur ses genoux, puis de se redresser ca me met mal Ă  l'aise. Son regard perçant, plein de volontĂ©, sa carrure Ă©paisse qui me domine clairement.... il les veut vraiment ses sucettes en fait. Je dois rattraper le coup parce que lĂ , il va vraiment finir par me prendre pour une folle. J'ai vraiment un soucis avec les rapports humains, surtout quand il s'agit du sexe opposĂ© et d'un aussi beau spĂ©cimen. En fait, peu importe le sexe, j'etais mal aussi devant Isia. " Euh je voulais pas dire ça en fait... laisse tomber c'Ă©tait idiot. "Je lĂąche la sucette et me retourne vers le compresseur. En fait, je fuis littĂ©ralement son regard qui me perturbe totalement. J’écoute son point de vue sur Thor. Je m’en montre attentif. J’ai le regard qui part un peu sur le cĂŽtĂ© Ă  y rĂ©flĂ©chir. Humble ? Mmh je ne le trouve pas si humble ce Thor. Mais peut-ĂȘtre qu’il le devient Ă  mesure de ses Ă©popĂ©es. Je suis d’accord avec elle. Il change Ă  mesure de ses Ă©popĂ©es, ça ouais je suis d’accord avec elle. Je suis dur ouais peut-ĂȘtre. ƒil de Faucon me parait avoir le sang-froid que j’rĂȘverai avoir. Je le trouve quand mĂȘme plus classe que Thor. Mon regard revient Ă  elle lorsqu’elle dĂ©clare avoir toutes ces chances avec un personnage de fiction. J’ai un brin de sourire qui s’échappe. Elle a l’air fan de Thor. Je n'y rĂ©ponds pas et en reste taciturne. J’croyais que le plus populaire parmi les filles c’était, j’sais pas, Iron Man ou Ant Man, les bruns quoi, Bucky dans Captain ou mĂȘme Russo dans Punisher ou mĂȘme Punisher. Hum peut-ĂȘtre peut-ĂȘtre. » Je lui rĂ©ponds Ă  propos de Thor dans un air viking et nordique un peu comme ce marin qui n’a pas encore pris la mer et ne se prononce pas encore sur la mer. Ouais. Portman elle est pas mal dans Thor et Star Wars aussi. » Je ne vais pas mentir. Elle est jolie. Je le dis sur un ton un peu plat. La copine de Deadpool, elle est pas mal. Elle a un air sympa. » Morena Baccarin. Mais d’toute façon c’est que du physique tout ça. Faut la personnalitĂ© avec.» Quoi ? Ouais, j’ai un cĂŽtĂ©, j’sais pas comment on dit dĂ©jĂ , pas romantique, j’suis pas fleur bleue ça jamais, mais bon, voilĂ  quoi, tout c'que j'sais, c'est que c’pas facile d’ĂȘtre avec un taciturne. Ça j’le sais bien. Et mĂȘme le sachant, j’fais pas toujours l’effort de parler
 la personnalitĂ© compte. Je souris Ă  son Ă©numĂ©ration. Non. Moi je ne dĂ©truis pas mes armes. » J’acquiesce calme, posĂ©, et dans la force tranquille, comme Ă  mon habitude. Mais il ne fallait jamais dire jamais dans la vie. Plus tard oui, j’en dĂ©truirai, mais aujourd’hui je ne le savais pas encore. Alors Ă  le dire aujourd'hui, je parais sĂ»r de moi. Pour le reste de l’énumĂ©ration, je ne confirme pas, parce que, je ne sais pas mentir
 Je suis un piĂštre menteur. Je ne tente mĂȘme pas parce que je n’aime pas ça. Si je suis pilleur, j’espĂšre au moins que j’suis honnĂȘte. A sa proposition de tressage, je plisse les yeux. Ça...! Ah ça ! Ça, ça me parait pas mal du tout. Ça ouais ça me pĂȘche. Mais ça ne ferait pas un peu fille » que j’accepte ça ? Ça ne fait pas un peu atelier coiffure entre copines ? C’est ce que je redoute sur le moment. Il faut dire, j’ai passĂ© pas mal de temps dans des bateaux peu mixtes – que quelques femmes et avec couchettes sĂ©parĂ©es et pas toujours – avec alors une ambiance trĂšs garçonniĂšre sur les bateaux. Aussi, je ne rĂ©ponds pas tout de suite et j’y rĂ©flĂ©chis. Il ne faudrait jamais que des potes militaires apprennent ça. Jamais. Ah j’hĂ©site. Pour qu’on me touche les cheveux, il me faut vraiment un minimum de confiance. A y rĂ©flĂ©chir, du coup, je ne lui rĂ©ponds pas encore. Et, entre temps, Thyra retourne Ă  la rĂ©paration du compresseur, me disant de laisser tomber tout ça, comme gĂȘnĂ©e par tout ça. Je la revois alors remettre les mains dans le cambouis. Ça me rappelle que je lui fais confiance pour le compresseur alors pourquoi pas pour mes cheveux ? D’accord ça marche. » Je lui rĂ©ponds, aprĂšs un temps qu’elle me dise de laisser tomber. J’en profite pour piller la sucette qu’elle laisse tomber. Ouais, franchement, j’ai un gros dĂ©faut quand mĂȘme. Me revoilĂ  Ă  piller
 Tressage et accĂšs illimitĂ© Ă  tes sucettes Ă  chaque plongĂ©e sur ce que tu apporteras en sucettes. » Ça ne doit pas ĂȘtre simple de trouver des sucettes sur Atlantis tous les jours. J’veux pas la mettre dans la mouise non plus. Je ne donnerai rien Ă  mes confrĂšres militaires et ne limiterai la consommation de sucettes que pour moi pour ne pas te vandaliser mais Ă  une seule condition tu ne dis Ă  personne que tu me tresses les cheveux. A personne. Si j’apprends que tu as vendu la mĂšche Ă  qui que ce soit, je romps notre deal. » Ouais, en vrai, je suis peut-ĂȘtre un peu dur comme gars. Elle n’a peut-ĂȘtre pas tort. Je m’en rends un peu compte. Mais bon on ne se refait pas. Je retourne au dĂ©pliage de papier de la sucette que je viens de rĂ©cupĂ©rer. Et avec ça, je te propose un autre truc. Tu me tresses les cheveux de temps en temps aussi en dehors des plongĂ©es et en Ă©change
 » Je cherche. J’interromps alors mon dĂ©pliage. Je t’offre un repas du matin ou du midi ou du soir selon le moment de la journĂ©e oĂč tu me tresses. Bref un repas par tressage hors plongĂ©e. Qu’en dis-tu ? » Je finis ma proposition sur un regard plus jeunot militaire - plus dĂ©tendu. Je n’ai pas encore mis la sucette dans ma bouche. Le deal n’est pas encore conclu. Dans mon dĂ©faut de pilleur, je n’ai pas conscience du tout que je la dĂ©valise la pauvre, en obtenant tressage et accĂšs illimitĂ© aux sucettes pour des plongĂ©es et cherchant Ă  marchander du hors plongĂ©e en prime
 Mikkel
 abuse pas ! Je suis sur mon compresseur, concentrĂ©e pour oublier la grosse boulette que je viens de faire. Je devrais y ĂȘtre habituĂ©e et pourtant je me sens toujours aussi idiote ! Aucun filtre. Les gens croient que je ne sais pas me tenir, alors qu’en fait pas du tout ! C’est juste que tout sort de ma bouche comme les enfants.... ça fait de moi une enfant ? Pas Ă©tonnant que mes rapports sociaux soient catastrophiques... la mĂ©canique c’est bien, ça ne juge pas un moteur ça...Quoi ? Que vient de me dire Mikkel ? Je me repasse sa phrase dans la tĂȘte D’accord ça marche ». J’en perds mon latin. Je lui jette un regard en coin, j’espere qu’il ne remarque pas trop parce que je voudrais juste vĂ©rifier qu’il ne se moque pas de moi. Mais on dirait qu’il est sincĂšre. Je le vois qui ne perd pas le nord il a rĂ©cupĂ©rĂ© la sucette que j’ai laissĂ©e tomber. Je rĂ©flĂ©chis Ă  ce que je pourrai bien dire... pour une fois que je reflechis. Mais la, c’est de nouveaux le drame ! Mon cƓur va lĂącher, trop de pression sanguine, je redeviens rouge et lĂ  mon regard vient se planter dans le sien. J’ai un sourire timide. Tu es sĂ©rieux la ? Enfin je veux dire... tu ne te moques pas de moi ? Parce que si c’est pour me faire une mauvaise bague c’est vraiment pas digne de Thor ou de Hawkeye tu sais ? »Mais en mĂȘme temps, s’il me demande d’etre dans le secret, c’est que peut ĂȘtre il est sĂ©rieux. Si tu me demandes de rester discrĂšte, ce n’est pas un souci. C’est pas comme ci nous Ă©tions dans le secret chaque jour, n’est ce pas ? »Un petit sourire en coin. En mĂȘme temps c’est vrai, nous vivons dans le secret et j’ai du inventer des bobards comme quoi je bosse sur des nouveaux projets d’aviation pour le gouvernement amĂ©ricain. Faut bien justifier une absence prolongĂ©e et un silence total sur mes activites. Mais si j’avais su qu’en plus je devrais garder le secret sur une histoire de tresse.... c’est rigolo, je crois que nous sommes de rĂ©els enfants tous les deux. Si jamais tu as envie, enfin je veux dire rien de prĂ©vu et que tu t’ennuies et que t’as personne Ă  voir, je suis normalement avec mes collĂšgues lĂ  oĂč tu m’as trouvĂ©. Donc si t’as envie d’une sĂ©ance de relaxation style papouilles dans les cheveux... enfin tresses je veux dire, tu sais ou me trouver. Parfois je suis Ă  la salle de sport je mÂŽentraine regulierement. »Mais pourquoi je dis tout ca ! Il s’en fout de ca il veut juste des sucettes ! Pas mon planning de la semaine ! Mais enfin, le principal c’est qu’il ait dit oui. Il ne le sait pas mais j’adore toucher les cheveux. J’ai appris Ă  faire toutes sorties de tresses, de chignons et de coiffures diverses et variĂ©es. Bien entendu, sur Mikkel je m’inspirerais juste de Ragnar, le beau gosse de la sĂ©rie Viking. Mais chut, je ne vais pas lui dire pour Ă©viter que son regard sur moi ne change. La j’aime bien comment il est, c’est comme ci on venait de partager un secret super intime, un truc particulier que personne ne doit jamais savoir sous peine de mourir ! Oui ben j’exagere un peu c’est vrai, admettons. En tout cas, j’ai l’impression qu’il est diffĂ©rent tout d’un coup. J’suis fan je crois. En attendant, je continue de bricoler son compresseur, je dois dĂ©monter quelques piĂšces pour atteindre un point prĂ©cis et dans une dizaine de minutes ça sera malheureusement terminĂ©. Je le regarderai plonger et moi je partirai faire ma journĂ©e de repos je ne sais oĂč. C’est un militaire, il reviendra de sa plongĂ©e, mais si demain il part en mission.... reviendra t il pour se faire caresser les cheveux en Ă©change d’une sucette ? Peut ĂȘtre que si je lui en donne une avant qu’il parte en admettant que je sois au courant, ça lui donnera du courage non ? Dans les films y’a toujours un moment oĂč le soldat regarde le ciel, une photo, un arbre, pourquoi pas une sucette et ça le motive.... genre hummm je dois survivre parce que j’ai un paquet de sucette qui m’attend ! ». C’est too much oui, mais si c’est efficace.... Thyra me regarde en coin puis passe dans les teintes de rouge sur son visage et surtout au niveau de ses joues je crois bien. Que lui arrive-t-il ? J’en reste viking. Ça va lui passer. D’ailleurs elle me regarde et laisse Ă©chapper un sourire timide. C’est que tout va bien alors. Pourquoi s’inquiĂ©ter ? De sang-froid, rougir ne m’arrive jamais, j’en ai bien peur, et le voir ne me fait pas vraiment rĂ©agir... Je veux dire, les Ă©motions ne me mettent pas vraiment mal Ă  l’aise mĂȘme les pleurs. MĂȘme si je suis sensible Ă  la colĂšre que j’ai tendance Ă  vouloir calmer et en ce sens les pleurs aussi, bien souvent, j’en reste toujours assez froid en apparence
 Je me dis que les Ă©motions ne font que passer – telles des tempĂȘtes en mer qui finissent bien par retomber. La colĂšre me fait rĂ©agir davantage sans que je n’aie jamais vraiment su pourquoi
 C’est comme ça... Elle me demande si je suis sĂ©rieux - si je ne me moque pas d’elle. Parce que, si c’est le cas, je ne serai ni digne de Thor ni de Hawkeye. Pas digne de Thor, je n’ose pas lui dire car elle en est fan, mais cela ne me dĂ©range pas du moins du monde. En revanche
 pour Hawkeye
 Ah bah bravo, tu me prends pour un calomnieux ? » Je lui dis viking dans le sourire. Je lui dis taquin alors, Ă  ma maniĂšre un peu abrupte. Si, bien souvent, j'avais un langage trĂšs courant voire familier, il m'arrivait de sortir de temps en temps un terme comme ça - plus soutenu. Comme je prenais peu la parole, alors, mes paroles variaient pas mal comme ça. Hum hum. » J’acquiesce Ă  ce qu’elle dise que ce n’était pas comme s’ils Ă©taient dĂ©jĂ  dans le secret avec Atlantis et je lui rends en accord un sourire Ă  son sourire. Oui, je parle peu, comme, je le crains, Ă  mon habitude... De lĂ  alors, comme nous paraissons en accord sur notre marchĂ©, elle me donne les deux endroits principaux oĂč je peux la rejoindre pour le tressage en cas de temps libre. C’est notĂ©. » Je lui rĂ©ponds succinct et abrupt. Ça doit ĂȘtre le soldat qui revient un peu Ă  la charge et qui rĂ©pond de maniĂšre sommaire et brĂšve. Je ne sais pas pourquoi, je ne lui donne pas aussitĂŽt en Ă©change ma localisation. Peut-ĂȘtre parce qu’elle m’a donnĂ© la sienne et que ça ferait too much de donner la mienne. Par pudeur aussi je crois, car c’est mon genre, j’ai une sorte de pudeur. Ou bien, tout simplement, par Ă©conomie de mots. Ici, c’est lĂ  oĂč je plonge, si tu veux plonger. » Je lui rĂ©ponds abrupte et simple et me lance ainsi quand mĂȘme dans un effort Ă  quitter ma nature taciturne. Je me frotte lĂ©gĂšrement mes mains, comme toujours, dans la force tranquille, comme si ces derniĂšres Ă©taient talquĂ©es, me montrant prĂȘt Ă  lui enseigner la plongĂ©e quand l’occasion se prĂ©sentera – sans la presser. Il faudra faire ton baptĂȘme en piscine mais sinon ce sera ici. » SĂ©rieux dans mon monitorat, je lui prĂ©cise tout de mĂȘme dĂ©jĂ . Je la laisse travailler sur le compresseur. Puisque le marchĂ© est conclu, je mets sucette en bouche, et, comme pour l’autre sucette, je la croque comme il n’est pas du tout d’usage. Je garde le bĂątonnet en bouche. Juste en bouche, tranquille, sans mĂąchouiller et sans le tourner avec les doigts. Juste comme un cure-dent qu'on garderait un peu en bouche. J’ai l’impression que bientĂŽt, Thyra aura rĂ©parĂ© en bonne et due forme ce compresseur de plongĂ©e. C’est une bonne chose. Elle est sympa j’trouve. Je me demande ce qu’elle va faire quand mĂȘme avec mes cheveux
 des trucs virils quand mĂȘme j’espĂšre... ! je plisse les yeux, marin, Ă  y songer un peu. Ce garçon est vraiment.... tout l’inverse de moi. Tout ce que je pense sort de ma bouche alors que lui, ne dit rien. C’est comme s’il y avait deux genres de militaires celui qui drague, le beau parleur, celui qui se vante de ses exploits et qui compense quelque chose, et celui qui reste maĂźtre de soi, discret, rĂ©serve, impassible et imperturbable. Et bien Mikkel est de ceux ci. C’est plus agrĂ©able en rĂ©alitĂ©, c’est comme une force tranquille qui se dĂ©gage de lui, un fleuve tranquille qui fait son chemin sans dĂ©ranger, sans trop de soucier du superflux qui l’entoure. On pourrait naviguer sans trop craindre la tempĂȘte, on pourrait se baigner sans s’inquieter de ce qu’il y a dedans. Il est apaisant, reposant... et pourtant je sens en lui une force qui pourrait exploser avec une petite Ă©tincelle. L’eau lui va bien. Elle peut ĂȘtre calme et posĂ©e mais elle peut aussi se montrer meurtriĂšre. Enfin la il ne me semble pas bien meurtrier avec sa sucette Ă  la bouche. Je l’entends qui la croque et qui s’acharne dessus pour la finir au plus vite, avant de garde le bĂąton coincĂ© entre ses lĂšvres. Pendant encore quelques minutes je m’agace sur le compresseur, parce que certaines piĂšces sont bien serrĂ©es. Je me dĂ©brouille, toute seule surtout puisque j’ai ma fiertĂ©, pour desserrer, retirer les piĂšces, dĂ©monter le machin et juste euh... faire un truc. Je ne lui dirais pas ce que c’est parce que si ça recommence il saura le faire lui mĂȘme, et sincĂšrement je prĂ©fĂ©rerai le lui faire. Je remonte le tout en un clin d’oeil en faisant croire que c’etait un truc bien chiant et me redresse. Je me frotte le nez, lorsque je me rends compte que j’ai les mains couvertes de graisse noire... fait chier ! J’ai du me mettre du noir sur le visage !!! Oh non c’est ridicule !!! Je dois trouver un truc ! Panique Ă  bord !!!Je regarde mes mains, je regarde Mikkel... non quand mĂȘme pas ... si....? Bon allĂ©, SI ! De toutes façons il va aller Ă  lÂŽeau ! Bon, et bien voilĂ  c’est tout bon. Tu peux plonger en toute sĂ©curitĂ©. »Je me rapproche innocente de lui, prĂȘte Ă  attaquer aussi vive qu’un serpent pour le barbouiller un peu comme moi. Mais quand son regard se pose sur moi alors je me fige, incapable de lancer une quelconque attaque. Non, je ne peux pas. Je ne sais pas si c’est son regard, son expression, ou juste parce que je le trouve beau sans maquillage mais je n’y arrive pas. Je vais rester seule avec du cambouis sur le visage et seule je vais assumer ma maladresse. J’ai dĂ©jĂ  pas mal bousculĂ© ce pauvre jeune homme et j’ai dĂ©jĂ  de lĂ  chance qu’il accepte un deal aussi Ă©trange que celui que nous venons de faire. Alors stop les bĂȘtises ! AprĂšs l’avoir saluĂ©, aprĂšs avoir contenu toute l’excitation qui se propage en moi, je m’éloigne de lui un peu triste quand mĂȘme que cette aventure se termine si vite. J’ai dĂ©jĂ  hĂąte de le revoir. Une fois au loin, je me retourne une derniĂšre fois, histoire de faire comme dans les films... sauf que moi... il n’y a aucun bel homme qui me court aprĂšs pour me retenir. En fait, je bouscule quelqu’un de mon Ă©paule par accident parce que je ne regarde pas oĂč j’en vais. Si ça c’est pas romantique ! Au lieu de retourner Ă  l’atelier embĂȘter mes collĂšgues le jour de mon repos, je prĂ©fĂšre revenir dans ma chambre, pensive. Je pose mon sac d’outils dans un coin et m’installe sur mon lit aprĂšs avoir pris un papier et un stylo. Je dessine. Je dessine quoi ? La premiĂšre coiffure » que je ferai sur Mikkel ! Ben quoi, on est motivĂ© ou on l’est pas DU RP POUR THYRA 01/08/2018 Ça ne se voit peut-ĂȘtre pas forcĂ©ment comme ça, mais, Ă  vrai dire, je suis un gars un peu curieux. Il m’arrive mĂȘme de poser des questions. C’est peut-ĂȘtre parce que j’aime bien observer. Et en particulier les gestes. Certains disent que je suis observateur. J’sais pas trop. Peut-ĂȘtre que c’est la tare de celui qui ne parle pas. Je l’observe travailler sur le compresseur. Je le fais norvĂ©gien. Je n’aime pas non plus m’imposer et dĂ©ranger quelqu’un dans son travail. Lors d’un instant elle me parait comme s’agacer. Elle bidouille alors – desserre, retire et remonte. Je n’affiche aucun stress malgrĂ© qu’elle manipule lĂ  le compresseur de plongĂ©e – un organe mĂ©canique crucial puisque, sans lui, finit le gonflage de bouteilles de plongĂ©e. Si elle est mĂ©canicienne sur Atlantis, c’est qu’elle a les compĂ©tences. Pas de soucis Ă  se faire. Je ne me fais aucun souci. En revanche, par curiositĂ©, je plisse les yeux sur sa façon de faire. Je ne parviens pas y dĂ©terminer un schĂ©ma. Je la regarde elle. Je la regarde de nouveau travailler et donc ses mains. Bon... Je ne parviendrai pas Ă  refaire ce qu’elle vient de faire j’crois bien
 Une fois sa rĂ©paration terminĂ©e, Thyra se redresse et se relĂšve. Elle se frotte le nez. Avec, alors, de la graisse de ses mains de mĂ©canicienne. Toujours assis encore, je lĂšve les yeux sur elle et la regarde avec ses marques de cambouis, les coudes sur les genoux de mes jambes que j’ai redressĂ©es, les pieds plats sur le sol. J’ai un sourcil qui se lĂšve et un sourire qui me vient Ă  la regarder avec ses peintures de guerre. Je finis par me relever Ă  l’aide d’une main et la dĂ©passe de nouveau de la hauteur de mon gabarit. Je la regarde. Elle regarde ses mains. Elle me regarde. Je la regarde viking. Elle m’annonce qu’elle a fini et que je peux plonger en toute sĂ©curitĂ© mais je ne lui rĂ©ponds pas encore car elle se rapproche de moi. Taciturne, je la laisse terminer ce qu’elle semble entreprendre. Je ne suis pas vraiment une flĂšche mais je sais observer les choses. Elle venait d’observer ses mains pleines de graisse... Je me doutais un peu de ce qu’elle pouvait bien avoir derriĂšre la tĂȘte Ă  se rapprocher comme ça de moi... Mais elle semble se figer et s’interrompre. Viking, je finis par croiser les bras. Je lui souris avec un sourire en coin comme ayant perçu sa tentative que j'trouve marrante mais dont je reste norvĂ©gien, comme, je le crains, Ă  mon habitude. Merci Thyra. » Je la remercie enfin et acquiesce. Rentre bien. » Je lui souhaite aprĂšs nos salutations. FIN DU RP POUR MIKKEL 01/08/2018 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Lessolutions pour la dĂ©finition S'INTÉRESSE EN PARTIE À L'ASIE OU À L'AMÉRIQUE pour des mots croisĂ©s ou mots flĂ©chĂ©s, ainsi que des synonymes existants. Accueil ‱ Ajouter une dĂ©finition ‱ Dictionnaire ‱ CODYCROSS ‱ Contact ‱ Anagramme
Mauro Icardi, indésirable au PSG, pourrait prendre la direction de la Turquie. ñ€” Eugene Hoshiko / AP / Sipa L'ESSENTIELLe dĂ©fenseur de Manchester United Eric Bailly s'est officiellement engagĂ© ce jeudi avec l'OM, sous la forme d'un Strootman, le sparadrap marseillais, retourne en BrĂ©silien de Lyon Lucas Paqueta suscite l'intĂ©rĂȘt en Angleterre. Allez on va s'arrĂȘter lĂ  pour ce soir et reprendre tranquillement demain matin, avec probablement une autre offre indĂ©cente d'un club anglais de seconde zone pour un gros joueurs de L1. Ciao tout le monde 19h20 L'Equipe nous informe que le PSG et la Juve sont presque d'accord pour le prĂȘt de Paredes. L'opĂ©ration tout le monde dehors» prend de l'ampleur Ă  Paris. 16h46 Bordeaux - AthĂšnes en passant par NottinghamNiveau bilan carbone, c’est moyen mais bon
 Ui-jo Hwang, l'attaquant sud-corĂ©en de Bordeaux, est bien arrivĂ© en GrĂšce, Ă  AthĂšnes, pour finaliser son arrivĂ©e Ă  l'Olympiakos. Il sera prĂȘtĂ© par le club de Nottingham Forrest pour la saison Ă  venir. Football Grec France footgrec August 25, 2022 15h45 Et si Paris arrivait enfin Ă  dĂ©graisser ?Pour Kehrer West Ham et Wijnaldum AS Rome, c’est dĂ©jĂ  fait. Des pistes sĂ©rieuses existent pour Herrera Atletic Bilbao, Gueye Everton, Kurzawa Fulham, Icardi Galatasaray parmi les indĂ©sirables, Paredes Juve et Navas Naples parmi les simplement transfĂ©rables. Le loft du PSG devrait se vider ses prochains jours
Negotiations between Fulham and PSG for Layvin Kurzawa will continue in the next days, new round of talks scheduled. Kurzawa, approved by Fulham manager Marco Silva. âšȘ⚫ FulhamFCThe two clubs are considering a permanent transfer - it’s still under discussion. Fabrizio Romano FabrizioRomano August 25, 2022 15h29 Le Rennais Majer sur le dĂ©part?Selon le quotidien croate Sportske Novosti, Lavro Mejer pourrait rejoindre l'AtlĂ©tico Madrid. L'Ă©lĂ©gant milieu de Rennes serait mĂȘme attendu demain dans la capitale espagnole pour passer sa visite mĂ©dicale et signer son Barreca rĂ©silie son contrat Ă  MonacoMonaco et Antonio Barreca, c’est terminĂ©, mĂȘme si ça n’avait jamais vraiment commencĂ©. L’arriĂšre gauche italien de 27 ans a rĂ©siliĂ© son contrat aprĂšs avoir nĂ©gociĂ© la perception d’une partie de sa derniĂšre annĂ©e de contrat. ArrivĂ© du Torino en 2018 pour 10 millions d’euros, Barreca n’a jouĂ© que 9 matchs au total avec le club de la PrincipautĂ©, entre deux prĂȘts. Il pourrait s’engager avec Cagliari Serie B. 14h50 Simeone fervent dĂ©fenseur de GriezmannDepuis son retour Ă  l’AtlĂ©tico Madrid l’an dernier, tout est compliquĂ© pour Grizou. Avec des statistiques en retrait de sa grande Ă©poque, le champion du monde fait dĂ©bat parmi les dirigeants et les supporteurs, alors que les Colchoneros sont censĂ©s verser 40 millions d’euros au Barça en fin de saison, Ă  l’issue de ses deux ans de prĂȘt. Selon Marca, l’attaquant de 31 ans n’a pas renoncĂ© Ă  s’imposer de nouveau chez les Rojiblancos, et son entraĂźneur Diego Simeone reste son premier Benjamin Corgnet annonce sa retraiteVisage incontournable du foot français de club des annĂ©es 2010, le milieu de terrain de 35 ans raccroche. Le natif de Thionville a jouĂ© Ă  Dijon, Lorient, Saint-Etienne et Strasbourg, avant une derniĂšre saison Ă  Bourg-en-Bresse National en National, oĂč il va entamer sa Kevin Trapp envoie bouler Manchester UnitedLes temps sont dĂ©cidĂ©ment durs pour les Red Devils. L’ancien gardien allemand du PSG prĂ©fĂšre rester Ă  l’Eintracht Francfort, vainqueur de la derniĂšre Ligue Europa et donc qualifiĂ© pour la Ligue des champions, plutĂŽt que de rejoindre Manchester, qui se contentera cette saison de la C3. Pour les germanophones, voici ses Umtiti file Ă  LecceC’est officiel aussi. Le FC Barcelone a annoncĂ© que Samuel Umtiti Ă©tait prĂȘtĂ© pour la saison, sans option d’achat, Ă  Lecce. A 28 ans, le dĂ©fenseur central champion du monde 2018 va tenter de relancer sa carriĂšre dans les con la Unione Sportiva Lecce para la cesiĂłn de Umtiti hasta el 30 de junio de 2023— FC Barcelona FCBarcelona_es August 25, 2022 11h02 Milik part Ă  la JuveRMC Sport indique​ que l’OM a finalisĂ© le prĂȘt payant Ă  la Juventus de son avant-centre polonais, guĂšre utilisĂ© par Igor Tudor. Montant de l’opĂ©ration un million d’euros et une option d’achat Ă  7 10h39 Islam Slimani rejoint BrestC’est le troisiĂšme club français de l’attaquant international algĂ©rien, aprĂšs Monaco et Lyon. Slimani 34 ans s’est engagĂ© pour une annĂ©e, plus une autre en A Marseille, la rumeur CR7 ne fait pas rĂȘver tout le mondeAlors que de nombreux supporteurs, cĂ©lĂšbres ou anonymes, rĂȘvent tout haut de Cristiano Ronaldo, l’expert Ăšs mercato Fabrizio Romano explique que le prĂ©sident de l’OM Pablo Longoria est déçu » par cette rumeur, et pas du tout dans la mĂȘme optique que les fans Marseille are currently not in negotiations to sign Cristiano Ronaldo. Pablo Longoria, disappointed with the rumours as OM are trying to build completely different project. đŸ”” OMMore on OM position on Ronaldo, project and signings Fabrizio Romano FabrizioRomano August 25, 2022 9h42 Strootman encore prĂȘtĂ© au GenoaLe milieu nĂ©erlandais, indĂ©sirable Ă  l’OM, retourne dans un club oĂč il a dĂ©jĂ  Ă©voluĂ© en 2020-2021. Mais cette fois-ci, le joueur de 32 ans jouera en Serie B, et non en Serie A. La saison derniĂšre, il avait Ă©tĂ© prĂȘtĂ© Ă  Cagliari.📝 460 giorni dopo la sua ultima presenza con la maglia del Grifone, Kevin Strootman Ăš nuovamente un calciatore rossoblĂč. Il centrocampista olandese, giĂ  18 partite al Genoa nella stagione 2020/21, arriva dall’Olympique Marsiglia e indosserĂ  la maglia numero 8. Bentornato Kevin! Genoa CFC GenoaCFC August 25, 2022 9h31 SĂ©ance de rattrapage encoreBon, ça c’est fait
 Depuis le temps qu’on en Bien le bonjour !!!Je sais, j’arrive un peu tard, mais il y a pas mal de boulot par ailleurs
 Allez on s’échauffe avec une info sur l’un des vieux routiers de nos Allez, on s’arrĂȘte lĂ  pour aujourd’huiBonne soirĂ©e et Ă  demain pour de nouvelles aventures !18h17 Nicolas PĂ©pĂ© prĂȘtĂ© Ă  NiceL'Equipe indique que l’OGC Nice a obtenu d’Arsenal le prĂȘt sans option d’achat de Nicolas PĂ©pĂ©. L’attaquant international ivoirien de 27 ans s’était rĂ©vĂ©lĂ© Ă  Angers puis Ă  Lille avant de rejoindre les Au sujet d’Eric BaillyAdrien, notre reporter Ă  Marseille, vous en parlera mieux que Pendant ce temps, Ă  BordeauxLes Girondins, qui n’ont toujours pas pu faire enregistrer leurs recrues, tentent de leur faire de la place. Les actuels 3es de L2 ont officialisĂ© aujourd’hui le dĂ©part du dĂ©fenseur Edson Mexer vers le club portugais d’Estoril. L'Equipe annonce par ailleurs que l’attaquant corĂ©en Hwang Ui-jo va doit signer jeudi pour trois ans Ă  Nottingham Forest, avant un prĂȘt immĂ©diat Ă  l’Olympiakos. Le promu en Premier League et le club grec ont le mĂȘme patron, ce qui facilite les contacts
16h15 Le SuĂ©dois Isak file Ă  Newcastle contre 70 millions d’eurosAvec le transfert d’Alexander Isak Ă  Newcastle, la Real Sociedad a signĂ© la plus grosse vente de son histoire, indique El Diario Vasco. A ces 70 millions d’euros s’ajoutent 5 millions de bonus, mais aussi 10 % Ă  la future revente de l’attaquant international suĂ©dois de 22 ans, espĂ©rĂ© comme le nouveau Zlatan » dans son pays. Le record du club basque appartenait auparavant Ă  Antoine Griezmann, transfĂ©rĂ© Ă  l’AtlĂ©tico Madrid en 2014 contre seulement » 54 West Ham fait une offre pour Lucas PaquetaC’est Sky Sports qui le dit. Les Hammers proposeraient 40 millions d’euros pour attirer le milieu offensif brĂ©silien de l’Olympique lyonnais aprĂšs avoir dĂ©jĂ  recrutĂ© un ancien Gone, le latĂ©ral gauche international italien Emerson, achetĂ© quelque 15 millions d’euros Ă  Gueye plus trĂšs loin d’un dĂ©part de ParisAlors que l’officialisation de l’arrivĂ©e d’Ander Herrera Ă  l’Athletic Bilbao ne saurait tarder, un autre milieu lofteur du PSG devrait aussi bientĂŽt plier les gaules. Idrissa Gueye est trĂšs chaud pour revenir Ă  Everton, oĂč il a Ă©voluĂ© de 2016 Ă  2019 avant de signer Ă  Paris. Selon RMC Sport​, le SĂ©nĂ©galais souhaiterait que le PSG accepte de rĂ©silier son bail, comme le club l’a fait avec Martin Terrier prolonge Ă  RennesL’autre cĂ©lĂ©britĂ© d’ArmentiĂšres, avec Line Renaud et Dany Boon, est dĂ©sormais liĂ©e au club breton jusqu’en juin 2026. On souhaite Ă  l’attaquant de 25 ans, qui intĂ©ressait Newcastle, de dĂ©couvrir les Bleus d’ici lĂ .[PROS]👑 đŒđšđ«đ­đąđ§ đ“đžđ«đ«đąđžđ«, đ«đžđ§đ§đšđąđŹ 𝐣𝐼𝐬đȘ𝐼'𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟔.✍ Auteur d’une saison 2021/2022 𝕏𝕏𝕃, notre attaquant prolonge son contrat d’une annĂ©e supplĂ©mentaire.— Stade Rennais staderennais August 24, 2022 12h10 CĂ©dric Bakambu intĂ©resse le Celta VigoC’est le quotidien sportif espagnol As qui sort l’info, en prĂ©cisant toutefois qu’outre l’international congolais de l’OM, trois autres avants-centres, dont les noms ne sont pas citĂ©s, font partie de la courte liste » du club galicien. Pour rappel, le conseiller externe du Celta est un certain Luis Campos, qui officie aussi au Eric Bailly est arrivĂ© Ă  MarseilleLa Provence indique que le dĂ©fenseur central de Manchester United va passer la traditionnelle visite mĂ©dicale, afin de valider le prĂȘt avec option d’achat obligatoire. L’international ivoirien, accueilli par le prĂ©sident Pablo Longoria, pourrait jouer dĂšs dimanche Ă  Wesley Fofana toujours convoitĂ© par Chelsea, mais puni par LeicesterSelon la presse britannique, Leicester a refusĂ© une nouvelle offre de Chelsea pour son dĂ©fenseur français Wesley Fofana, qui s’élevait tout de mĂȘme Ă  plus de 80 millions d’euros. Et comme l’arriĂšre central de 21 ans a sĂ©chĂ© un entraĂźnement la semaine derniĂšre, il a tout simplement renvoyĂ© chez les U23 du Rony Lopes Ă  Troyes, c’est officielDifficile de savoir quel est le niveau actuel exact de l’ancien ailier portugais de Lille, Monaco et Nice. Mais son prĂȘt sans option d’achat par le FC SĂ©ville ne peut pas faire de mal Ă  la lanterne rouge de Ligue 1. Et il n’a que 26 ans
9h29 Le Barça veut Thomas MeunierL’arriĂšre droit belge plaĂźt beaucoup Ă  Xavi, selon le quotidien catalan Sport. Faute d’avoir pu engager Cesar Azpilicueta, qui a prolongĂ© Ă  Chelsea, l’entraĂźneur barcelonais aimerait recruter l’ancien latĂ©ral parisien, qui Ă©volue au Borussia Dortmund. Le club allemand rĂ©clame 15 millions d’euros. Le Barça, dont l’état des finances est le plus grand mystĂšre depuis le Masque de Fer, propose plutĂŽt un Ă©change avec l’AmĂ©ricain Sergiño Dest
8h50 Lucien Favre serait trĂšs irritĂ©Et ce n'est pas Ă  cause du sable azurĂ©en dans le maillot de bain. Selon RMC Sport, l’entraĂźneur suisse, de retour sur le banc niçois, s’énerve de ne pas voir arriver de nouvelles recrues qu’il juge indispensables aux postes de latĂ©ral gauche, d'ailiers et d'attaquant de pointe. Favre serait Ă©galement marri de constater qu'Iain Moody, le nouveau conseiller sportif piochĂ© par Ineos, est beaucoup plus Ă©coutĂ© que lui, notamment sur le dossier Aaron Ramsay, dĂ©barquĂ© alors que le technicien n’é’ait pas demandeur. Bonne ambiance dans la baie des Ander Herrera vers Bilbao, c’est trĂšs chaudPour ceux qui ont passĂ© l’étĂ© dans une grotte lozĂ©rienne, le Basque pas trĂšs bondissant fait partie des indĂ©sirables » du PSG. Le club parisien veut tellement se dĂ©barrasser de son milieu de terrain de 33 ans que ses deux derniĂšres annĂ©es de contrat devraient ĂȘtre rĂ©siliĂ©es, indique L’Equipe. Herrera pourra alors rejoindre l’Athletic Bilbao, dans sa ville natale, oĂč il a dĂ©jĂ  Ă©voluĂ© de 2011 Ă  les amis du transfert, les copains de la rumeur, les potes du chuchotement. Et c’est reparti pour le show, c’est reparti le stade est chaud, comme le chantait l’inoubliable NĂądiya, ancienne athlĂšte de haut niveau d’ailleurs. Mais c’est un autre dĂ©bat. Nous, ce qui nous intĂ©resse, ce sont les prĂȘts avec options d’achat, les bonus saugrenus, les pourcentages Ă  la revente...» Et hop, en voiture Simone, destination le monde envoĂ»tant du maquignonnage sportif
MotscroisĂ©s Ă©ventuellement liĂ©s. En se basant sur les rĂ©ponses ci-dessus, nous avons Ă©galement trouvĂ© des indices qui sont peut-ĂȘtre similaires ou en rapport avec Ne marche pas tellement vite:. Marche vite et Ă  petits pas
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Chemin de Traverse AllĂ©e des EmbrumesAnna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Mar 19 Juil - 2125 PV avec Nathalie Matthews Il Ă©tait tard, cette nuit lĂ , lorsqu'Anna et son accompagnateur traĂźnaient dans les rues du Chemin de Traverse. Tellement tard qu'il n'y a avait presque personne autour d'eux. Les rues Ă©taient quasiment toutes vides, un vent glacial refroidissait la peau de la jeune Auror en formation. HabillĂ©e d'une robe noir en dentelles, une petite veste de la mĂȘme couleur ainsi que de longues bottes en cuir elle marchait au bras d'un homme, qu'elle ne qualifierait pas vraiment de charmant, d'un pas lent et silencieux. Ses fins collants ne suffisaient absolument pas Ă  conserver la chaleur de son corps tellement la nuit Ă©tait fraĂźche. Bref, elle arborait une tenue qui ne lui Ă©tait pas habituelle. Qui plus est elle avait rĂ©cemment utilisĂ© une formule permettant de troquer ses magnifiques cheveux blonds en une sombre chevelure noire et ses yeux d'un bleu pĂ©tillant Ă©taient maintenant vert Ă©meraude. Quiconque l'avait dĂ©jĂ  croisĂ© auparavant ne l'aurait jamais reconnue dans cette pĂ©nombre. Anna, ce soir lĂ  Le jeune homme et elle entrĂšrent maintenant dans l'AllĂ©e des Embrumes. C'Ă©tait un coin qu'elle commençait Ă  connaitre depuis les quelques semaines oĂč elle avait fait la connaissance de Sorel. Mais malgrĂ© tout, elle n'aimait toujours pas y mettre les pieds. La rue paraissait toujours plus sombre que les autres, toujours plus sale et toujours plus glauque. L'ambiance y Ă©tait en permanence pesante et elle craignait toujours de se faire repĂ©rer par quelqu'un, mĂȘme si c'Ă©tait fort peu probable. Cette homme Ă©tait suspectĂ©, depuis dĂ©jĂ  un moment, de faire parti d'un groupe de Mangemorts. Les Aurors, ayant pour but de les dĂ©masquer les uns aprĂšs les autres, avaient dĂ©cidĂ© d'en suivre quelques uns. Anna s'Ă©tait tout naturellement portĂ©e volontaire pour s'infiltrer auprĂšs de Sorel et se faire passer pour une adepte de la magie noire afin de dĂ©couvrir si cet homme Ă©tait vraiment l'un d'entre soir, il avait dĂ©cidĂ© de l'emmener dans un endroit tout particulier qu'il appelait "le centre". Il lui en avait dĂ©jĂ  parlĂ© depuis quelques jours et elle s'impatientait de voir ce qui se cachait sous ce nom. Tout en se dirigeant un peu plus haut dans la rue malfamĂ©, le sorcier prit Anna par la main d'une façon plutĂŽt brutale. Celle-ci, surprise, la retira immĂ©diatement et commença Ă  se gratter la tĂȘte histoire que son attitude passe inaperçu... Elle savait qu'il n'Ă©tait pas insensible Ă  ses charmes, mais tout d'mĂȘme, il ne fallait pas trop pousser "l'infiltration" sans mauvais jeux de mots. Il s'arrĂȘta, la regardant dans la pĂ©nombre et finit par hausser les Ă©paules pour continuer sa route, la jeune blonde brune Ă  ses cĂŽtĂ©s. Ils entrĂšrent ensemble dans une maison des plus lugubres aux allures de taverne et Anna, regardant en l'air le nom du lieu, se prit de plein fouet la porte. Oubliait-elle que la galanterie chez cet Ă©nergumĂšne Ă©tait quelque chose de peu commun ?Une fois le seuil de la porte passĂ©, elle put voir qu'il s'agissait effectivement d'une taverne. Et le mot n'Ă©tait pas mal choisit. En regardant les nombreuses personnes qui y Ă©taient installĂ©es elle eut l'impression d'ĂȘtre revenue au Moyen-Âge. Une ambiance des plus sordides emplissait ce lieu des jeunes femmes dĂ©vergondĂ©es avec un balcon bien chargĂ© trĂŽnaient sur les genoux d'hommes complĂštement saouls qui parlaient bien trop fort, d'autres Ă©taient simplement assis Ă  siroter leurs boissons en regardant autour d'eux comme s'ils allaient se faire attaquer au moindre faux mouvement. Elle vit mĂȘme un pauvre homme assis au pied d'un mur, parlant Ă  sa baguette. Tu m'vends du rĂȘve lĂ ... »Elle s'Ă©tait approchĂ©e de Sorel, s'imaginant peut-ĂȘtre qu'il la protĂ©gerait si un de ces fous furieux venaient Ă  lui sauter dessus pour on-ne-sait-quelle-raison. Que nenni, elle n'eut droit qu'Ă  un vulgaire "Quoi ? Ca t'plait pas ?" puis il finit par s'installer au bar en lui faisant un signe du menton vers le tabouret Ă  cĂŽtĂ© de lui. Elle s'y installa et mit les mains sur le comtoir, tapotant ses doigts contre le bois brut de celui-ci. Elle commanda un cocktail maison qu'elle regretta amĂšrement par la suite puis se retourna discrĂštement. Quelque chose n'allait pas... Elle se sentait comme Ă©piĂ©e, observĂ©e... AprĂšs tout, cet endroit la rendait certainement complĂštement paranoĂŻaque. Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis Ă©tonnĂ©e. »Il se retourna vers elle et la scruta de haut en bas, comme s'il essayait de dĂ©couvrir quelque chose. Il sirota un peu de sa mixture immonde et regarda le barman qui arborait un sourire lui donnant un air sadique. Cela ne lui disait rien qui vaille mais qu'importe, autant aller jusqu'au bout. Ce n'est pas exactement ça. Tu verras bien plus tard ma jolie. »Elle dĂ©testait quand il l'appelait par ce genre de petit surnom dĂ©bile. Entendre des "ma jolie", "poulette" et autres "poupĂ©e" tout au long de la journĂ©e commençait Ă  lui taper sur le systĂšme. Difficile, dans ces moments lĂ , de se dire que c'Ă©tait pour la bonne cause. MĂȘme si depuis ces diffĂ©rentes semaines, elle n'avait absolument rien trouvĂ© qui pouvait lui permettre de continuer dans le sens "Sorel = Mangemort", c'est d'ailleurs ce qui la dĂ©sespĂ©rait le plus dans toute cette affaire. Il lui mit la main sur la cuisse et elle croisa les jambes pour la retirer rapidement. Il devenait, depuis quelques jours, beaucoup trop entreprenant et collant. Anna se disait qu'il valait peut-ĂȘtre mieux mettre fin Ă  cette filature incessamment sous peu car s'il continuait dans cette voie lĂ , elle allait bientĂŽt terminĂ© sous la couette de cet immonde personnage. Elle eut un frisson rien qu'a l'idĂ©e d'y penser et bu une gorgĂ©e de sa boisson qui lui donna encore plus envie de vomir. Tournant lĂ©gĂšrement sur son siĂšge afin que ses jambes ne soient plus Ă  la portĂ©e de Sorel, elle se retourna une derniĂšre fois, histoire d'ĂȘtre certaine que personne ne l'observait, malgrĂ© son mauvais Ă©dition par Anna Ride le Jeu 28 Juil - 018, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Re Minuit, l'heure du le Jeu 21 Juil - 1710 Cela faisait maintenant quelques jours que Nathalie travaillait au Quartier GĂ©nĂ©ral de l’Ordre du PhĂ©nix sur des dossiers de personnes pouvant ĂȘtre mangemort. Oh, naturellement, elle n’avait que des soupçons et ne pouvait encore rien prouver mais elle y trouvait une raison pour faire une filature. Si elle en avait parlĂ© aux autres ? Seulement Ă  Mione, car elle n’avait rien de bien sĂ©rieux pour le moment et elle allait souvent trouver cette derniĂšre pour des conseils lorsqu’elle ne savait pas quoi faire. D’accord, ce n’était pas trĂšs prudent, mais Nathalie ne pouvait rien dire tant qu’elle n’était sĂ»re de rien. Pourquoi ? Pour ne pas donner de faux espoirs, pour ne pas passer pour la derniĂšre des imbĂ©ciles poursuivant quelqu’un pour rien. Ces derniers temps, tout Ă©tait trĂšs instable et il lui fallait redoubler de prudence, elle n’avait pas droit Ă  la moindre erreur. Peut-ĂȘtre qu’une bonne nouvelle remonterait le moral des troupes ? Ou mĂȘme le sien, d’ailleurs
C’est donc remplie de doutes mais dĂ©cidĂ©e Ă  clarifier certaines choses que Nathalie sortit du Quartier GĂ©nĂ©ral, habillĂ©e comme en plein hiver ; des bottines remontant jusqu’au-dessous des genoux, un jean bleu-gris, un chemisier blanc, un gilet noir, une Ă©charpe rouge-bordeaux et, naturellement, sa cape noire. Si cela Ă©tait surprenant ? Pas du tout ! Il Ă©tait prĂšs de minuit et tout le monde sait qu’il a beau faire chaud la journĂ©e, le froid se charge de chasser la chaleur une fois la nuit tombĂ©e pour rappeler son existence. Ce n’était pas trop dĂ©sagrĂ©able, surtout avec toutes ces couches, mais Nathalie avait soudainement une profonde mĂ©lancolie, ou tristesse, Ă  vous de voir, par rapport aux sans-abris. Ils devaient mourir de froid et rien que le fait de passer devant l’un deux le lui fit remarquer. Un sorcier ? Non, un moldu. Elle Ă©tait passĂ©e par les rues moldues pour pouvoir rejoindre la cachette tant convoitĂ©e par les mages noirs, mĂȘme si elle aurait pu passer par les quartiers sorciers sans le moindre problĂšme. Pourquoi ne pas l’avoir fait ? Tout simplement pour Ă©viter d’attirer les regards sur elle, pour Ă©viter que quelqu’un la connaissant ne la surprenne dans la rue oĂč elle se les rues Ă©taient dĂ©sertes. Les sorciers et moldus dormaient tous paisiblement, sans soupçonner la prĂ©sence de mangemorts, ou mĂȘme de mages noirs, dangereux dans les environs. Regardant Ă  travers une fenĂȘtre, Nathalie remarqua un couple endormi dans un divan avec un enfant dans les bras de la jeune femme – sĂ»rement la mĂšre. Ils n’avaient pas l’air terrifiĂ©s, ils semblaient seulement
 Calmes. Mais comment pouvaient-ils l’ĂȘtre avec le MinistĂšre de la Magie ? Ils n’étaient donc pas touchĂ©s par toute cette histoire ? Ils ne craignaient pas d’ĂȘtre, un jour, privĂ©s de leurs pouvoirs sous prĂ©texte du mauvais sang » coulant dans leurs veines ? Bon, d’accord, elle allait un peu loin dans ses suppositions mais elle ne se souvenait plus de la derniĂšre nuit qu’elle avait passĂ©e sans stresser, sans s’inquiĂ©ter. Mais elle ne devait pas oublier que, contrairement Ă  cette famille de sorciers, elle Ă©tait au centre de l’action, Ă  combattre le Mal tous les jours, elle voyait tout Ă  chaque fois et pas uniquement ce que les journaux donnaient Ă  voir. La censure de la presse
 Sans doute la presse Ă©tait-elle contrĂŽlĂ©e par le MinistĂšre elle aussi ?VoilĂ . L’Ex-Gryffondor Ă©tait arrivĂ©e Ă  destination. Pour commencer ses recherches et trouver la personne qu’elle voulait, rien de mieux que l’AllĂ©e des Embrumes, le lieu de rassemblement de tous les mages noirs. Elle ne savait pas oĂč exactement chercher dans cette allĂ©e mais elle guĂšre de temps ne lui fut nĂ©cessaire Sorel, le sorcier qu’elle espionnait, se trouvait Ă  quelques mĂštres d’elle, accompagnĂ© d’une femme Ă  l’allure Ă©trange, mais peu sĂ»re d’elle aprĂšs vĂ©rification. L’homme prĂ©nommĂ© Sorel Ă©tait habillĂ© tout de noir, dĂ©gageait une odeur nausĂ©abonde et avait une barbe de cinq jours facilement. La jeune femme, quant Ă  elle, avait des cheveux bruns assez longs, Ă©tait de la mĂȘme taille de Nathalie Ă  premiĂšre vue et de corpulence relativement mince. Deux personnes ? Ce n’était pas prĂ©vu au programme, mais il fallait s’adapter. Ils passĂšrent tout prĂšs d’elle et continuĂšrent leur chemin. Une fois assez Ă©loignĂ©s, elle se mit Ă  leur poursuite le plus calmement possible et les vit, de justesse, entrer dans un bar dont l’écriteau Ă©tait
 RouillĂ© ? Oui, cela ressemblait Ă  de la rouille. Le bĂątiment Ă©tait Ă©galement rongĂ© par les termites et noir de poussiĂšre. L’envie d’entrer lĂ -dedans n’était vraiment pas au rendez-vous mais
 Avait-elle le choix ?L’inconnue – Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis Ă©tonnĂ©e. »Entrant, Nathalie s’installa Ă  la table la plus proche possible des deux personnes citĂ©es plus haut, cachant son visage grĂące Ă  la capuche de sa cape – il faut dire qu’elle est connue chez les mangemorts, ce n’est pas le moment de se faire repĂ©rer. Elle essayait d’entendre la discussion qu’ils avaient, ils parlaient d’un centre »  Qu’était-ce ? De plus, la voix de la jeune femme n’était pas inconnue Ă  l’Ex-Gryffondor, peut-ĂȘtre s’était-elle trompĂ©e de cible ? Elle ne savait plus oĂč elle avait entendu cette voix, mais ce timbre lui semblait familier. De loin, je l’avoue, mais cela ne changeait pas grand-chose. Puis, sans crier gare, le barman s’approcha d’elle en lui demandant ce qu’elle prenait. Commander quelque chose ici ? Hors de question ! Elle avait pris un journal pour se cacher et fit simplement un geste nĂ©gligeant, lassĂ© de la main pour faire partir le sorcier. Quand elle releva la tĂȘte, ils n’étaient plus lĂ . Pourtant, ils n’étaient pas dehors, elle en Ă©tait sĂ»re. Ses doutes furent confirmĂ©s une bonne demi-heure aprĂšs Sorel et la jeune femme sortirent d’elle-ne-savait-oĂč et firent un signe en guise d’au revoir au barman avant de sortir du dĂ©pĂȘchant de sortir quelques minutes aprĂšs pour ne pas paraĂźtre suspecte, Nathalie marcha Ă  vive allure pour essayer de rattraper les sorciers qu’elle venait de voir tourner au coin de la rue. Une fois arrivĂ©e Ă  ce mĂȘme coin, elle s’arrĂȘta net en les voyant contre le mur, forts proches. Sortaient-ils ensemble ? Ou alors la jeune femme menaçait-elle Sorel et Nathalie s’était alors trompĂ©e ? Mais pas le temps de rĂ©flĂ©chir, il fallait agir. La nuit Ă©tait glaciale, l’atmosphĂšre Ă©galement et, pour couronner le tout, elle sentait comme une sueur froide l’envahir Ă  mesure que le temps passait elle ne savait plus qui suivre. Et voilĂ  qu’ils bougeaient, et se sĂ©paraient qui plus est ! Ni une ni deux, elle continua la rue en suivant seulement Sorel Ă  petits pas prĂ©cipitĂ©s. Elle avait perdu la jeune femme. OĂč Ă©tait-elle passĂ©e ? Bizarrement, l’Ex-Gryffondor se sentait Ă©piĂ©e, peut-ĂȘtre mĂȘme dĂ©masquĂ©e Ă  cause de son refus de commander dans le bar. Ou peut-ĂȘtre n’avait-elle pas Ă©tĂ© assez discrĂšte lorsqu’elle s’était arrĂȘtĂ©e net ? Quoi qu’il en soit, sa baguette n’était pas loin, son visage Ă©tait cachĂ©, Mione Ă©tait prĂ©venue. Elle ne risquait
 Presque rien. Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 24 Juil - 1435 Trempant le bout de ses lĂšvres dans la boisson rĂ©pugnante elle remarqua que Sorel et le barman discutaient silencieusement. Faisant mine de ne pas s'y intĂ©resser, Anna tourna un peu la tĂȘte pour Ă©couter ce qu'il se tramait entre les deux Ă©nergumĂšnes. Mais les clients du bar Ă©taient bien trop bruyant alors elle n'entendit pas grand chose, voire rien du tout.** Mais ça n'va servir Ă  rien cette sortie lĂ ... **Elle pensait qu'il Ă©tait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rable de rentrer. De toute façon elle n'allait certainement rien apprendre de plus ce soir. Si c'Ă©tait pour se taper des boissons aux couleurs bizarres toute la soirĂ©e, autant qu'elle parte. Elle se tourna vers Sorel pour lui dire qu'elle Ă©tait impatiente et qu'elle voulait quitter les lieux. Mais il ne lui laissa pas le temps d'ouvrir la bouche et lui saisit le poignet pour l'emmener derriĂšre le comptoir oĂč une petite porte Ă©tait dissimulĂ©e. HĂ© oh, tu m'fais mal ! »Mon dieu, qu'allait-ils faire d'elle lĂ  d'dans ? Anna et les deux compĂšres descendirent des marches d'un pas rapide dans un couloir Ă©troit et humide. Une pauvre ampoule Ă©clairait celui-ci et donnait un air lugubre Ă  cet endroit. ArrivĂ©s en bas des marches, Sorel lĂącha le poignet de la jeune femme et pointa sa baguette en hauteur. On ne voyait rien, rien du tout de ce qu'il y avait lĂ  oĂč ils Ă©taient Ă  prĂ©sent. Un sortilĂšge informulĂ© fit soudainement apparaĂźtre tout le contenu de cette piĂšce... Et quelle ne fĂ»t pas la surprise de la jeune Auror en formation lorsqu'elle remarqua ce qu'il se tramait dans les sous-sols de cette elfes de maisons par dizaines Ă©taient en train de travailler Ă  la chaine, un esclavagisme sans prĂ©cĂ©dent qu'Anna n'avait jamais vu auparavant. Ils Ă©taient sales, dĂ©nutris et avaient l'air bien faible. Que faisaient-ils lĂ  ? Pourquoi ? Que fabriquaient-ils ? Que... Qu'est-ce qu'ils font ? »Anna avait la gorge serrĂ©e, voir toutes ces pauvres crĂ©atures maltraitĂ©es lui faisait de la peine. Elle n'avait qu'une envie tous les dĂ©livrer de leur fidĂ©litĂ©s envers ces immondes personnages. Elle regarda Sorel avec un air interrogateur, essayant de garder son sang froid. Il lui expliqua qu'ici, ils fabriquaient de faux objets de magie noire pour les revendre Ă  un prix hors du commun aux plus naĂŻfs. Les elfes travaillaient sur des capes d'invisibilitĂ© foireuses, des armes magiques dĂ©ficientes. Les trafiquants comptaient mettre Ă  profit leur manigance pour se faire Ă©normĂ©ment d'argent. C'Ă©tait ridicule ! Ils ne pensaient donc pas aux reprĂ©sailles de tous ces sorciers qui allaient leur acheter tout ça, se rendant compte par la suite que ce n'Ă©tait qu'une piĂštre copie ? Ils Ă©taient complĂštement inconscients... De simples petites falsifications, voilĂ  ce qu'ils faisaient. Je pense que la demoiselle en a assez vu. On s'en va. »Sorel poussa la blondinette-devenue-brune hors de la piĂšce, en direction des escaliers. Elle remonta rapidement les marches et ouvrit la porte pour se retrouver Ă  nouveau derriĂšre le comptoir. Le sorcier fit un signe de main au barman en guise d’au revoir et indiqua Ă  Anna la sortie, d'un coup de menton. Quelque chose n'Ă©tait pas normal... Avait-il dĂ©couvert qu'elle n'Ă©tait pas ce qu'elle semblait ? InquiĂšte, elle suivit Sorel qui tourna au coin d'une rue sombre en rĂ©flĂ©chissant Ă  comment elle pourrait bien se sortir de cette mĂȘlasse. Il la plaqua contre un mur, se mit en face d'elle et mit sa main droite Ă  cĂŽtĂ© de son visage, contre la pierre froide. Son visage Ă©tait Ă  quelques centimĂštres d'Anna, elle pouvait sentir son haleine chaude et puante. Un jour, elle lui apprendrait Ă  se laver les dents plus d'une fois par mois. Si je dĂ©couvre que tu as parlĂ© de tout ça Ă  quelqu'un, je te tue. Tu sais que je n'plaisante pas, n'est-ce pas ? »Il avait prit un ton arrogant et accusateur, la regardant avec des yeux pĂ©tillant de menace. Elle hocha la tĂȘte, sans un mot, lui montrant qu'elle avait effectivement bien compris. Il approcha son visage un peu plus du sien. Elle crut d'abord qu'il allait poser ses lĂšvres dĂ©goĂ»tantes sur les siennes mais celles-ci se dirigĂšrent vers son oreille droite il lui murmura quelques mots. Quelqu'un les suivait, d'aprĂšs ce qu'il disait. Anna jeta un rapide coup d'oeil sur sa droite et remarqua une ombre un peu plus haut dans la rue. Elle pensa directement Ă  un sorcier qui avait dĂ» acheter quelque chose Ă  Sorel et qui voulait se venger. Il lui ordonna de s'en aller, il devait se sĂ©parer et attaquer cet individu par surprise. Pardon ?! Attaquer ?! Non mais non, elle n'avait pas le droit de faire ça, elle n'Ă©tait pas encore apte Ă ... Le sorcier ne lui laissa pas le temps de rĂ©flĂ©chir et commença Ă  se sĂ©parer d'elle pour continuer Ă  avancer dans la ruelle. Quant Ă  Anna, elle se dirigea d'un pas prĂ©cipitĂ© dans une rue en parallĂšle. Qui Ă©tait donc cette personne ? Il fallait qu'elle sache. Contournant le petit pĂątĂ© de maison, elle finit par se retrouver Ă  nouveau au bout de la ruelle oĂč elle Ă©tait quelques secondes plus tĂŽt avec Sorel. Marchant d'un pas silencieux derriĂšre l'inconnu, elle le suivait Ă  quelques mĂštres. Hm, il avait donc dĂ©cidĂ© de suivre le sorcier. La premiĂšre impression d'Anna sur le fait qu'il devait sĂ»rement vouloir se venger semblait ĂȘtre la bonne. IntriguĂ©e, elle continua de suivre le cagoulĂ©. Ou peut-ĂȘtre, au contraire, voulait-il acheter des choses au sorcier ? Tout en longeant les murs en pierres des maisons entourant la rue, elle shoota dans un caillou qui alla ricocher sur les pavĂ©s. Anna se rangea dans l'encadrement d'une porte, espĂ©rant ne pas s'ĂȘtre faite plusieurs minutes elle continua de suivre l'inconnu, jusqu'Ă  ce qu'il tourne Ă  l'angle d'une maison oĂč elle le perdit de vue. Puis, pressant le pas pour rejoindre l'endroit qu'elle ne pouvait pas voir, elle vit une lueur et entendit un bruit sourd. Un sortilĂšge ? Mince, il se passait quoi lĂ  ? L'inconnu avait attaquĂ© Sorel ? Non... Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce l'inverse ? Elle ralentit et se colla contre contre la maison pour ne pas ĂȘtre vue, puis avança Ă  petits pas jusqu’à l'angle. Elle attendait d'entendre un quelconque autre sortilĂšge ou une discussion pouvant lui permettre de comprendre ce qui Ă©tait en train de se passer. C'Ă©tait un peu le bordel, si jamais sa Chef apprenait qu'elle s'Ă©tait mise dans cette situation sans sa permission, elle allait se faire taper sur les doigts. InvitĂ© Re Minuit, l'heure du le Ven 29 Juil - 009 Nathalie continuait de suivre Sorel, aprĂšs son Ă©trange sĂ©paration d’avec la jeune femme. Elle avait l’impression de courir droit vers un guet-apens sans mĂȘme avoir pris une seule mesure de protection. Pourquoi ne pas avoir suivi la jeune femme qu’elle avait vu rĂŽder avec son suspect » ? Peut-ĂȘtre savait-elle des choses, et cela aurait Ă©vitĂ© Ă  l’Ex-Gryffondor de prendre de tels risques. Enfin, elle ne pouvait revenir en arriĂšre, elle devait aller jusqu’au bout et suivre cet homme pour savoir oĂč il se rendait avec autant de rapiditĂ©. A vrai dire, elle hĂ©sitait Ă  continuer. Peut-ĂȘtre valait-il mieux revenir un autre jour ? Venir sous Polynectar pour ne pas se faire repĂ©rer aussi bĂȘtement que cela ? Elle ne savait rĂ©ellement pas quoi faire, mais pourtant, ses jambes continuaient. Elles la faisaient avancer, encore et cette impression d’ĂȘtre suivie ne quittait pas Nathalie. La jeune femme qui Ă©tait avec Sorel Ă©tait-elle restĂ©e dans le coin ? L’avaient-ils grillĂ©e depuis le dĂ©but, lorsqu’elle s’était arrĂȘtĂ©e net sans prendre garde Ă  qui la verrait ? Sorel marchait encore, continuait Ă  s’enfoncer dans les ruelles sombres et morbides, voire presque glauques. Il le faisait exprĂšs, ce n’était pas possible autrement. Elle Ă©tait presque sĂ»re d’avoir Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e depuis un bon moment et ils ne la faisaient marcher que pour avoir toutes leurs chances de l’avoir lorsqu’ils s’arrĂȘteraient enfin, et qu’elle non parce que prise dans son Ă©lan. Tout cela pris en considĂ©ration, elle pouvait continuer et avait dĂ©jĂ  sorti sa baguette pour attaquer au moindre sort jetĂ© contre elle. La moindre lumiĂšre jaillissante vers elle, elle riposterait, elle Ă©tait prĂȘte. Surtout que, Ă  peine deux minutes aprĂšs cette prise de dĂ©cision, elle entendit un pied fouler le sol avec un manque de dĂ©licatesse Ă©vident il avait fait bouger une pierre sans grand mĂ©nagement. Elle avait donc bel et bien raison ils ne s’étaient sĂ©parĂ©s que pour mieux se prĂ©sent sĂ»re et certaine d’ĂȘtre en train de foncer droit vers un piĂšge, Nathalie ferma les yeux quelques secondes et tourna Ă  l’angle d’un Ă©niĂšme mur oĂč elle tomba nez Ă  nez avec
 Sorel. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, un sortilĂšge fusa en la direction de la jeune femme qui riposta automatiquement avec un Reversus. Ce qui eut pour effet de mettre temporairement le suspect » chaos car il ne s’attendait pas Ă  rencontrer une quelconque rĂ©sistance. L’Ex-Gryffondor s’empressa d’aller prĂšs de lui, le prenant alors par le cou avec sa baguette pointĂ©e dessus. Ce qu’elle attendait ? La jeune femme qui Ă©tait avec lui, bien sĂ»r. Elle Ă©tait certaine que la personne qui avait passĂ© son temps Ă  la suivre, pendant qu’elle-mĂȘme suivait Sorel, n’était autre que la jeune inconnue. Mais que faire ensuite ? Ils avaient l’air de s’apprĂ©cier, et beaucoup, mais du pur chantage serait stupide Ă©tant donnĂ© qu’elle n’avait pas grand-chose Ă  Ă©changer. Echanger Sorel contre quoi ? Des rĂ©ponses, bien sĂ»r !Des pas ne tardĂšrent pas Ă  se faire entendre. Elle approchait. Enfin. Peut-ĂȘtre que suivre Sorel n’avait pas Ă©tĂ© une si mauvaise idĂ©e en fin de compte, puisqu’elle aurait sans doute ce qu’elle voulait si ses soupçons Ă©taient fondĂ©s. Peu de temps aprĂšs, une silhouette apparut en s’arrĂȘtant presqu’aussitĂŽt Ă  la vision de Nathalie tenant son ĂȘtre aimĂ©. Dans la pĂ©nombre, la rĂ©action de la jeune femme Ă©tait relativement difficile Ă  observer, mais pendant une fraction de seconde, l’Ex-Gryffondor crut voir du
 Soulagement ? Pourquoi cette inconnue serait soulagĂ©e de la situation ? Son conjoint Ă©tait tout de mĂȘme dans une mauvaise posture, elle aurait dĂ» ĂȘtre terrifiĂ©e, voire en colĂšre ! Quelque chose ne tournait pas rond, peut-ĂȘtre Ă©tait-ce un autre piĂšge et Nathalie s’était fait avoir comme une dĂ©butante, s’il avait utilisĂ© un clone. Mais un clone n’aurait pas rĂ©agi, un clone ne se serait pas dĂ©battu comme le faisait ici Sorel ? Si ? Du calme ! Les choses se dĂ©roulaient parfaitement bien, elle avait adaptĂ© son jeu Ă  la situation et tout s’arrangeait, mĂȘme si le dĂ©nouement Ă©tait quelque peu – Bon, voilĂ  ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en Ă©change de quelques rĂ©ponses Ă  mes questions. Et arrĂȘtez de me prendre pour une dĂ©butante, j’ai de l’entraĂźnement, donc pas de coup ne restait plus qu’à attendre la rĂ©ponse de la jeune femme se trouvant en face d’elle. Le ton de sa voix avait Ă©tĂ© assez froid, ce qui ne la ressemblait guĂšre, mais Nathalie n’avait pas le choix. De plus, le visage de la jeune femme ne lui Ă©tait pas Ă©tranger Ă  cent pour cent. OĂč avait-elle bien pu le voir ? Peut-ĂȘtre pas les cheveux, les yeux, le visage en entier, mais
 Certains traits ne lui Ă©taient pas inconnus. OĂč avait-elle bien pu voir ce visage ? Pourtant, cette voix, jamais elle ne l’avait entendue. Elle en Ă©tait sĂ»re. Ou presque. Dans quelques secondes, elle serait fixĂ©e. Il fallait dire que c’était lĂ  son seul Ă©chappatoire, sinon elle ne savait comment s’en sortir. Mais aprĂšs ? Une fois qu’elle aurait ses rĂ©ponses, comment s’échapper ? Un elfe ? Ou le Gallion d’Urgence ? Ils n’allaient pas la laisser partir comme cela. Mais pour l’instant, attendons
[HJ VoilĂ . DĂ©solĂ©e, RP pourri de chez pourri, je l’aime pas du tout T_T J’ai essayĂ© de trouver un dĂ©nouement intĂ©ressant Ă  explorer et te laissant le choix de trahir ou pas, donc Ă  toi de voir. Promis, je me rattrape au prochain !] Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 31 Juil - 1610 CollĂ©e contre le mur, l'Auror en formation n'entendait plus un bruit. Que devait-elle faire ? Foncer dans le tas quitte Ă  se faire repĂ©rer auprĂšs de l'inconnu ? Ou bien devait-elle simplement rester en retrait ? L'affaire Ă©tait devenue compliquĂ©e. Non seulement elle ne pouvait pas combattre avec de Sorel Ă©tant donnĂ© qu'elle n'Ă©tait pas du cĂŽtĂ© obscur de la force magie, mais elle ne savait pas non plus ce que reprĂ©sentait l'homme ou la femme qu'elle Ă©tait en train de suivre et ne pouvait donc pas, en consĂ©quence, combattre contre le mage se dĂ©roba finalement du mur oĂč elle Ă©tait accolĂ©e et se mit Ă  dĂ©couvert. Analysant rapidement la situation elle constata que le sorcier Ă©tait en piĂštre posture. L'inconnu le tenait par la peau du cou, pointant sa baguette sous son menton. De prime abord tendue, l'ex-blonde finit par baisser ses Ă©paules en Ă©tant presque soulagĂ©e. Au moins, elle n'aurait pas Ă  attaquer la personne se cachant derriĂšre cette capuche. Bon, mais maintenant, que devait-elle faire au juste ? Si elle dĂ©fendait Sorel, elle risquait fortement de mettre en colĂšre l'encapuchonnĂ©. Mais si elle se mettait de son cĂŽtĂ©, le trafiquant verrait clair dans son jeu et elle ne donnait pas cher de sa peau. Bon, voilĂ  ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en Ă©change de quelques rĂ©ponses Ă  mes questions. Et arrĂȘtez de me prendre pour une dĂ©butante, j’ai de l’entraĂźnement, donc pas de coup fourrĂ©. »Une voix fĂ©minine vint percer le silence de l'ambiance oppressante qui rĂ©gnait entre les trois protagonistes. Oh, l'inconnu Ă©tait donc une inconnue. Mais qu'avait-elle insinuer lĂ  ? Son compagnon ? Elle avait dĂ» mal regarder l'allure et le visage de l'homme qu'elle tenait entre ses mains. Peut-ĂȘtre avait-elle simplement cru qu'ils se bĂ©cotaient lorsqu'ils Ă©taient contre le mur... Erk, quelle horreur. Ne sachant trop que faire et Ă©tant dans une position des plus dĂ©savantageuse, elle se mit Ă  rĂ©flĂ©chir aux options qui s'offraient Ă  elle. Elle ne pouvait dĂ©cidĂ©ment pas rĂ©pondre aux questions de la jeune femme Ă©tant donnĂ© qu'elle dĂ©voilerait sa condition d'Auror et c'Ă©tait impensable. Elle n'avait pas spĂ©cialement envie de rĂ©cupĂ©rer Sorel, par ailleurs, car elle venait de dĂ©couvrir qu'il n'Ă©tait pas ce qu'il semblait ĂȘtre. Tout en pesant le pour et le contre, elle empoigna sa baguette dans sa poche, tout en s'obligeant Ă  rester des plus discrĂštes. Certes, elle n'avait pas le droit d'engager les combats, mais rien ne lui interdisait de se dĂ©fendre si quelqu'un venait Ă  lui jeter un sortilĂšge. Mais ça, la demoiselle sous la capuche n'Ă©tait pas censĂ©e le savoir Ă©tant donnĂ© qu'elle la prenait pour quelqu'un d' sĂ»re et certaine qu'elle allait regretter son geste Ă  venir, elle pria de toutes ses forces pour ne pas se faire tuer. Bah ouais, elle Ă©tait trop jeune pour mourir bĂȘtement en s'Ă©tant mise elle-mĂȘme dans cette mĂȘlasse. D'un geste brusque et rapide elle pointa sa baguette en bois clair sur l'inconnue. Elle pĂ»t rapidement constater sous la lumiĂšre d'une vieux lampadaire que Sorel esquissa un sourire de satisfaction, s'imaginant peut-ĂȘtre que les deux jeunes femmes allaient se battre. Ce qu'elle venait de faire Ă©tait un peu kamikaze Ă©tant donnĂ© que la jeune femme retenant le sorcier avait l'air d'avoir de l'expĂ©rience. Mais qui ne tente rien n'a rien. Je n'ai pas dans l'intention de rĂ©pondre Ă  vos questions. Laissez-moi partir, c'est lui qui vous intĂ©resse, non ? »Bon, elle avait Ă  moitiĂ© choisi son camp, finalement. Les yeux du mage noir devinrent noirs de fureur. Il devait certainement se sentir trahi par la brune avec qui il avait passĂ© du temps depuis plusieurs semaines. Bien qu'un peu sonnĂ© - la jeune sorciĂšre sous sa cape avait dĂ» lui jeter un sort tout Ă  l'heure - il se mit Ă  fulminer quelques insultes en direction de la Poufsouffle. Bah quoi ? AprĂšs tout, elle avait eu ce qu'elle voulait et n'avait plus du tout envie de se mĂȘler de cette histoire. Qui pouvait bien ĂȘtre la jeune femme ne lui intimait guĂšre. Quoiqu'elle se demandait bien pourquoi elle avait attaquer si soudainement. Et quelles Ă©taient donc toutes ces questions qu'elle souhaitait poser ? Impossible qu'elle soit, elle aussi, en train de prendre en filature le sorcier...De plus en plus inquiĂšte par la tournure que prenait les choses, elle ne put s'empĂȘcher de faire quelques pas en arriĂšre pour rebrousser chemin, tout en gardant sa baguette droit sur l'inconnue. AprĂšs tout, il Ă©tait fort probable que la demoiselle voulait simplement arracher les tripes du mage noir tout en s'occupant de sa "compagne" aprĂšs coup. Mais pourquoi avait-elle acceptĂ©e cette mission, pourquoi ?! Rah, il fallait toujours qu'elle accumule les brise lĂ©gĂšre et glaciale vint ponctuer ce moment de tension et, profitant d'un probable moment d’inattention de la part de l'encapuchonnĂ©e, Sorel se dĂ©gagea des bras de la sorciĂšre et se planta sur ses deux pieds, pointant Ă  son tour sa baguette dans sa direction. Ils Ă©taient donc deux, Ă  pointer vers elle leur morceau de bois magique et il Ă©tait fort probable pour que le sorcier n'attende pas trĂšs longtemps pour attaquer. Un peu prise de court, Anna ne savait plus si elle devait continuer de viser la jeune femme ou s'il fallait plutĂŽt qu'elle s'intĂ©resse Ă  son accompagnateur. Se mordillant la lĂšvre infĂ©rieur, elle finit par dĂ©tourner son angle de tir de quelques centimĂštres afin de le diriger vers Sorel. Celui-ci n'en fut que plus Ă©nervĂ©, hurla un "Tu te fous de moi ou quoi ?! Sale garce !" et ne mit pas longtemps pour se mettre Ă  viser la jeune Auror en formation. PaniquĂ©e et complĂštement dĂ©passĂ©e par les Ă©vĂšnements, elle espĂ©ra l'espace de quelques instants que le sorcier n'attaque pas et que la demoiselle dont il s'Ă©tait Ă©chapper allait finir par comprendre que, non, ils n'Ă©taient pas amants.[HRP J'ai fait ce que j'ai pu, je ne suis pas trĂšs fiĂšre de ce RP mais bon. J'espĂšre que la fin ne te dĂ©plait pas trop, sinon tu me dis 3] InvitĂ© Re Minuit, l'heure du le Mer 10 AoĂ» - 2331 [HJ VoilĂ , Ă  mon tour de m’excuser pour la petite attente ^^ Et, pour la prĂ©cision, je considĂšre que le RP pas super mĂ©ga gĂ©nial, dĂ©solĂ©e >< Si tu n'as pas d'idĂ©e pour rĂ©pondre, MP et j'Ă©diterai demain =]Inconnue – Je fais partie d'une organisation. Vous aussi, Ă  ce que je vois. Pour qui travaillez-vous ?Pardon ?! OuhlĂ , il y avait comme un problĂšme inattendu. Jamais Nathalie n’aurait pensĂ© que cette jeune femme faisait partie d’une organisation. Et, Ă  sa connaissance, il n’y avait que les Aurors qui Ă©taient illĂ©gaux et qui pouvaient donc se prĂ©tendre comme en Ă©tant une. Cette inconnue Ă©tait donc sĂ»rement une Auror, ce qui expliquait son allure familiĂšre. Mais ses cheveux Ă©taient diffĂ©rents, de mĂȘme pour ses yeux sans doute. Mais la jeune femme n'Ă©tait sĂ»re de rien. Cependant, dans cette optique, tout s'expliquait. C’était pour cela qu’elle ne l’avait pas reconnue plus tĂŽt, qu’elle avait pensĂ© croiser une nouvelle mangemorte ou future mangemorte. Pour l’instant, la chef de l’Ordre du PhĂ©nix s’était mise dans de beaux draps. Elle ne pouvait rien dire sans prendre le risque de mourir, surtout vu son statut. Elle allait rĂ©pondre Ă  l’Auror lorsque, soudain, une bourrasque de vent faillit faire tomber la capuche qui permet de camoufler son visage. Directement, Nathalie tourna la tĂȘte et se recula de maniĂšre Ă  ĂȘtre totalement dans le noir, remettant sa capuche sur sa tĂȘte, et dit Nathalie – Expelliarmus ! Non. Je ne peux rien dire et je ne dirai rien. D’ailleurs, si vous faites partie d’une
 organisation, comme vous dites, que faites-vous ici ? Ce n’est pas vraiment un endroit fait pour quelqu’un comme paroles de Nathalie laissaient croire qu’elle ne croyait pas un seul mot de ceux que la jeune femme en face d’elle avait prononcĂ©. Bien sĂ»r, elle avait tout devinĂ© et le sous-entendait trĂšs fortement mais si elle pouvait, Ă  son tour, dĂ©stabiliser l’Auror et lui faire peur
 Pourquoi pas ? Il fallait trouver un compromis. Peut-ĂȘtre que l’Auror n’avait rien Ă  perdre, mais elle voulait sĂ»rement que certains dĂ©tails restent secrets. Et la jeune femme l’avait suivie pendant un bon moment, elle avait pu voir pas mal de choses et en avait entendu encore davantage. L’une comme l’autre Ă©tait dans le pĂ©trin, elles ne pouvaient donc que trouver un terrain d’entente pour protĂ©ger leur identitĂ©, leur appartenance Ă  un quelconque groupe et, surtout, leur prĂ©sence en ces lieux on ne peut plus louches. Mais que dire, que proposer ? L’Ex-Gryffondor cherchait encore et encore Ă  toute vitesse une solution pouvant convenir. Il fallait qu’elle pousse son adversaire » Ă  accepter ce compromis, Ă  se sentir menacĂ©e Ă  son – Ecoutez. Je suis venue ici dans le seul but d’avoir des informations sur cet homme. Je ne voulais rien d’autre. Alors, rĂ©pondez Ă  mes quelques questions et j’oublie mĂȘme jusqu’à votre prĂ©sence en ces lieux. Cette discussion n’aura jamais existĂ©e et je ne vous aurais jamais vue. Vous avez autant Ă  y perdre que moi si vous refusez cette que Nathalie disait Ă©tait vraiment nul. Elle n’avait jamais su mentir, encore moins marchandĂ©. Enfin, ici, elle ne disait que la vĂ©ritĂ© ; si jamais elle rentrait chez elle en s’en Ă©tant trĂšs mal sortie, elle allait enquĂȘter sur cette jeune femme et tout rĂ©vĂ©ler Ă  sa chef. Elle savait qu’elle faisait partie des Aurors, ce qu’elle ignorait Ă©tait son nom et son prĂ©nom. Mais l’Ex-Gryffondor avait beaucoup trop Ă  perdre si elle se faisait prendre. Vous savez, ce dĂ©filement d’images lorsque l’on est sur le point de mourir ? VoilĂ  ce qu’il se passait dans la tĂȘte de la jeune femme. Jamais elle ne devait rĂ©vĂ©ler son identitĂ© Ă  quelqu’un, elle devait se protĂ©ger coĂ»te que coĂ»te. MĂȘme si elle avait ses dons de legilimancie et d’occlumancie en horreur, s’il le fallait, elle les utiliserait. Mais jamais elle n’allait se trahir, elle ne pouvait trahir l’Ordre du PhĂ©nix de par la place qu’elle y occupait. Elle priait pour que l’Auror accepte le compromis, au risque de devoir lui dire qu’elle avait fait un Serment. Mais dĂ©voiler une telle information risquait, cela aussi, de la trahir car certains mangemorts Ă©taient au courant de cette histoire. Non, elle ne pouvait pas non plus. Mais partir ou s’attaquer tout simplement Ă  cette Auror ? Si cela Ă©tait nĂ©cessaire, Nathalie le ferait. MĂ©lina KudersLĂ©gendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Ven 14 Oct - 1833 [RP avec Anaelle Etlyne]Le bruit de ses talons claquait sur les pavĂ©s de l'AllĂ©e des Embrumes, vĂȘtue d'une cape noire, dont la capuche recouvrait sa tĂȘte et une bonne partie de son visage, seules quelques mĂšches de ses cheveux ondulĂ©s sortaient de sa capuche. Un lĂ©ger vent s'Ă©tait levĂ©, en cette nuit de pleine lune, l'ancienne auror Ă©tait assez pressĂ©e, elle avait un rendez-vous d'affaire, au bar des TĂ©nĂšbres, avec la gĂ©rante, plus prĂ©cisĂ©ment. Cette derniĂšre l'avait contactĂ© par hibou, apparemment, elle avait besoin de ses talents de crĂ©atrice de potions...une histoire de cƓur, d'aprĂšs ce qu'avait sous entendu Miss Adams. La gĂ©rante du Sanglier Rieur ignorait totalement comment cette jeune femme avait entendu parlĂ© d'elle...surtout que MĂ©lina Ă©tait loin de faire de la publicitĂ©, pour ce genre d'activitĂ©...pas trĂšs joli joli, pour un ancien membre du ministĂšre...mais bon fallait bien qu'elle s'occupe et comme l'art des potions n'avait plus aucun secret pour elle...elle ne disait pas non, il lui suffisait de faire profil bas, en passant inaperçu...chose qui lui Ă©tait trĂšs pour cette affaire, elle avait dĂ©cidĂ© de venir sous sa vĂ©ritable apparence, elle savait qu'elle ne risquait rien, elle avait rendez-vous aprĂšs la fermeture du bar, selon ses propres exigences car, elle ne voulait pas attirer les regards des autres clients, son portrait avait suffisamment la une des journaux... et pourquoi ne pas arriver sous une autre apparence? cela rĂ©soudrait bien des soucis, mais c'Ă©tait une demande de la propriĂ©taire qui connaissait son visage et qui pour des questions de confiance voulait ĂȘtre sur d'avoir affaire Ă  la bonne personne et non un charlatant...oui bon cherchez pas comprendre....Dire que quelques mois plus tĂŽt, elle aurait refusĂ© de faire cela, afin d'Ă©viter les problĂšmes de part ses fonctions de chef des aurors, aujourd'hui, elle s'en fichait complĂštement, elle n'avait de compte Ă  rendre Ă  personne et personne n'avait de compte Ă  lui rendre, c'Ă©tait fini. Si elle croisait une patrouille d'aurors de l'AllĂ©e des Embrumes, en train d'affronter une bande de voyoux, elle les laisserait certainement se dĂ©brouiller, dans la plus grande indiffĂ©rence. Cela pourrait ĂȘtre trĂšs surprenant venant d'elle, surtout qu'elle aimait prendre part au combat et qu'elle connaissait de nombreux aurors qui Ă©taient dĂ©jĂ  en fonction, lorsqu'elle en faisait parti et dont certains Ă©taient des amis proches...mais elle Ă©tait dans sa phase Ă©goĂŻste telle une adolescente qui faisait sa crise, cette attitude, elle l'assumait...mĂȘme si elle pouvait ĂȘtre mal arrivĂ©e Ă  destination, elle entendit un bruit venant d'une ruelle environnante, est-ce un chat errant, des individus faisant affaire...elle l'ignorait, mais sa curiositĂ© la fit faire marche arriĂšre, une ombre sortit...la main sur sa baguette...elle attendit silencieux. InvitĂ© Re Minuit, l'heure du le Dim 16 Oct - 204 Assise sur un banc, Ă  la seule lumiĂšre du clair de lune, une ombre se fondait doucement dans l’obscuritĂ© ambiante du village des sorciers, dĂ©sert Ă  cette heure-ci dans ce petit bout de parc Ă©loignĂ© du centre ville. Hormis un hululement d’un hibou qui se faisait entendre au loin, le silence rĂ©gnait. Un silence lourd, pesant. Un silence jambes repliĂ©es sur son buste, la tĂȘte posĂ©e sur les bras posĂ©es sur ses genoux, Anaelle scrutait la lune d’un air absent, son regard tombant dans le vide de temps en temps. PlongĂ©e dans ses souvenirs, Anaelle avait un sourire triste, amer. Ces derniers temps, la jeune femme s’était faite plus discrĂšte et s’était rĂ©fugiĂ© dans un cocon rĂ©confortant crĂ©e par ses deux compĂšres, Cliodhna et Damian leur maison, Ă  tous les trois, loin de tout, dans un autre univers, le leur. AprĂšs tout ce qu’il s’était passĂ© dans sa vie professionnelle et sentimentale, elle avait eu un besoin pressant de recul. Avec ce qu’il se passait avec Thomas et leur relation qui n'existait plus, malgrĂ© la souffrance Ă©vidente de la jeune femme, ce qu’il se passait chez les Aurors et au MinistĂšre, Anaelle se sentait perdue face Ă  ces Ă©vĂšnements, totalement Ă  la ramasse c’était sans doute la raison pour laquelle elle avait demandĂ© une trĂȘve Ă  Celeste pour lui laisser le temps de repartir sur de bonnes bases, le temps d’ĂȘtre prĂȘte pour redevenir active et performante. Trop de choses s’étaient passĂ©s rapidement et trop de changements brutaux pour qu’elle puisse tout comprendre. Elle avait eut une attitude lĂąche, mais elle n’avait pas trouvĂ© d’autres alternatives Ă  sa dĂ©tresse Ă©motionnelle. Un vent frais se leva. Se recroquevillant sur elle-mĂȘme, Anaelle ferma les yeux dans une crispation de douleur. Ses membres Ă©taient maintenant engourdis et rester dans cette position avec ce froid n’était assurĂ©ment pas une bonne chose pour elle. Levant les yeux vers la ruelle dĂ©serte, Anaelle dĂ©cida que le temps Ă  flĂąner ici Ă©tait rĂ©volu. Se relevant doucement, Anaelle s’étira les jambes et chercha dans son sac un manteau pour tenter de se rĂ©chauffer. Le passant sur ses Ă©paules, elle se leva dans un petit bond et se mit en route, ne sachant pas rĂ©ellement oĂč elle devait aller. Elle n’avait aucun endroit prĂ©cis Ă  l’esprit et elle prĂ©fĂ©ra se rĂ©fĂ©rer Ă  son instinct. Le visage baissĂ©e, les jambes lourdes, elle se laissa aller dans une ruelle sombre et peu frĂ©quentable. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce l’amertume qui lui faisait ignorer le danger, ou peut-ĂȘtre tout simplement son assurance en tant qu’Auror mais en tout cas, Anaelle ne s’était pas rendue compte que l’endroit Ă©tait peu frĂ©quentable et pour le moins assurĂ© elle venait de pĂ©nĂ©trer dans un des endroits les plus glauques du village des sorciers, l’allĂ©e des Embrumes. Marchant quelques pas, elle se rendit peu Ă  peu compte de l’endroit oĂč elle Ă©tait tombĂ©e. Son instinct Ă©tait-il pour le suicide, Ă  ce moment prĂ©cis ? Fronçant les sourcils, elle ralentit le pas et mis tous ces sens aux aguets. Il n’y avait pas, en ce moment, quelque chose Ă  risquer, mais les sorciers Ă©taient d’un naturel tellement imprĂ©visible que la sorciĂšre ne chercha pas Ă  savoir si l’endroit Ă©tait bel et bien vide avant de sortir sa baguette. Celle-ci Ă©tait dĂ©jĂ  dans la main de sa propriĂ©taire qui la maintenait fermement dans sa main meurtrie par le froid ĂȘtre prĂȘte Ă  tout moment Ă©tait une bonne chose. AprĂšs seulement quelques pas, Anaelle entendit un craquement prĂšs d’elle. Ralentissant encore plus la cadence et ayant le souffle coupĂ©, Anaelle tendit sa baguette, prĂȘte Ă  attaquer la premiĂšre elle connaissait que trop bien la rĂ©putation de cette ruelle, surtout Ă  une heure si tardive. AprĂšs quelques instants d’attente et de suspens, Anaelle fit un bond en avant et pointa sa baguette sur la cause de ce bruit. Dans un petit bruit Ă©touffĂ©, une trĂšs petite silhouette trop petite pour ĂȘtre un adulte humain et vu l’heure, il ne s’agissait surement pas d’un enfant fit un bond en arriĂšre en mĂȘme temps qu’Anaelle apparaissait Ă  ses yeux. Les yeux de la sorciĂšre s’étant acclimatĂ©s depuis longtemps Ă  la pĂ©nombre, elle pu facilement distinguer les traits de la crĂ©ature face Ă  elle. Avec un hoquet de surprise, Anaelle brisa le silence qui l’entourait depuis quelques heures Golum ! Qu’est ce que tu fiches ici, Ă  cette heure ? Je ne t’avais pas dit de rester Ă  la maison ? Golum, l’elfe de maison d’Anaelle, achetĂ© des mois auparavant. Voyant la colĂšre de sa maĂźtresse, le petit elfe s’inclina au plus bas et couina d’un air dĂ©solĂ©. - Madame, Golum est tellement dĂ©solé  Mais Golum s’inquiĂ©tait pour Madame, vous savez ! Il se fait tard et Ă  la maison
 Tout le monde n’était pas rassurĂ©. Golum venait voir s’il se passait quelque chose, alors il est venu
Voyant la dĂ©tresse de son elfe suite au reproche qu’elle avait eu, Anaelle se pencha vers lui et lui fit un sourire d’excuse, bien qu’elle ne fĂ»t pas contente de le trouver ici Ă  cette heure-ci. - Tout va bien Golum, je te le promets. J’ai juste eu envie de marcher un peu. Rentre maintenant, je ne tarderai pas, promis, elle lui tapota la tĂȘte et se redressa, hochant la tĂȘte pour souligner ses propos. Tu n’aurais tout de mĂȘme pas du venir ici, file maintenant ! Et repose toi, j’aurai besoin de toi Mais Madame, Golum Ă©tait vraiment..., voyant la mimique de sa maĂźtresse, l’elfe arrĂȘta net sa phrase et s’inclina une nouvelle fois. D’accord Madame. NavrĂ© de vous avoir importunĂ©. Mais faites attention, Madame, cet endroit est vraiment pas frĂ©quentable pour une sorciĂšre de votre rang. Au revoir, Madame
Une mimique agrippa le visage de la Blonde suite Ă  cet Ă©loge qu’il n’aurait pas du faire, Anaelle fronça les sourcils pour lui indiquer qu’elle n’était pas contente de sa derniĂšre phrase elle dĂ©testait ĂȘtre cataloguĂ©e Ă  un rang, quel qu’il soit et surtout, elle dĂ©testait recevoir des conseils de ce genre, surtout lorsqu’elle Ă©tait aussi
 lasse. S’inclinant une Ă©niĂšme et derniĂšre fois, l’elfe s’évapora dans un pouf » sonore en laissant Anaelle de retour Ă  sa solitude et Ă  son silence. Elle ne reprit sa marche qu’aprĂšs une ou deux minutes de fixation de l'endroit oĂč Ă©tait anciennement l'elfe, peut-ĂȘtre plus. Elle pensait maintenant Ă  la maison qui l’attendait et avait oubliĂ© qu’elle se trouvait dans l’allĂ©e des Embrumes. Elle se laissa alors aller, sa baguette baissĂ©e et son regard perdu vers le sol. Ce qui la ramena Ă  la rĂ©alitĂ© fut un bruit de pas et de mouvement en sa direction. Reprenant tout de suite ses vieux rĂ©flexes, Anaelle leva son visage et tomba nez-Ă -nez avec une ombre encapuchonnĂ©e. Pensant tout de suite Ă  un Mangemort, Anaelle fit un pas en arriĂšre et se prĂ©para Ă  assaillir son adversaire. Portant son attention Ă  ce qu’elle pouvait voir de son visage, elle ne put retenir le hoquet de surprise qui la saisit lorsqu’elle reconnut les formes du visage de l’ MĂ©lina ! Amenant sa main Ă  sa bouche, surprise d’avoir parlĂ© aussi fort, Anaelle baissa alors doucement sa baguette. Il pouvait toujours s’agir de quelqu’un d’autre, mais un rapide coup d’Ɠil sur ses vĂȘtements et surtout, sur sa baguette, Anaelle fut rassurĂ©e sur l’identitĂ© de son adversaire ». La blonde se reprit et toussota doucement, se redressant tranquillement pour signifier qu’elle n’allait rien tenter contre son ancienne chef. - Ca fait bien longtemps qu’on ne s’est pas croisĂ©s, MĂ©lina
Sa voix pouvait paraĂźtre froide, mais elle trahissait surtout un reproche de la blonde Ă  l’ancienne Auror. Bien que CĂ©leste avait su reprendre parfaitement le commandement des Aurors, Anaelle n’avait jamais pu digĂ©rer l’abandon » de la part de MĂ©lina elle qui avait toujours Ă©tĂ© un modĂšle pour la jeune femme, elle Ă©tait parti sans explication et sans chercher Ă  reprendre rĂ©ellement le contact avec elle. Certes, Anaelle comprenait les raisons du choix de la brune, mais elle avait vraiment subit ce dĂ©part comme un abandon, comme si, pour MĂ©lina, les Aurors n’avaient jamais rien signifiĂ©s. Elle savait qu’elle se trompait, mais Anaelle avait toujours eu une certaine rancƓur, non pas violente et meurtriĂšre, mais plutĂŽt affective Anaelle s’était sentie trahie par son ancienne chef sur qui elle avait toujours comptĂ©. La revoir, Ă  ce moment lĂ  et Ă  cette heure lĂ , ne l’aidait pas Ă  devenir comprĂ©hensive et tout un tas de questions se formulaient dĂ©jĂ  dans son esprit, bien dĂ©cidĂ©e, au mĂȘme instant oĂč elle l’avait reconnu, Ă  ce qu’on lui rende ses comptes. Elle posa son regard, un regard lourd de reproche, sur celui de la jeune femme, ou du moins ce qu’elle pouvait en apercevoir et attendit que celle-ci parle. Tout ce qu’elle espĂ©rait maintenant, c’est que l'ex-Auror ne s’enfuit pas ou qu’elle parte comme si Anaelle n’avait eu jamais aucune importance pour elle. MĂ©lina KudersLĂ©gendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Jeu 20 Oct - 2136 Son attente ne fut que de courte durĂ©e, dans la pĂ©nombre de la ruelle, de l'AllĂ©e des Embrumes, une silhouette fit son apparition...cependant, avant mĂȘme qu'elle n'eut pu distinguer le visage de la personne qui venait de faire son apparition... cette personne prononça son prĂ©nom d'une maniĂšre trĂšs audible. La gĂ©rante du Sanglier Rieur fut surprise que cette jeune femme connaisse son nom et d'aprĂšs le ton, elle Ă©tait certain qu'elles se connaissaient mĂȘme trĂšs bien.... Sur le coup, elle ne sut pas Ă  qui elle avait Ă  faire, ce timbre de voie lui Ă©tait familier, mais vu son manque de communication...avec les personnes auxquelles elle tenait, elle n'arriva pas Ă  remettre un nom et un visage sur cette voie, ce qui la mit mal Ă  l' sur la dĂ©fensive, elle s'approcha de son interlocutrice...jusqu'Ă  qu'elle la distingue, elle reconnut la jolie frimousse d'Anaelle, avec ses traits fins et ses cheveux blonds, un peu Ă©bouriffĂ©s. Anaelle!Lorsqu'elle prononça ce nom, son sang se glaça...MĂ©lina se retrouvait face Ă  ses dĂ©mons...face Ă  une autre de ses amies qu'elle avait mis de cĂŽtĂ© au cours de ses derniĂšres mois, sans qu'elle leur est donnĂ©e la moindre explication...comme si un beau matin, elle pourrait revenir au MinistĂšre...aprĂšs quelques jours de congĂ©s. Elle n'Ă©tait mĂȘme pas revenue en personne chercher ses affaires au MinistĂšre, elle avait envoyĂ© son pĂšre, oui elle avait envoyĂ© son propre pĂšre qui n'avait jamais remis les pieds, dans un haut du monde magique, depuis qu'il avait Ă©pousĂ© sa mĂšre. Vous vous doutez bien qu'il avait Ă©tĂ© retissant Ă  y venir, mais MĂ©lina avait tellement insistĂ© qu'il n'avait pu refusĂ©...ah que voulez-vous, son papa ne savait rien refuser Ă  sa fille le moment, elle ne sut pas quoi dire, et son premier rĂ©flexe fut de regarder sa montre, elle se devait d'ĂȘtre Ă  l'heure Ă  son rendez-vous, les affaires n'attendent pas.... Cependant, elle ne pouvait pas simplement lui dire, quel plaisir de te voir, on s'appelle...mais lĂ  je dois te laisser...non, elle ne pouvait pas faire ça, elle se devait de faire face Ă  son amie, mĂȘme si elle risquait Ă  juste titre d'en prendre plein la figure. Elle savait qu'elle serait moins virulente que CĂ©leste, mais elle se doutait qu'elle ne se gĂȘnerait pas pour lui dire ce qu'elle pensait... Ă  sa maniĂšre, elle se demandait, d'ailleurs, si elle y gagnerait au change par rapport Ă  la chef des aurors. Comment mettre fin Ă  cette situation trĂšs embarrassante pour l'ancienne chef des aurors. Surtout que Anaelle se trouvait Ă  prĂ©sent Ă  quelques pas et qu'elle venait de lancer la conversation, par contre ses paroles furent brĂšves, apparemment, elle n'avait pas l'intention de faire un long monologue, au grand regret de la gĂ©rante qui devait Ă  son tour ouvrir la bouche afin d'en sortir des sons, mais, cette rencontre lui avait couper le sifflet...honteuse de ne pas avoir donnĂ© de nouvelles Ă  son amie, elle dĂ©cida d'en rester oui, en effet, cela fait quelques temps qu'on ne s'est pas vu, ses derniers temps, j'ai beaucoup voyagĂ©, je viens d'ailleurs tout juste de rentrer pour affaire, en parlant de ça, j'ai un rendez-vous important...je suis dĂ©solĂ©e, mais je dois te laisser, cependant, j’espĂšre te revoir trĂšs vite, Ă  nul que ça, tu meurs, le blabla de MĂ©lina fut pitoyable et elle en avait parfaitement conscience...mais elle n'avait pas trouvĂ© mieux et commença Ă  s'Ă©loigner d'un pas lent et VoilĂ , j'ai lancĂ© la machine InvitĂ© Re Minuit, l'heure du le Dim 13 Nov - 105 Toujours debout, Anaelle ne brisa pas le silence qui s'Ă©tait instaurĂ© entre les deux femmes depuis qu'elle avait parlĂ©. Le silence Ă©tait pesant et n'avait rien d'une retrouvailles, l'obscuritĂ© et le contexte Ă©tant les grandes causes de cette gĂȘne. Son regard n'avait pas
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